La ville de Tizi-Ouzou ne cesse d'accueillir un nombre de plus en plus croissant de véhicules sans pour autant que les espaces de stationnement ne suivent pour faire face à cette forte demande. La ville de Tizi-Ouzou ne cesse d'accueillir un nombre de plus en plus croissant de véhicules sans pour autant que les espaces de stationnement ne suivent pour faire face à cette forte demande. En effet, la ville de Tizi-Ouzou ne dispose pas de grands parkings de stationnement dignes de ce nom. Une fois arrivé à la ville des Genêts, l'automobiliste doit faire des pieds et des mains pour pouvoir tomber sur un petit espace où garer sa voiture. Dès la première heure, l'ensemble des espaces situés aux abords des trottoirs sont occupés par les premiers qui arrivent et à partir d'une certaine heure, on a beau chercher un espace disponible, mais en vain. Ces lieux sont «tenus» par des gardiens de parking travaillant au noir et qui exercent dans des conditions qui ne sont pas du tout claires. Eux, ils se plaignent continuellement car ils doivent faire face à des charges ! «Nous devons payer la location de ces espaces pour pouvoir y travailler», nous confie un gardien de parking au centre-ville. Payer qui ? Il s'agit de trottoirs, donc d'espaces publics. Or, l'APC de Tizi-Ouzou n'est pas du tout impliquée dans la gestion de ces parkings sauvages. D'ailleurs, l'automobiliste qui gare sa voiture n'ouvre pas droit à un ticket. Mais le vrai problème n'est pas là... N'importe quel conducteur doué de sagesse préférera débourser cinquante dinars que de retrouver les serrures de son véhicule complètement défoncées, avec un grand vide à la place de son poste radio. Ce n'est pas l'avis de tous. Car pour un simple fonctionnaire qui doit débourser chaque jour cinquante dinars, cela lui fera 1.500 dinars à la fin du mois. Cette somme, ajoutée aux frais d'essence et aux autres frais d'entretien de la voiture, constitue une grosse charge pour un travailleur dont le salaire est souvent aux alentours du SNMG. D'autres problèmes inhérents au stationnement surgissent régulièrement. Ainsi, il n'y a pratiquement pas une journée où des rixes n'éclatent entre les gardiens de parking et des automobilistes qui refusent de payer la somme exigée. « Je viens de stationner pour siroter un café avec un ami, ça nous a pris à peine un quart d'heure. Quand je suis revenu, le gardien de parking m'a exigé cinquante dinars. C'est-à-dire que les deux tasses de café me reviendront à quatre-vingt-dix dinars », s'indigne un quinquagénaire. Deux mesures peuvent constituer des solutions à ce problème. D'abord, prendre des mesures pour réglementer l'activité des parkings sauvages. Ensuite lancer des projets de réalisation de parking couverts dignes de ce nom. En effet, la ville de Tizi-Ouzou ne dispose pas de grands parkings de stationnement dignes de ce nom. Une fois arrivé à la ville des Genêts, l'automobiliste doit faire des pieds et des mains pour pouvoir tomber sur un petit espace où garer sa voiture. Dès la première heure, l'ensemble des espaces situés aux abords des trottoirs sont occupés par les premiers qui arrivent et à partir d'une certaine heure, on a beau chercher un espace disponible, mais en vain. Ces lieux sont «tenus» par des gardiens de parking travaillant au noir et qui exercent dans des conditions qui ne sont pas du tout claires. Eux, ils se plaignent continuellement car ils doivent faire face à des charges ! «Nous devons payer la location de ces espaces pour pouvoir y travailler», nous confie un gardien de parking au centre-ville. Payer qui ? Il s'agit de trottoirs, donc d'espaces publics. Or, l'APC de Tizi-Ouzou n'est pas du tout impliquée dans la gestion de ces parkings sauvages. D'ailleurs, l'automobiliste qui gare sa voiture n'ouvre pas droit à un ticket. Mais le vrai problème n'est pas là... N'importe quel conducteur doué de sagesse préférera débourser cinquante dinars que de retrouver les serrures de son véhicule complètement défoncées, avec un grand vide à la place de son poste radio. Ce n'est pas l'avis de tous. Car pour un simple fonctionnaire qui doit débourser chaque jour cinquante dinars, cela lui fera 1.500 dinars à la fin du mois. Cette somme, ajoutée aux frais d'essence et aux autres frais d'entretien de la voiture, constitue une grosse charge pour un travailleur dont le salaire est souvent aux alentours du SNMG. D'autres problèmes inhérents au stationnement surgissent régulièrement. Ainsi, il n'y a pratiquement pas une journée où des rixes n'éclatent entre les gardiens de parking et des automobilistes qui refusent de payer la somme exigée. « Je viens de stationner pour siroter un café avec un ami, ça nous a pris à peine un quart d'heure. Quand je suis revenu, le gardien de parking m'a exigé cinquante dinars. C'est-à-dire que les deux tasses de café me reviendront à quatre-vingt-dix dinars », s'indigne un quinquagénaire. Deux mesures peuvent constituer des solutions à ce problème. D'abord, prendre des mesures pour réglementer l'activité des parkings sauvages. Ensuite lancer des projets de réalisation de parking couverts dignes de ce nom.