Un montant de 40 millions d'euros a été récemment octroyé aux pays de la région Mena englobant l'Algérie, l'Egypte, le Liban et la Libye pour la réalisation de projets de développement économique qui devront commencer d'ici à la fin de l'année 2011. Un montant de 40 millions d'euros a été récemment octroyé aux pays de la région Mena englobant l'Algérie, l'Egypte, le Liban et la Libye pour la réalisation de projets de développement économique qui devront commencer d'ici à la fin de l'année 2011. En effet, selon le site de couverture de l'actualité économique de la Méditerranée basé à Marseille, le dispositif de financement des projets au profit de ces pays de la Mena s'appuie, en fait, sur un budget de 40 millions d'euros, distribué en deux phases d'un montant égal, avec la participation de grands opérateurs de la finance, tels que la Banque européenne d'investissement (BEI), la Banque mondiale et les banques du réseau de la Fédération européenne de finances et banques éthiques et alternatives (Febea). Le président de l'Institut de la Méditerranée, Henry Roux-Alezais, estime que "Comme CoopEst, CoopMed repose sur une carence et l'accès à capitaux long terme publics et privés demeure limité pour les petites et moyennes entreprises, et ce principalement en raison de la fragilité de leur structure financière". Par ailleurs, il a indiqué que "l'institut de la Méditerranée va remonter les projets éligibles à CoopMed qui va réunir les pays européens du pourtour méditerranéen (France, Espagne, Italie… et ceux de la région Mena, principalement l'Algérie, l'Egypte, le Liban et la Libye". La stratégie de CoopMed vise, en effet, à développer un partenariat multilatéral gagnant-gagnant et mutuellement avantageux, aussi bien pour les pays de la rive nord que ceux de la rive sud de la mer Méditerranée. Roux-Alezais veut concilier le secteur public et le secteur privé pour mener à bien les projets économiques d'intérêt commun. En fait, il souligne qu'"après 17 années d'expertises sur les questions méditerranéennes, nous franchissons un pas de plus en passant de l'expertise à l'action structurante". Néanmoins, le président de l'Institut de la Méditerranée entend aller plus loin et plus vite face à la gravité de la situation et à la crise économique et financière sans précédent dans le pourtour méditerranéen. Aussi, il précise que "nous constatons une crise de confiance. C'est pourtant la clef dans l`économie". Il s'agit, selon lui, de résoudre ces problèmes qui doivent donc passer nécessairement par l'optimisation des projets publics et le financement des projets privés. Ainsi, pour le responsable de CoopMed, la création d'un fonds financier entièrement consacrée à l'économie solidaire, dénommée CoopMed, devrait, en fait, assurer la facilitation de certains montages de projets. "A l`occasion de différentes études, comme Elih-Med qui va donner de l'efficacité énergétique aux logements anciens, nous avons été amenés à chercher des innovations techniques, technologiques et de nouveaux circuits financiers", ajoutant : "Nous ciblons les prêteurs qui ne s'intéressent pas seulement à la rentabilité financière, mais également à l'emploi, l'environnement et la durabilité dans le développement local". Le patron de l'institut de la Méditerranée affirme que "ce fonds sera complètement animé par l'organisme qu'il dirige en s'appuyant sur une expérience réussie, à savoir celle de CoopEst mise en place en octobre 2005 à Bruxelles par la France, l'Italie, la Belgique et la Pologne dans l'objectif essentiel d'initier et d'accélérer le développement des coopératives, mutuelles, associations, fondations et entreprises sociales dans l'Europe centrale et orientale". La politique prônée par Roux-Alezais favorise le développement des entreprises créatrices de richesses et d'emplois. En effet, il s'agit, selon lui de "dupliquer l'idée en l'adaptant aux pays méditerranéens, cependant CoopMed pourra aller plus loin que CoopEst, car il assurera le financement du secteur des PME". Celui-ci ajoute que "nous alimentons le pipeline en permettant de remonter les projets. Nous sommes administrateurs et partenaires" précise Henry Roux-Alezais. L'Institut de la Méditerranée devient alors plus pragmatique et va, donc, s'atteler à chercher des projets ou