Le préavis de grève des paramédicaux a été déposé hier au niveau de toutes les administrations des hôpitaux du pays. Cette grève devrait débuter le 11 du mois courant, nous a affirmé Riadh Rouchiche, adjoint du secrétaire général du Syndicat algérien des paramédicaux. Cette grève vient en guise de protestation contre le silence de la tutelle après, rappelons-le, l'échéance du délai d'un mois accordé par ledit syndicat au ministère de la Santé pour la promulgation au Journal officiel de leur nouveau statut. Le régime indemnitaire fait également partie de leurs revendications. Le conseil national du SAP, réuni mercredi dernier, a « dénonce à l'unanimité la légèreté de la prise en charge des revendications des paramédicaux contenues dans le procès-verbal ayant sanctionné la réunion tenue entre le ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière et les représentants du SP, le 24 février dernier à savoir la promulgation du statut et du régime indemnitaire, la réintégration des cadres syndicaux suspendus ainsi que la levée des sanctions », a indique le SAP dans un communiqué. Il faut dire que, selon M. Rouchiche. La corporation paramédicale attend toujours la publication au Journal officiel de leur statut particulier ainsi que le régime indemnitaire comme seule et unique condition pour renoncer à leur action. « Nous avons entendu la déclaration du ministre de la Santé ce matin où il disait que les décrets concernant les paramédicaux ont été publiés au Journal officiel, il a parlé de six décrets alors qu'on revenant au J.O. on constate que rien n'a été fait et les décrets les plus récents sont ceux de février dernier portant sur la formation par le système LMD dans les instituts supérieurs des paramédicaux, la loi des sages-femmes et celle des biologistes seulement, tandis que les doléances des paramédicaux, notamment le statut particulier et le régime indemnitaire n'y figurent tours pas », ajoute notre interlocuteur. À cet effet, le conseil national du Syndicat algérien des paramédicaux menace de mener ces actions jusqu'à la concrétisation des promesses de leur tutelle. Il avertit, en outre qu'il ne se contentera plus désormais de promesses sans lendemain et que l'arrêt de la contestation reste « subordonné à du concret ». Le préavis de grève des paramédicaux a été déposé hier au niveau de toutes les administrations des hôpitaux du pays. Cette grève devrait débuter le 11 du mois courant, nous a affirmé Riadh Rouchiche, adjoint du secrétaire général du Syndicat algérien des paramédicaux. Cette grève vient en guise de protestation contre le silence de la tutelle après, rappelons-le, l'échéance du délai d'un mois accordé par ledit syndicat au ministère de la Santé pour la promulgation au Journal officiel de leur nouveau statut. Le régime indemnitaire fait également partie de leurs revendications. Le conseil national du SAP, réuni mercredi dernier, a « dénonce à l'unanimité la légèreté de la prise en charge des revendications des paramédicaux contenues dans le procès-verbal ayant sanctionné la réunion tenue entre le ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière et les représentants du SP, le 24 février dernier à savoir la promulgation du statut et du régime indemnitaire, la réintégration des cadres syndicaux suspendus ainsi que la levée des sanctions », a indique le SAP dans un communiqué. Il faut dire que, selon M. Rouchiche. La corporation paramédicale attend toujours la publication au Journal officiel de leur statut particulier ainsi que le régime indemnitaire comme seule et unique condition pour renoncer à leur action. « Nous avons entendu la déclaration du ministre de la Santé ce matin où il disait que les décrets concernant les paramédicaux ont été publiés au Journal officiel, il a parlé de six décrets alors qu'on revenant au J.O. on constate que rien n'a été fait et les décrets les plus récents sont ceux de février dernier portant sur la formation par le système LMD dans les instituts supérieurs des paramédicaux, la loi des sages-femmes et celle des biologistes seulement, tandis que les doléances des paramédicaux, notamment le statut particulier et le régime indemnitaire n'y figurent tours pas », ajoute notre interlocuteur. À cet effet, le conseil national du Syndicat algérien des paramédicaux menace de mener ces actions jusqu'à la concrétisation des promesses de leur tutelle. Il avertit, en outre qu'il ne se contentera plus désormais de promesses sans lendemain et que l'arrêt de la contestation reste « subordonné à du concret ».