Les marchés de solidarité, créés depuis le mois de juin, ont été un pari réussi pour les autorités. La vente de produits algériens a permis à 3 millions de consommateurs de se les procurer à des prix accessibles. Les marchés de solidarité, créés depuis le mois de juin, ont été un pari réussi pour les autorités. La vente de produits algériens a permis à 3 millions de consommateurs de se les procurer à des prix accessibles. Un bilan sur l'opération dédiée à l'encouragement d'acheter algérien permet, selon le SG de l'UGTA, d'affirmer la satisfaction des consommateurs algériens sur la quantité et la qualité du label algérien. Selon ce dernier « nous avons ouverte une brèche dans la citadelle de la spéculation et casser la hiérarchie des marges ». L'initiative qui a en effet mobilisé les producteurs nationaux et le ministère du commerce a réalisé une totale adhésion des millions de consommateurs sur des produits qui se vendaient à prix d'usine et de battre pour une fois les groupes de l'informel qui veulent toujours maintenir leur diktat. Pour gagner la bataille, il fallait établir des prix abordables sur des produits outre que l'agro- alimentaire où le textile et l'électroménager, l'artisanat avaient eu leur place dans ces points de vente. Dans ces marchés, il y avait quotidiennement un rush de citoyens qui ne cessait pratiquement pas. Face à ce flot inhabituel, les organisateurs ont multiplié les points de vente un peu partout à travers le territoire national en invitant les consommateurs algériens à encourager l'achat du produit algérien et de mettre en évidence sa qualité. Les prix d'usine affichés ont permis aux familles algériennes même ceux qui disposent de bas revenus d'effectuer leurs emplettes sans crainte sur les dépenses. Durant cette opération, le ministère du Commerce et l'UGTA ont fait remarquer que même certains produits locaux se vendaient dans certains marchés informels alors que d'habitude ce sont les articles d'importation qui ont pignon sur rue. On note que parfois des stocks de certains produits ont été épuisés durant les premiers jours et que certains producteurs n'arrivaient pas à satisfaire toute la demande. Pour le ministre du Commerce Amara Benyounes, les ménages qui ont fait 40 % de leurs économies dans leurs achats dans ces marchés de proximité, ne peut qu'être un signe de satisfaction sur une opération qui n'est pas conjoncturelle. Le gouvernement avec ses partenaires du patronat et la centrale syndicale estiment qu'il est temps de pérenniser cette initiative qui a permis aux Algériens de défendre leur production nationale. Pour les organisateurs, ce n'est plus un slogan publicitaire à l'endroit de la campagne de « Consommons national » qui a commencé dès le mois d'avril et dont certains ont douté de la réussite. Il s'agit maintenant de soutenir des milliers d'entrepreneurs nationaux qui ont été victimes de marginalisation, de bureaucratie et des lenteurs administratives pour la promotion de leurs activités. Politiquement, le gouvernement tire des dividendes sur une opération qui va lui permettre d'inscrire une confiance durable avec ses partenaires sociaux et le patronat. Les attaques qu'il subit sur ce front ne le laisse pas indifférent. Pour ce faire, il compte riposter en menant, cette fois-ci, une campagne d'explications, de vulgarisation et de sensibilisation sur l'importance de consommer national et la relation directe avec l'emploi. Car consommer national n'est pas seulement une simple opération commerciale, cela permet aussi de maintenir les emplois et la valeur ajoutée chez les producteurs nationaux. Un bilan sur l'opération dédiée à l'encouragement d'acheter algérien permet, selon le SG de l'UGTA, d'affirmer la satisfaction des consommateurs algériens sur la quantité et la qualité du label algérien. Selon ce dernier « nous avons ouverte une brèche dans la citadelle de la spéculation et casser la hiérarchie des marges ». L'initiative qui a en effet mobilisé les producteurs nationaux et le ministère du commerce a réalisé une totale adhésion des millions de consommateurs sur des produits qui se vendaient à prix d'usine et de battre pour une fois les groupes de l'informel qui veulent toujours maintenir leur diktat. Pour gagner la bataille, il fallait établir des prix abordables sur des produits outre que l'agro- alimentaire où le textile et l'électroménager, l'artisanat avaient eu leur place dans ces points de vente. Dans ces marchés, il y avait quotidiennement un rush de citoyens qui ne cessait pratiquement pas. Face à ce flot inhabituel, les organisateurs ont multiplié les points de vente un peu partout à travers le territoire national en invitant les consommateurs algériens à encourager l'achat du produit algérien et de mettre en évidence sa qualité. Les prix d'usine affichés ont permis aux familles algériennes même ceux qui disposent de bas revenus d'effectuer leurs emplettes sans crainte sur les dépenses. Durant cette opération, le ministère du Commerce et l'UGTA ont fait remarquer que même certains produits locaux se vendaient dans certains marchés informels alors que d'habitude ce sont les articles d'importation qui ont pignon sur rue. On note que parfois des stocks de certains produits ont été épuisés durant les premiers jours et que certains producteurs n'arrivaient pas à satisfaire toute la demande. Pour le ministre du Commerce Amara Benyounes, les ménages qui ont fait 40 % de leurs économies dans leurs achats dans ces marchés de proximité, ne peut qu'être un signe de satisfaction sur une opération qui n'est pas conjoncturelle. Le gouvernement avec ses partenaires du patronat et la centrale syndicale estiment qu'il est temps de pérenniser cette initiative qui a permis aux Algériens de défendre leur production nationale. Pour les organisateurs, ce n'est plus un slogan publicitaire à l'endroit de la campagne de « Consommons national » qui a commencé dès le mois d'avril et dont certains ont douté de la réussite. Il s'agit maintenant de soutenir des milliers d'entrepreneurs nationaux qui ont été victimes de marginalisation, de bureaucratie et des lenteurs administratives pour la promotion de leurs activités. Politiquement, le gouvernement tire des dividendes sur une opération qui va lui permettre d'inscrire une confiance durable avec ses partenaires sociaux et le patronat. Les attaques qu'il subit sur ce front ne le laisse pas indifférent. Pour ce faire, il compte riposter en menant, cette fois-ci, une campagne d'explications, de vulgarisation et de sensibilisation sur l'importance de consommer national et la relation directe avec l'emploi. Car consommer national n'est pas seulement une simple opération commerciale, cela permet aussi de maintenir les emplois et la valeur ajoutée chez les producteurs nationaux.