Comme chaque année, à l'orée du mois sacré de Ramadhan, les produits alimentaires et les fruits et légumes connaissent une exceptionnelle flambée des prix. Comme chaque année, à l'orée du mois sacré de Ramadhan, les produits alimentaires et les fruits et légumes connaissent une exceptionnelle flambée des prix. A quatre jours seulement du début du mois de jeûne, synonyme de piété et de « Rahma » les prix de certains fruits et légumes sont déjà hors de portée des petites bourses et des smicards, notamment, ceux ayant à charge des familles nombreuses. Certains marchés de fruits et légumes, et cela dépend et diffère des quartiers de la capitale, les consommateurs ont découvert une autre pratique inhabituelle, mais prévisible et cyclique et conjoncturelle, à savoir une hausse sensible des prix. A titre d'exemple, des clients réguliers de certains commerçants de marché algérois ont pu constater une augmentation sans surprise du prix de la carotte qui a atteint 120 DA le kilogramme, alors que les navets sont carrément inaccessibles, pour bon nombre de consommateurs, car le prix dépasse tout entendement. Un commerçant rétorque à une cliente qui demande ce produit pourtant rare en cette période pré-estivale : « Le prix est inabordable, puisqu'il est excessif, à savoir 200 DA le kilo ». Dans d'autres étalages, le prix de la courgette affiche 75 DA le kilogramme alors que le prix de la pomme de terre oscille entre 50 et 65 DA. D'emblée, les consommateurs sont mis à rude épreuve dans la débrouillardise pour s'approvisionner en produits agricoles frais, sachant qu'avant la veille du Ramadhan, les prix subissent inévitablement une hausse vertigineuse, comme à l'accoutumée. Tandis que dans certains pays musulmans, tel que l'Egypte, les commerçants baissent volontairement les prix des produits alimentaires en guise de solidarité avec les personnes démunies et dont les revenus sont faibles, en Algérie, c'est l'inverse. Et ce, en dépit des assurances des autorités de contrôler les prix, en ce sens que, certains commerçants véreux trouvent le moyen de pratiquer des prix forts durant le mois de la ferveur et de la piété, bien que la liberté des prix ait été consacrée pour les produits alimentaires non subventionnés par l'Etat. Le pire, c'est que les consommateurs peu aisés financièrement subissent de plein fouet la hausse des prix, car en plus des besoins durant le mois du Ramadhan, ils sont confrontés aux exigences des dépenses pour le jour de l'Aïd El-Fitr. Le travail de contrôle des inspecteurs des prix et de la qualité des produits alimentaires durant le Ramadhan se limite, sur le plan règlementaire, aux produits dont les prix sont administrés, donc, subventionnés, ne devant pas, en principe, être touchés par la hausse, tels que le lait, le sucre, la farine, la semoule, l'huile etc... Concernant les fruits, le kilogramme de pêche de qualité moyenne valait pas moins de 100 DA alors que l'abricot coûte entre 80 et 120 DA le kilogramme. A rappeler que le ministère du Commerce a promis la disponibilité de l'ensemble des produits agroalimentaires sur le marché national, d'où l'éradication de toute pénurie susceptible d'engendrer une anarchie dans l'approvisionnement, et éventuellement, une situation où l'offre et la demande conditionne le marché en le dopant avec des prix carrément exorbitants. A quatre jours seulement du début du mois de jeûne, synonyme de piété et de « Rahma » les prix de certains fruits et légumes sont déjà hors de portée des petites bourses et des smicards, notamment, ceux ayant à charge des familles nombreuses. Certains marchés de fruits et légumes, et cela dépend et diffère des quartiers de la capitale, les consommateurs ont découvert une autre pratique inhabituelle, mais prévisible et cyclique et conjoncturelle, à savoir une hausse sensible des prix. A titre d'exemple, des clients réguliers de certains commerçants de marché algérois ont pu constater une augmentation sans surprise du prix de la carotte qui a atteint 120 DA le kilogramme, alors que les navets sont carrément inaccessibles, pour bon nombre de consommateurs, car le prix dépasse tout entendement. Un commerçant rétorque à une cliente qui demande ce produit pourtant rare en cette période pré-estivale : « Le prix est inabordable, puisqu'il est excessif, à savoir 200 DA le kilo ». Dans d'autres étalages, le prix de la courgette affiche 75 DA le kilogramme alors que le prix de la pomme de terre oscille entre 50 et 65 DA. D'emblée, les consommateurs sont mis à rude épreuve dans la débrouillardise pour s'approvisionner en produits agricoles frais, sachant qu'avant la veille du Ramadhan, les prix subissent inévitablement une hausse vertigineuse, comme à l'accoutumée. Tandis que dans certains pays musulmans, tel que l'Egypte, les commerçants baissent volontairement les prix des produits alimentaires en guise de solidarité avec les personnes démunies et dont les revenus sont faibles, en Algérie, c'est l'inverse. Et ce, en dépit des assurances des autorités de contrôler les prix, en ce sens que, certains commerçants véreux trouvent le moyen de pratiquer des prix forts durant le mois de la ferveur et de la piété, bien que la liberté des prix ait été consacrée pour les produits alimentaires non subventionnés par l'Etat. Le pire, c'est que les consommateurs peu aisés financièrement subissent de plein fouet la hausse des prix, car en plus des besoins durant le mois du Ramadhan, ils sont confrontés aux exigences des dépenses pour le jour de l'Aïd El-Fitr. Le travail de contrôle des inspecteurs des prix et de la qualité des produits alimentaires durant le Ramadhan se limite, sur le plan règlementaire, aux produits dont les prix sont administrés, donc, subventionnés, ne devant pas, en principe, être touchés par la hausse, tels que le lait, le sucre, la farine, la semoule, l'huile etc... Concernant les fruits, le kilogramme de pêche de qualité moyenne valait pas moins de 100 DA alors que l'abricot coûte entre 80 et 120 DA le kilogramme. A rappeler que le ministère du Commerce a promis la disponibilité de l'ensemble des produits agroalimentaires sur le marché national, d'où l'éradication de toute pénurie susceptible d'engendrer une anarchie dans l'approvisionnement, et éventuellement, une situation où l'offre et la demande conditionne le marché en le dopant avec des prix carrément exorbitants.