Elles sont des milliers de femmes détentrices de diplômes universitaires et dotées de compétences réelles hautement qualifiées, mais hélas qui ne sont pas exploitées à leur juste valeur Elles sont des milliers de femmes détentrices de diplômes universitaires et dotées de compétences réelles hautement qualifiées, mais hélas qui ne sont pas exploitées à leur juste valeur En effet, hormis quelques femmes algériennes ayant accédé à des postes de responsabilité et les quelques femmes chefs d'entreprises, cependant rarissimes dans le monde du travail en Algérie, notamment dans les entreprises publiques, nombreuses sont celles qui sont sorties des universités et instituts d'enseignement supérieur avec des diplômes, mais qui se trouvent sans aucun emploi, sachant que la discrimination existe toujours dans la sélection et le choix des candidats à des postes de travail. L'exemple le plus caractéristique qui touche les femmes concernant la recherche de travail a trait au programme de pré-emploi où des diplômées universitaires, toutes spécialités et disciplines confondues, sont confrontées au quotidien aux difficultés et aux affres de la sélection, notamment lors des concours où des centaines de candidates passent à l'épreuve pour un seul poste de travail pourvu pour le recrutement. Aussi, les diplômées qui passent par l'agence nationale de l'emploi (ANEM) sont sous payées à raison de 15 000 DA moins que le SMIC) en plus du pointage quasi quotidien dans les entreprises qui les emploient. Et pourtant, la Déclaration universelle des droits de l'homme prend en considération également les droits de la femme quant à l'accès au travail, aux soins médicaux, au logement et autres droits économiques, sociaux et socioprofessionnels. Interrogés sur les opportunités d'emploi, existantes sur le marché du travail, notamment dans les zones urbaines, en ce sens que les zones rurales n'offrent pas d'importantes occasions d'emploi, des jeunes sans emploi cherchent désespérément un job pour subvenir à leurs besoins financiers. « Certains médecins, architectes et autres détentrices de bagages universitaires s'évertuent à accepter n'importe quel poste de travail, parfois manuel, pour vivoter... Toutefois, cette situation ne peut pas s'éterniser comptant sur les pouvoirs publics pour concocter une véritable politique de l'emploi susceptible d'offrir du travail aux dizaines de milliers de diplômées issues des universités qui viennent grossir le nombre de la population universitaire au chômage forcée, faute de flexibilité du marché du travail et de la crise économique qui n'encourage pas la création de richesses et d'emplois dans les entreprises hors hydrocarbures ». affirme une jeune universitaire en quête d'un poste de travail. En effet, hormis quelques femmes algériennes ayant accédé à des postes de responsabilité et les quelques femmes chefs d'entreprises, cependant rarissimes dans le monde du travail en Algérie, notamment dans les entreprises publiques, nombreuses sont celles qui sont sorties des universités et instituts d'enseignement supérieur avec des diplômes, mais qui se trouvent sans aucun emploi, sachant que la discrimination existe toujours dans la sélection et le choix des candidats à des postes de travail. L'exemple le plus caractéristique qui touche les femmes concernant la recherche de travail a trait au programme de pré-emploi où des diplômées universitaires, toutes spécialités et disciplines confondues, sont confrontées au quotidien aux difficultés et aux affres de la sélection, notamment lors des concours où des centaines de candidates passent à l'épreuve pour un seul poste de travail pourvu pour le recrutement. Aussi, les diplômées qui passent par l'agence nationale de l'emploi (ANEM) sont sous payées à raison de 15 000 DA moins que le SMIC) en plus du pointage quasi quotidien dans les entreprises qui les emploient. Et pourtant, la Déclaration universelle des droits de l'homme prend en considération également les droits de la femme quant à l'accès au travail, aux soins médicaux, au logement et autres droits économiques, sociaux et socioprofessionnels. Interrogés sur les opportunités d'emploi, existantes sur le marché du travail, notamment dans les zones urbaines, en ce sens que les zones rurales n'offrent pas d'importantes occasions d'emploi, des jeunes sans emploi cherchent désespérément un job pour subvenir à leurs besoins financiers. « Certains médecins, architectes et autres détentrices de bagages universitaires s'évertuent à accepter n'importe quel poste de travail, parfois manuel, pour vivoter... Toutefois, cette situation ne peut pas s'éterniser comptant sur les pouvoirs publics pour concocter une véritable politique de l'emploi susceptible d'offrir du travail aux dizaines de milliers de diplômées issues des universités qui viennent grossir le nombre de la population universitaire au chômage forcée, faute de flexibilité du marché du travail et de la crise économique qui n'encourage pas la création de richesses et d'emplois dans les entreprises hors hydrocarbures ». affirme une jeune universitaire en quête d'un poste de travail.