Le secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, persiste et signe. « Je suis convaincu que le président Bouteflika sera candidat aux élections présidentielles », a-t-il en effet indiqué hier, lors d'une conférence de presse organisée au siège du parti. Saïdani maintient donc le cap sur cette question alors que beaucoup d'observateurs et même des partisans du chef de l'Etat semblent, au vu de l'état de santé du chef de l'Etat, ne plus croire en cette éventualité. Le secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, persiste et signe. « Je suis convaincu que le président Bouteflika sera candidat aux élections présidentielles », a-t-il en effet indiqué hier, lors d'une conférence de presse organisée au siège du parti. Saïdani maintient donc le cap sur cette question alors que beaucoup d'observateurs et même des partisans du chef de l'Etat semblent, au vu de l'état de santé du chef de l'Etat, ne plus croire en cette éventualité. Saïdani ira encore plus loin déclarant que « nous sommes sûrs que Bouteflika ne refusera pas les incessants appels populaires l'invitant à briguer un 4e mandat ». Pour le secrétaire général du vieux parti, le président a encore du temps devant lui avant d'annoncer sa candidature. « Le président n'est pas obligé de déclarer sa candidature avant la convocation du corps électoral », dira le conférencier avant d'ajouter « que la loi lui donne encore du temps » avant de rendre publique sa décision. Saïdani a, sur ce même registre, balayé d'un revers de la main la question de l'état de santé de Bouteflika qui est souvent invoquée par certains pour dire qu'il ne peut assumer une si haute charge du pouvoir. « Cette histoire de la maladie ou non du Président ne peut duper le peuple algérien du moment que ce dernier est surtout en quête de paix, de stabilité et de développement ». Saïdani a-t-il rencontré récemment le Président pour se montrer si sûr dans ses dires. Le secrétaire général du FLN s'est montré relativement évasif en reconnaissant que la dernière fois qu'il l'a rencontré de manière officielle c'était en 2006 ou 2007. Et sur le plan privé ? « Le privé doit rester privé », a-t-il seulement répondu. Saïdani a en outre défendu la position de son parti concernant la révision de la Constitution, comme il est revenu sur la question de la construction d'un Etat civil et, interpellé une fois encore sur le rôle des services de renseignements dans la vie politique nationale, il a eu cette réponse : « Si c'est le DRS qui faisait tout et bien il ne le fera plus... ». Concernant l'opposition interne qui veut le destituer il a réitéré que les animateurs sont des « chargés de mission. Une mission qui s'achèvera au mois d'avril». Il a aussi indiqué que Belkhadem n'a pas gâché la fête du rassemblement de samedi dernier puisque il était invité indiquant, toutefois, que si sa venue avait d'autres visées, « je lui dis que le FLN n'est pas un tremplin ». Saïdani ira encore plus loin déclarant que « nous sommes sûrs que Bouteflika ne refusera pas les incessants appels populaires l'invitant à briguer un 4e mandat ». Pour le secrétaire général du vieux parti, le président a encore du temps devant lui avant d'annoncer sa candidature. « Le président n'est pas obligé de déclarer sa candidature avant la convocation du corps électoral », dira le conférencier avant d'ajouter « que la loi lui donne encore du temps » avant de rendre publique sa décision. Saïdani a, sur ce même registre, balayé d'un revers de la main la question de l'état de santé de Bouteflika qui est souvent invoquée par certains pour dire qu'il ne peut assumer une si haute charge du pouvoir. « Cette histoire de la maladie ou non du Président ne peut duper le peuple algérien du moment que ce dernier est surtout en quête de paix, de stabilité et de développement ». Saïdani a-t-il rencontré récemment le Président pour se montrer si sûr dans ses dires. Le secrétaire général du FLN s'est montré relativement évasif en reconnaissant que la dernière fois qu'il l'a rencontré de manière officielle c'était en 2006 ou 2007. Et sur le plan privé ? « Le privé doit rester privé », a-t-il seulement répondu. Saïdani a en outre défendu la position de son parti concernant la révision de la Constitution, comme il est revenu sur la question de la construction d'un Etat civil et, interpellé une fois encore sur le rôle des services de renseignements dans la vie politique nationale, il a eu cette réponse : « Si c'est le DRS qui faisait tout et bien il ne le fera plus... ». Concernant l'opposition interne qui veut le destituer il a réitéré que les animateurs sont des « chargés de mission. Une mission qui s'achèvera au mois d'avril». Il a aussi indiqué que Belkhadem n'a pas gâché la fête du rassemblement de samedi dernier puisque il était invité indiquant, toutefois, que si sa venue avait d'autres visées, « je lui dis que le FLN n'est pas un tremplin ».