La centrale syndicale fait face à une crise qui secoue ses instances dirigeantes. Les opposants à Sidi Said ne ratent pas l'occasion de le honnir. Ils forment actuellement un comité de sauvegarde et ne comptent pas baisser les bras. La centrale syndicale fait face à une crise qui secoue ses instances dirigeantes. Les opposants à Sidi Said ne ratent pas l'occasion de le honnir. Ils forment actuellement un comité de sauvegarde et ne comptent pas baisser les bras. C'est depuis la rentrée sociale que l'UGTA est visé par des critiques émanant d'une poignée de syndicalistes qui s'opposent ouvertement au mandat du SG de la centrale. Achaque fois, ces syndicalistes tirent à bout portant sur Sidi Saïd et ces collaborateurs les accusant de « dérives » et d'absence de choix démocratique pour la prochaine joute électorale pour le renouvellement des instances dirigeantes. Ahmed Badaoui, ex-responsable de la fédération syndicale des douanes et ses compères tentent de barrer la route au SG pour le 11e congrès qui doit consacrer le troisième mandat pour Sidi Said. Mais jusque-là, les opposants restent minoritaires malgré l'appel du pied dont ils ont usé pour fédérer les unions de wilayas. Avec la création du comité national de réappropriation et de sauvegarde de l'UGTA, c'est juste un peu de crédit qu'ils obtiennent face aux puissantes fédérations qui soutiennent Sidi Said. Faut-il rappeler que la dernière réunion d'août dernier d'El Achour à Alger a regroupé les secrétaires des unions nationales et des fédérations où elles ont opté pour les mêmes noms qui composent la commission exécutive nationale qui doit veiller à la tenue du prochain congrès. L'actuel SG de la centrale syndicale s'appuie sur ses relais et ses accointances avec le pouvoir qui sont un secret de Polichinelle. C'est d'ailleurs un point chaud pour les membres du comité de sauvegarde qui le mettent en avant. Selon eux, la CEN devrait s'élargir à d'autres membres qui doivent être élus librement pour valider l'organisation du congrès. Or, Sidi Said ne veut pas l'entendre de cette oreille. L'initiative est décrite comme une « sortie des rangs » et n'a aucune chance d'aboutir du fait que le CNRS a du mal à récolter des voix. Mais pour les animateurs du CNRS, l'actuelle UGTAest «au service du pouvoir et non des travailleurs qu'elle est censée représenter». Ces derniers veulent que le puissant syndicat des travailleurs retourne à sa base revendicative des forces ouvrières qu'elle compose. Une revendication qui, même si elle conforte une partie des militants de base, ne trouve pas assez d'écho chez les milliers de travailleurs. Les syndicalistes de l'opposition qui tentent de médiatiser leur action trouvent de la peine à se faire écouter. Pour preuve, les tentatives de rassembler le maximum de « fidèles à la ligne d'opposition au SG » n'ont pas eu un grand succès. Le SG de l'UGTA trouve son compte en arrachant des concessions sur les dossiers sociaux et les revendications salariales dont il en a fait des preuves suffisantes pour sa prochaine reconduction. Les observateurs de la scène syndicale le donnent gagnant pour son prochain mandat. Sa stratégie a été payante et il ne compte pas céder sa place quitte à faire le dos rond en attendant la prochaine tenue du congrès. C'est depuis la rentrée sociale que l'UGTA est visé par des critiques émanant d'une poignée de syndicalistes qui s'opposent ouvertement au mandat du SG de la centrale. Achaque fois, ces syndicalistes tirent à bout portant sur Sidi Saïd et ces collaborateurs les accusant de « dérives » et d'absence de choix démocratique pour la prochaine joute électorale pour le renouvellement des instances dirigeantes. Ahmed Badaoui, ex-responsable de la fédération syndicale des douanes et ses compères tentent de barrer la route au SG pour le 11e congrès qui doit consacrer le troisième mandat pour Sidi Said. Mais jusque-là, les opposants restent minoritaires malgré l'appel du pied dont ils ont usé pour fédérer les unions de wilayas. Avec la création du comité national de réappropriation et de sauvegarde de l'UGTA, c'est juste un peu de crédit qu'ils obtiennent face aux puissantes fédérations qui soutiennent Sidi Said. Faut-il rappeler que la dernière réunion d'août dernier d'El Achour à Alger a regroupé les secrétaires des unions nationales et des fédérations où elles ont opté pour les mêmes noms qui composent la commission exécutive nationale qui doit veiller à la tenue du prochain congrès. L'actuel SG de la centrale syndicale s'appuie sur ses relais et ses accointances avec le pouvoir qui sont un secret de Polichinelle. C'est d'ailleurs un point chaud pour les membres du comité de sauvegarde qui le mettent en avant. Selon eux, la CEN devrait s'élargir à d'autres membres qui doivent être élus librement pour valider l'organisation du congrès. Or, Sidi Said ne veut pas l'entendre de cette oreille. L'initiative est décrite comme une « sortie des rangs » et n'a aucune chance d'aboutir du fait que le CNRS a du mal à récolter des voix. Mais pour les animateurs du CNRS, l'actuelle UGTAest «au service du pouvoir et non des travailleurs qu'elle est censée représenter». Ces derniers veulent que le puissant syndicat des travailleurs retourne à sa base revendicative des forces ouvrières qu'elle compose. Une revendication qui, même si elle conforte une partie des militants de base, ne trouve pas assez d'écho chez les milliers de travailleurs. Les syndicalistes de l'opposition qui tentent de médiatiser leur action trouvent de la peine à se faire écouter. Pour preuve, les tentatives de rassembler le maximum de « fidèles à la ligne d'opposition au SG » n'ont pas eu un grand succès. Le SG de l'UGTA trouve son compte en arrachant des concessions sur les dossiers sociaux et les revendications salariales dont il en a fait des preuves suffisantes pour sa prochaine reconduction. Les observateurs de la scène syndicale le donnent gagnant pour son prochain mandat. Sa stratégie a été payante et il ne compte pas céder sa place quitte à faire le dos rond en attendant la prochaine tenue du congrès.