Trois films, un long métrage et deux courts métrages, ont été projetés dimanche au premier jour de la compétition pour l'obtention de l'Olivier d'Or, plus haute distinction du Festival culturel national du film amazigh, ouvert samedi à Tizi-Ouzou. Trois films, un long métrage et deux courts métrages, ont été projetés dimanche au premier jour de la compétition pour l'obtention de l'Olivier d'Or, plus haute distinction du Festival culturel national du film amazigh, ouvert samedi à Tizi-Ouzou. Le long métrage, La souris et l'or de Markoudja, est une comédie sociale de 78 minutes qui fait une approche entre la nature, le milieu social et les instincts possessifs de l'être humain qui le poussent à commettre des délits, a fait savoir le réalisateur, Lyazid Tabet, à l'issue de la projection. Deux courts métrages en compétition ont également été projetés dans l'après-midi à la salle des spectacles de la maison de la culture Mouloud-Mammeri. Le premier film de 11 minutes, La voix du silence de Slimane Boubekeur, traite de la tolérance entre les religions (l'islam et le christianisme), à travers l'histoire d'une jeune religieuse chrétienne qui vit et prodigue des soins aux habitants d'un village en Kabylie. Suite à un accident de vélo, l'héroïne est sauvée par un jeune musulman pratiquant, réparateur de vélos. Un sujet qui a eu un écho favorable auprès de l'assistance et des membres du jury pour la catégorie courts métrage, présidé par Abdelkrim Tazarout. La dernière projection a concerné un court métrage de 7,32 minutes, Tazemourt (l'olivier) de Belhocine Oubelaïd qui a déclaré être "touché par les dégâts occasionnés par les incendies aux oliveraies, d'où l'idée de réaliser ce travail dans le but de sensibiliser les jeunes et les enfants sur la protection de cette richesse qui est également un repère identitaire et une source de vie pour beaucoup de villageois". Le coup d'envoi de la 15e édition du Festival culturel annuel du film amazigh a été donné samedi soir au théâtre régional Kateb-Yacine de Tizi-Ouzou, par le secrétaire général du ministère de la Culture, Smaïl Oulebsir, en présence de la comédienne Anissa, marraine de cette édition. Dans son allocution d'ouverture, M. Oulebsir a déclaré que ce festival a connu au fil des éditions une "évolution qualitative considérable". Selon lui, cet événement cinématographique qui est "une occasion de découvrir de nouveaux talents créatifs dans le domaine du septième art et les métiers du cinéma notamment l'écriture et l'actorat, mérite d'être encouragé". Le long métrage, La souris et l'or de Markoudja, est une comédie sociale de 78 minutes qui fait une approche entre la nature, le milieu social et les instincts possessifs de l'être humain qui le poussent à commettre des délits, a fait savoir le réalisateur, Lyazid Tabet, à l'issue de la projection. Deux courts métrages en compétition ont également été projetés dans l'après-midi à la salle des spectacles de la maison de la culture Mouloud-Mammeri. Le premier film de 11 minutes, La voix du silence de Slimane Boubekeur, traite de la tolérance entre les religions (l'islam et le christianisme), à travers l'histoire d'une jeune religieuse chrétienne qui vit et prodigue des soins aux habitants d'un village en Kabylie. Suite à un accident de vélo, l'héroïne est sauvée par un jeune musulman pratiquant, réparateur de vélos. Un sujet qui a eu un écho favorable auprès de l'assistance et des membres du jury pour la catégorie courts métrage, présidé par Abdelkrim Tazarout. La dernière projection a concerné un court métrage de 7,32 minutes, Tazemourt (l'olivier) de Belhocine Oubelaïd qui a déclaré être "touché par les dégâts occasionnés par les incendies aux oliveraies, d'où l'idée de réaliser ce travail dans le but de sensibiliser les jeunes et les enfants sur la protection de cette richesse qui est également un repère identitaire et une source de vie pour beaucoup de villageois". Le coup d'envoi de la 15e édition du Festival culturel annuel du film amazigh a été donné samedi soir au théâtre régional Kateb-Yacine de Tizi-Ouzou, par le secrétaire général du ministère de la Culture, Smaïl Oulebsir, en présence de la comédienne Anissa, marraine de cette édition. Dans son allocution d'ouverture, M. Oulebsir a déclaré que ce festival a connu au fil des éditions une "évolution qualitative considérable". Selon lui, cet événement cinématographique qui est "une occasion de découvrir de nouveaux talents créatifs dans le domaine du septième art et les métiers du cinéma notamment l'écriture et l'actorat, mérite d'être encouragé".