Les grands axes du programme présidentiel en cours d'exécution permettent au pays de participer à une très grande " course " dans le but de promouvoir le développement dans toute sa globalité. La mobilisation des ressources symbolise la responsabilité de l'Etat dans cette réussite et dans la recherche d'un autre idéal de société. Quels puissent être les avis à ce sujet, la participation à cette course se fait par l'exemple vivant qui personnalise la justice sociale et le désir ardent d'élever la société à un monde meilleur. Avec une telle stratégie, l'Algérie n'est pas loin de se rapprocher de ses objectifs, car ne l'oubliant pas, le pays a été, durant la tragédie nationale, contraint par les événements d'être à la " traîne " en matière économique, sociale et politique. Ce triste constat à rappeler avec regret incite à regarder la réalité en face, et à penser à un avenir meilleur. Quel est le chemin de l'Algérie ? Celui de l'immobilisme et de l'anarchie ? Non ce chemin devra ramener la locomotive vers la vraie course, vraie " fanal " du progrès et du développement. Tout cela est à portée de la main pour être réalisé. Dans un monde dominé par la globalisation et le protectionnisme du monde capitaliste, il ne sera peut-être pas fait justice aux retardataires pour autant. Il est de la responsabilité de tous les Algériens à s'engager dans cette voie. Quels en seraient les vecteurs ? La mobilisation citoyenne est un principe plus que nécessaire pour insuffler la vie à toute démarche pour répondre aux défis du XXIe Siècle ainsi qu'aux aspirations du peuple tant l'action de l'Etat est pour le présent assez évidente pour emmener vers la grande émancipation. C'est, en soi, déjà un grand élan dans la bonne direction pour arriver à la ligne finale de cette course. D'aucuns devraient à ce titre se montrer déterminer, s'élever au-dessus des intérêts particuliers pour le bien commun, dans l'esprit même de la réconciliation nationale. Compte tenu de cette importance de durabilité du développement, c'est-à-dire répondre avec confiance aux besoins des populations, tout en ménageant et améliorant les possibilités futures, l'Etat en traduit la mise en œuvre par une gestion de toutes les ressources permettant à la fois de satisfaire les besoins économiques, sociaux et culturels, et de préserver l'intégralité des acquis, mais aussi de favoriser la prise en main par le secteur privé du rôle opérationnel pour ne laisser à l'Etat que le rôle d'incitation et de régulation en ce qui_ concerne le domaine des investissements, prendre en main et mieux cibler la promotion d'une croissance qualitative et quantitative et plus profondément inspirée des principes du développement durable.