des groupes de professionnels disposant d'une capacité à développer des activités déjà présentes et effectives dans le pays. Les opérations croisées et hybrides entre les pays du nord et ceux du sud de la mer Méditerranée seront également éligibles. En effet, selon le site de couverture de l'actualité économique de la Méditerranée basé à Marseille, le dispositif de financement des projets au profit de ces pays de la Mena s'appuie, en fait, sur un budget de 40 millions d'euros, distribué en deux phases d'un montant égal, avec la participation de grands opérateurs de la finance, tels que la Banque européenne d'investissement (BEI), la Banque mondiale et les banques du réseau de la Fédération européenne de finances et banques éthiques et alternatives (Febea). Le président de l'Institut de la Méditerranée, Henry Roux-Alezais, estime que "Comme CoopEst, CoopMed repose sur une carence et l'accès à capitaux long terme publics et privés demeure limité pour les petites et moyennes entreprises, et ce principalement en raison de la fragilité de leur structure financière". Par ailleurs, il a indiqué que "l'institut de la Méditerranée va remonter les projets éligibles à CoopMed qui va réunir les pays européens du pourtour méditerranéen (France, Espagne, Italie… et ceux de la région Mena, principalement l'Algérie, l'Egypte, le Liban et la Libye". La stratégie de CoopMed vise, en effet, à développer un partenariat multilatéral gagnant-gagnant et mutuellement avantageux, aussi bien pour les pays de la rive nord que ceux de la rive sud de la mer Méditerranée. Roux-Alezais veut concilier le secteur public et le secteur privé pour mener à bien les projets économiques d'intérêt commun. En fait, il souligne qu'"après 17 années d'expertises sur les questions méditerranéennes, nous franchissons un pas de plus en passant de l'expertise à l'action structurante". Néanmoins, le président de l'Institut de la Méditerranée entend aller plus loin et plus vite face à la gravité de la situation et à la crise économique et financière sans précédent dans le pourtour méditerranéen. Aussi, il précise que "nous constatons une crise de confiance. C'est pourtant la clef dans l`économie". Il s'agit, selon lui, de résoudre ces problèmes qui doivent donc passer nécessairement par l'optimisation des projets publics et le financement des projets privés. Ainsi, pour le responsable de CoopMed, la création d'un fonds financier entièrement consacrée à l'économie solidaire, dénommée CoopMed, devrait, en fait, assurer la facilitation de certains montages de projets. "A l`occasion de différentes études, comme Elih-Med qui va donner de l'efficacité énergétique aux logements anciens, nous avons été amenés à chercher des innovations techniques, technologiques et de nouveaux circuits financiers", ajoutant : "Nous ciblons les prêteurs qui ne s'intéressent pas seulement à la rentabilité financière, mais également à l'emploi, l'environnement et la durabilité dans le développement local". Le patron de l'institut de la Méditerranée affirme que "ce fonds sera complètement animé par l'organisme qu'il dirige en s'appuyant sur une expérience réussie, à savoir celle de CoopEst mise en place en octobre 2005 à Bruxelles par la France, l'Italie, la Belgique et la Pologne dans l'objectif essentiel d'initier et d'accélérer le développement des coopératives, mutuelles, associations, fondations et entreprises sociales dans l'Europe centrale et orientale". La politique prônée par Roux-Alezais favorise le développement des entreprises créatrices de richesses et d'emplois. En effet, il s'agit, selon lui de "dupliquer l'idée en l'adaptant aux pays méditerranéens, cependant CoopMed pourra aller plus loin que CoopEst, car il assurera le financement du secteur des PME". Celui-ci ajoute que "nous alimentons le pipeline en permettant de remonter les projets. Nous sommes administrateurs et partenaires" précise Henry Roux-Alezais. L'Institut de la Méditerranée devient alors plus pragmatique et va, donc, s'atteler à chercher des projets ou des groupes de professionnels disposant d'une capacité à développer des activités déjà présentes et effectives dans le pays. Les opérations croisées et hybrides entre les pays du nord et ceux du sud de la mer Méditerranée seront également éligibles.