Dix-huit marins algériens vivent une situation des plus dramatiques à Pékin en Chine et cela depuis près de huit mois. Les familles de ces marins, à l'avenir incertain, restent dans le flou et un désarroi des plus totals. Il ne s'agit pas des marins du MV Blida, comme on serait tenté de le croire, mais cette fois-ci d'un autre navire de l'ex-CNAN, le MV Nedroma. Si leurs collègues du M/V Blida ont été kidnappés par des pirates somaliens, les marins du MV Nedroma font les frais d'un litige financier qui les oppose au groupe «Sekur Holding» affréteur du navire et de nationalité grecque. Les familles de ces marins et afin de médiatiser cette affaire, tue depuis huit mois, se sont ralliées aux familles des marins du MV Blida et ainsi crier leur désespoir et imcompréhension devant un mutisme coupable des autorités concernées. Un sit-in commun a été organisé par les trente-cinq familles des marins algériens qui sont lasses de se battre seules. Rassemblées devant le siège de l'IBC, propriétaire des deux navires, la détresse des familes était visible sur des visages fatigués et à la limite du désespoir. « Tout comme les familles des otages du MV Blida, nous sommes ici pour réclamer justice et demander aux autorités concernées d'agir pour nous ramener nos enfants à la veille du mois sacré et mettre fin au cauchemar que nous vivons depuis qu'ils sont immobilisés en Chine ». Signalons que l'équipage du Nedroma est sans salaire depuis plus de 8 mois maintenant, toutes leurs discussions avec l'affréteur du navire ont échoué. Selon leurs familles, le «calvaire» des 18 marins du Nedroma a commencé en septembre 2010 lorsqu'ils ont regagné le navire en Malaisie en compagnie d'autres marins de nationalités étrangères (4 Ukrainiens et 11 Philippins). Une fois en mer, les membres de l'équipage n'ont pas perçu leurs salaires au bout du premier mois et les démarches entreprises auprès de leur employeur n'ont abouti qu'à la simple promesse de recevoir leur dû au bout du deuxième mois d'exercice. N'ayant rien perçu au bout de plusieurs mois, les 18 membres de léquipage, dont le navire a accosté à Shanghaï en Chine, ont décidé un arrêt de travail exigeant de recevoir la totalité de leurs salaires ainsi que leur rapatriement. Les marins algériens ont demandé l'intervention des autorités algériennes, notamment du ministère des Transports et du directeur de la marine marchande afin de mettre fin à leur calvaire. Ils accusent l'employeur grec de ne pas se soucier du sort réservé à l'équipage du MV Nedroma. Dix-huit marins algériens vivent une situation des plus dramatiques à Pékin en Chine et cela depuis près de huit mois. Les familles de ces marins, à l'avenir incertain, restent dans le flou et un désarroi des plus totals. Il ne s'agit pas des marins du MV Blida, comme on serait tenté de le croire, mais cette fois-ci d'un autre navire de l'ex-CNAN, le MV Nedroma. Si leurs collègues du M/V Blida ont été kidnappés par des pirates somaliens, les marins du MV Nedroma font les frais d'un litige financier qui les oppose au groupe «Sekur Holding» affréteur du navire et de nationalité grecque. Les familles de ces marins et afin de médiatiser cette affaire, tue depuis huit mois, se sont ralliées aux familles des marins du MV Blida et ainsi crier leur désespoir et imcompréhension devant un mutisme coupable des autorités concernées. Un sit-in commun a été organisé par les trente-cinq familles des marins algériens qui sont lasses de se battre seules. Rassemblées devant le siège de l'IBC, propriétaire des deux navires, la détresse des familes était visible sur des visages fatigués et à la limite du désespoir. « Tout comme les familles des otages du MV Blida, nous sommes ici pour réclamer justice et demander aux autorités concernées d'agir pour nous ramener nos enfants à la veille du mois sacré et mettre fin au cauchemar que nous vivons depuis qu'ils sont immobilisés en Chine ». Signalons que l'équipage du Nedroma est sans salaire depuis plus de 8 mois maintenant, toutes leurs discussions avec l'affréteur du navire ont échoué. Selon leurs familles, le «calvaire» des 18 marins du Nedroma a commencé en septembre 2010 lorsqu'ils ont regagné le navire en Malaisie en compagnie d'autres marins de nationalités étrangères (4 Ukrainiens et 11 Philippins). Une fois en mer, les membres de l'équipage n'ont pas perçu leurs salaires au bout du premier mois et les démarches entreprises auprès de leur employeur n'ont abouti qu'à la simple promesse de recevoir leur dû au bout du deuxième mois d'exercice. N'ayant rien perçu au bout de plusieurs mois, les 18 membres de léquipage, dont le navire a accosté à Shanghaï en Chine, ont décidé un arrêt de travail exigeant de recevoir la totalité de leurs salaires ainsi que leur rapatriement. Les marins algériens ont demandé l'intervention des autorités algériennes, notamment du ministère des Transports et du directeur de la marine marchande afin de mettre fin à leur calvaire. Ils accusent l'employeur grec de ne pas se soucier du sort réservé à l'équipage du MV Nedroma.