Abdelkader Bensalah va-t-il être maintenu à la tête du Conseil de la nation ? Cette question est, depuis quelques temps déjà, sur toutes les lèvres car son mandat de six ans à la présidence du Sénat arrivera à son terme à la fin de ce mois de décembre. Abdelkader Bensalah va-t-il être maintenu à la tête du Conseil de la nation ? Cette question est, depuis quelques temps déjà, sur toutes les lèvres car son mandat de six ans à la présidence du Sénat arrivera à son terme à la fin de ce mois de décembre. Un mandat qu'il a entamé en 2007, lorsqu'il a été élu par ses pairs sénateurs après que le président de la République lui a renouvelé sa confiance au titre du tiers présidentiel. Conformément aux dispositions de la constitution le président de la république désigne 48 sénateurs, soit un tiers de la composante de cette chambre du parlement, alors que les 96 autres membres sont élus par les élus des assemblées locales (APC et APW). Le 29 décembre prochain aura lieu le vote pour le renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation. Le chef de l'Etat a d'ores et déjà convoqué le corps électoral. Cette opération sera la première épreuve politique des nouveaux élus locaux qui auront ainsi la lourde tâche d'élire 48 nouveaux sénateurs (1 élu par wilaya). Une élection qui sera âprement disputée notamment entre les deux plus grands partis, à savoir le FLN et le RND qui ont raflé la mise lors des dernières élections locales du 29 novembre dernier. Toutefois, ces deux partis qui sont déjà dominants au Sénat risquent de ne pas être à l'abri de quelques surprises. Le président de la République procédera, à son tour, à la désignation de 24 nouveaux sénateurs. Abdelkader en fera t-il alors partie ? Si c'est le cas il sera alors certain qu'il sera reconduit à la présidence du Sénat pour un nouveau mandat de six ans. A vrai dire tout porte à croire que ce sera le cas ; car aucun indice ne laisse penser que le président de la République ne va pas lui renouveler sa confiance en le désignant parmi les 24 personnalités qui vont siéger à la chambre haute pour un mandat de six ans. Bensalah bénéficie du soutien du chef de l'Etat depuis dix années déjà, soit exactement depuis le décès de Mohamed Cherif Messaadia en 2002. En effet, Abdelkader Bensalah, qui a eu auparavant à présider les destinées de l'APN de 197 à 2002, est à la tête du Conseil de la nation depuis cette date. En 2007 le président de la République lui a de nouveau renouvelé sa confiance et les sénateurs l'ont de nouveau élu président de cette chambre du Parlement. Trois années plus tard, soit à la fin 2009 et début 2010, les sénateurs ont voté de nouveau en sa faveur et ce comme le stipule la Constitution. L'article 114 de la Constitution est, on ne peut plus clair, à ce propos puisqu'il stipule que «le président du Conseil de la nation est élu après chaque renouvellement partiel de la composante du conseil de la nation», qui en compte 144. Bensalah, qui jouit de la confiance du président de la République a aussi, pour rappel, présidé le Conseil national de transition (CNT) de 1994 à 1997. A quelques jours de cette échéance aucun nom susceptible de remplacer Bensakah à la présidence du Sénat n'a été cité dans les médias. C'est dire, considèrent certains observateurs, que le chef de l'état, n'a apparemment pas l'intention de bouleverser les équilibres institutionnels déjà en place depuis quelques années. Un mandat qu'il a entamé en 2007, lorsqu'il a été élu par ses pairs sénateurs après que le président de la République lui a renouvelé sa confiance au titre du tiers présidentiel. Conformément aux dispositions de la constitution le président de la république désigne 48 sénateurs, soit un tiers de la composante de cette chambre du parlement, alors que les 96 autres membres sont élus par les élus des assemblées locales (APC et APW). Le 29 décembre prochain aura lieu le vote pour le renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation. Le chef de l'Etat a d'ores et déjà convoqué le corps électoral. Cette opération sera la première épreuve politique des nouveaux élus locaux qui auront ainsi la lourde tâche d'élire 48 nouveaux sénateurs (1 élu par wilaya). Une élection qui sera âprement disputée notamment entre les deux plus grands partis, à savoir le FLN et le RND qui ont raflé la mise lors des dernières élections locales du 29 novembre dernier. Toutefois, ces deux partis qui sont déjà dominants au Sénat risquent de ne pas être à l'abri de quelques surprises. Le président de la République procédera, à son tour, à la désignation de 24 nouveaux sénateurs. Abdelkader en fera t-il alors partie ? Si c'est le cas il sera alors certain qu'il sera reconduit à la présidence du Sénat pour un nouveau mandat de six ans. A vrai dire tout porte à croire que ce sera le cas ; car aucun indice ne laisse penser que le président de la République ne va pas lui renouveler sa confiance en le désignant parmi les 24 personnalités qui vont siéger à la chambre haute pour un mandat de six ans. Bensalah bénéficie du soutien du chef de l'Etat depuis dix années déjà, soit exactement depuis le décès de Mohamed Cherif Messaadia en 2002. En effet, Abdelkader Bensalah, qui a eu auparavant à présider les destinées de l'APN de 197 à 2002, est à la tête du Conseil de la nation depuis cette date. En 2007 le président de la République lui a de nouveau renouvelé sa confiance et les sénateurs l'ont de nouveau élu président de cette chambre du Parlement. Trois années plus tard, soit à la fin 2009 et début 2010, les sénateurs ont voté de nouveau en sa faveur et ce comme le stipule la Constitution. L'article 114 de la Constitution est, on ne peut plus clair, à ce propos puisqu'il stipule que «le président du Conseil de la nation est élu après chaque renouvellement partiel de la composante du conseil de la nation», qui en compte 144. Bensalah, qui jouit de la confiance du président de la République a aussi, pour rappel, présidé le Conseil national de transition (CNT) de 1994 à 1997. A quelques jours de cette échéance aucun nom susceptible de remplacer Bensakah à la présidence du Sénat n'a été cité dans les médias. C'est dire, considèrent certains observateurs, que le chef de l'état, n'a apparemment pas l'intention de bouleverser les équilibres institutionnels déjà en place depuis quelques années.