L'Algérie demeure toujours à l'abri d'une éventuelle crise financière et économique. Les capacités actuelles du Trésor public peuvent faire face à la multitude des dépenses publiques, selon les prévisions du premier argentier du pays. Les assurances du ministre des Finances surviennent après l'adoption de la loi de finances complémentaire pour 2011 par le Conseil des ministres, à travers laquelle, faut-il le rappeler, les pouvoirs publics ont cassé leur tirelire pour faire face aux énormes dépenses induites par les mesures exceptionnelles dans le cadre de la prise en charge des jeunes et le soutien au pouvoir d'achat des ménages. En effet, les finances publiques de l'Algérie sont à un niveau "soutenable" et le resteront jusqu'en 2014/ 2015, a affirmé jeudi dernier à Alger, le ministre des Finances, Karim Djoudi. "Dans nos projections, à moyen terme, le budget de l'Algérie est soutenable jusqu'en 2014/2015", a déclaré Karim Djoudi à la presse en marge d'une séance de questions orales au Conseil de la nation. Il a reconnu, à ce titre, que le budget de fonctionnement "est plus important", relevant toutefois que "l'augmentation de la fiscalité non pétrolière de plus de 20% ces dernières années, permettra d'atténuer l'impact sur le budget de fonctionnement". "Aujourd'hui, l'important pour nous, c'est de faire que la ressource publique soit un levier de la croissance économique, de la création d'emplois et pour un plus grand équilibre sur le plan social", a-t-il soutenu. Le projet de loi de finances complémentaire pour l'année 2011, adopté lundi dernier par le Conseil des ministres, prévoit une augmentation de 25% de la dépense publique qui va passer de 6.618 milliards mds DA à 8.275 mds DA. Le ministre explique cette augmentation par le besoin d'accompagner en autorisations de programmes et de crédits de paiement les décisions prises par le Conseil des ministres en février dernier pour préserver le pouvoir d'achat des citoyens, répondre à la demande particulière d'emplois de la jeunesse et promouvoir davantage le développement de l'outil économique productif. "La croissance de la dépense de fonctionnement est justifiée fondamentalement par la constitution d'une provision complémentaire au titre de paiement des régimes indemnitaires", a-t-il indiqué. Cette augmentation a été également rendue nécessaire, a-t-il poursuivi, par "le besoin d'accompagner les décisions prises par le Conseil des ministres en février au bénéfice des jeunes pour favoriser la création d'emplois, soutenir en termes de bonification des taux d'intérêts des crédits accordés dans le cadre de l'aide à l'accès au logement, faciliter l'accès au financement et à la diversification des sources de financement". L'Algérie demeure toujours à l'abri d'une éventuelle crise financière et économique. Les capacités actuelles du Trésor public peuvent faire face à la multitude des dépenses publiques, selon les prévisions du premier argentier du pays. Les assurances du ministre des Finances surviennent après l'adoption de la loi de finances complémentaire pour 2011 par le Conseil des ministres, à travers laquelle, faut-il le rappeler, les pouvoirs publics ont cassé leur tirelire pour faire face aux énormes dépenses induites par les mesures exceptionnelles dans le cadre de la prise en charge des jeunes et le soutien au pouvoir d'achat des ménages. En effet, les finances publiques de l'Algérie sont à un niveau "soutenable" et le resteront jusqu'en 2014/ 2015, a affirmé jeudi dernier à Alger, le ministre des Finances, Karim Djoudi. "Dans nos projections, à moyen terme, le budget de l'Algérie est soutenable jusqu'en 2014/2015", a déclaré Karim Djoudi à la presse en marge d'une séance de questions orales au Conseil de la nation. Il a reconnu, à ce titre, que le budget de fonctionnement "est plus important", relevant toutefois que "l'augmentation de la fiscalité non pétrolière de plus de 20% ces dernières années, permettra d'atténuer l'impact sur le budget de fonctionnement". "Aujourd'hui, l'important pour nous, c'est de faire que la ressource publique soit un levier de la croissance économique, de la création d'emplois et pour un plus grand équilibre sur le plan social", a-t-il soutenu. Le projet de loi de finances complémentaire pour l'année 2011, adopté lundi dernier par le Conseil des ministres, prévoit une augmentation de 25% de la dépense publique qui va passer de 6.618 milliards mds DA à 8.275 mds DA. Le ministre explique cette augmentation par le besoin d'accompagner en autorisations de programmes et de crédits de paiement les décisions prises par le Conseil des ministres en février dernier pour préserver le pouvoir d'achat des citoyens, répondre à la demande particulière d'emplois de la jeunesse et promouvoir davantage le développement de l'outil économique productif. "La croissance de la dépense de fonctionnement est justifiée fondamentalement par la constitution d'une provision complémentaire au titre de paiement des régimes indemnitaires", a-t-il indiqué. Cette augmentation a été également rendue nécessaire, a-t-il poursuivi, par "le besoin d'accompagner les décisions prises par le Conseil des ministres en février au bénéfice des jeunes pour favoriser la création d'emplois, soutenir en termes de bonification des taux d'intérêts des crédits accordés dans le cadre de l'aide à l'accès au logement, faciliter l'accès au financement et à la diversification des sources de financement".