Après la mort du jeune jihadiste, auteur de sept assassinats effroyables, l'exécutif français s'efforçait vendredi de répondre aux questions sur les failles de la surveillance antiterroriste tandis qu'à Toulouse, l'enquête se concentrait sur la recherche de complicités. Les services de renseignement français avaient placé le jeune homme de 23 ans sous surveillance après ses séjours de 2010 et 2011 en Afghanistan et au Pakistan, mais lui trouvaient un mode de vie de jeune homme de son âge apparemment incompatible avec l'islam radical. Mohamed Merah avait cependant eu affaire à la justice pour des faits de petite délinquance et fréquentait un petit groupe de personnes se réclamant du salafisme, la branche la plus rigoriste de l'islam. Dans les heures précédant sa mort, lors de discussions avec les policiers, il s'était réclamé d'Al-Qaïda et du jihad. Il avait indiqué vouloir "venger les enfants palestiniens", punir la France pour son engagement en Afghanistan et pour sa loi interdisant le port public du voile islamique. Le Premier ministre a encore indiqué que Mohamed Merah, qui figurait sur la liste noire des personnes interdites de vol aux Etats-Unis, était aussi inscrit en France sur la liste des personnes à surveiller en cas de déplacement. Mais "il ne s'est pas déplacé", a-t-il fait valoir. Les médias s'interrogeaient aussi vendredi sur les conditions de l'assaut lancé jeudi matin pour capturer le tueur après trente heures de siège et au cours duquel il a été abattu. Après la mort du jeune jihadiste, auteur de sept assassinats effroyables, l'exécutif français s'efforçait vendredi de répondre aux questions sur les failles de la surveillance antiterroriste tandis qu'à Toulouse, l'enquête se concentrait sur la recherche de complicités. Les services de renseignement français avaient placé le jeune homme de 23 ans sous surveillance après ses séjours de 2010 et 2011 en Afghanistan et au Pakistan, mais lui trouvaient un mode de vie de jeune homme de son âge apparemment incompatible avec l'islam radical. Mohamed Merah avait cependant eu affaire à la justice pour des faits de petite délinquance et fréquentait un petit groupe de personnes se réclamant du salafisme, la branche la plus rigoriste de l'islam. Dans les heures précédant sa mort, lors de discussions avec les policiers, il s'était réclamé d'Al-Qaïda et du jihad. Il avait indiqué vouloir "venger les enfants palestiniens", punir la France pour son engagement en Afghanistan et pour sa loi interdisant le port public du voile islamique. Le Premier ministre a encore indiqué que Mohamed Merah, qui figurait sur la liste noire des personnes interdites de vol aux Etats-Unis, était aussi inscrit en France sur la liste des personnes à surveiller en cas de déplacement. Mais "il ne s'est pas déplacé", a-t-il fait valoir. Les médias s'interrogeaient aussi vendredi sur les conditions de l'assaut lancé jeudi matin pour capturer le tueur après trente heures de siège et au cours duquel il a été abattu.