Résumé de la 7e partie n Le jeune médecin propose à Faïza de travailler chez sa sœur comme prothésiste et il l'y emmène. Non, non, je ne t'ai pas ramené une patiente…Je pense qu'elle pourrait travailler avec toi…Tu m'as dit une fois que tu cherchais une jeune fille que tu pourrais former pour qu'elle devienne prothésiste… — Oui. — Eh bien ! En voilà une ! J'aurais bien voulu te la présenter mais j'ignore son prénom…Elle n'a pas eu le temps de me le dire… Je sais pas mal de choses à son sujet mais son prénom je ne le connais pas encore… — Je me prénomme Faïza… — Et elle est diplômée en sociologie…. Puis se tournant vers Faïza, le jeune homme dit : — Faïza, je vous présente ma sœur… Je suis sûr que vous allez vous entendre avec elle. Les deux jeunes filles s'embrassèrent sur les joues comme cela est de coutume et la dentiste l'invita à s'installer dans une pièce qui faisait office de cuisine. Il y avait un petit frigo, une cuisinière et un four micro-ondes. Rachida éprouva le besoin de donner quelques explications au sujet de cette cuisine. — J'ai tenu à avoir à ma disposition une vraie cuisine pour préparer mes déjeuners. Je n'aime pas manger dans les restaurants, et les petits gâteaux trompe-faim ce n'est vraiment pas mon truc. Il faut prendre soin de son estomac. L'hygiène de vie est très importante… Il ne s'agit pas de préparer des banquets mais de petits repas rapides et sains. A propos de repas…vous avez déjà déjeuné ? — Non, répondit le jeune médecin… — Alors, si cela vous intéresse. Il y a dans le frigo de quoi faire un petit repas… A toi de jouer Faïza. Le jeune médecin s'interposa : — Ah Non… Rachida… Je lui ai dit que tu cherchais une prothésiste, pas une cuisinière. —Oh ! Farid ! Il n'y a aucun problème ; je la recruterai comme assistante prothésiste mais si elle a faim, elle fait comme chez elle… elle ouvre le frigo et allume la cuisinière… En ce qui me concerne, j'ai déjà mangé… J'ai ramené les restes du dîner d'hier et je l'ai réchauffé. Mais je mangerai encore avec vous quelque chose… Les trois jeunes gens, rapidement, préparèrent un repas tout en discutant. Mais dès qu'ils se furent installés, la sonnerie de la porte retentit. —Tu as des rendez-vous aujourd'hui ? s'enquit Farid. — Non… Je crois que c'est papa… Il m'a dit qu'il allait me ramener un de ses vieux amis pour un bridge. Vous pouvez commencer sans moi... fais comme chez toi, Faïza. — Merci… La dentiste se leva et alla ouvrir. A suivre