«Les écrivains algériens qui peuvent vivre de leurs livres sont des exceptions. Yasmina Khadra, dont les livres sont traduits en des dizaines de langues et diffusés dans le monde entier, vit de sa plume et même très bien. Ahlam Mosteghanemi, auteur algérienne qui vit à Beyrouth, également. Ses livres, en arabe, atteignent des sommets de diffusion. Elle, aussi, peut largement vivre de sa plume. Malika Mokkadem, une excellente écrivaine pourtant, ne le peut pas. C'est son travail de médecin qui lui permet de se consacrer à l'écriture.»