«Les banques algériennes, plus elles s?engageront dans l?informatisation, plus elles iront vers la centralisation», dira Le DG de la Satim. «Le choix de la décentralisation s?est imposé de lui-même dans le passé parce qu?il y avait un manque de possibilités en télécoms», ajoutera-t-il. Ainsi, au lieu d?un réseau commun, chaque agence bancaire disposait de son propre réseau. Une situation qui devrait changer dans trois ans au plus tard selon le même responsable puisque la solution future c?est l?architecture centralisée. En outre, l?informatique permettra au client de bénéficier de certains services sans être obligé de se déplacer vers l?agence bancaire. Cela quand on apprend qu?il existe une agence bancaire pour 30 000 habitants en Algérie.