Abderazak Makri, qui semble être dans une phase de matraquage médiatiqueintensive, au service de son agenda politique,a mis en ligne hier un nouveaucommentaire sur sa page facebook pourévoquer ses initiatives politiques, dansle cadre du Abderazak Makri, qui semble être dans une phase de matraquage médiatiqueintensive, au service de son agenda politique,a mis en ligne hier un nouveaucommentaire sur sa page facebook pourévoquer ses initiatives politiques, dansle cadre du "Consensus national", versionMSP."Nous avons la conscience tranquillepar rapport à ce que nous avons entrepris,écrit le chef du MSP, notre inquiétudeest grande par rapport à l'avenir denotre pays et pour nous le cinquièmemandat n'est pas la solution". En clair, le propos du chef du MSP se donne à lire comme un regret de sa part, par rapport à l'abandon vraisemblable du report de la présidentielle, une option dont il s'est fait l'avocat ces dernières semaines. "Nous continuerons à défendre avec persévérance notre appel en faveur d'un consensus national, avant et après la convocation du corps électoral et même après l'élection présidentielle", écrit encore Abderazak Makri, en confirmation implicite de cet abandon. Et de conclure son propos, un brinsibyllin, en soutenant que "nous dérangeons un grand nombre de personnes, comme il y a d'autres qui cherchent à nous instrumentaliser". Dans un précédent commentaire datant de lundi, Abderazak Makri reconnait avoir eu ces dernières heures des politiques tous azimuts dont certains ont été volontairement passés sous silence. En particulier la rencontre avec le frère du président, Saïd Bouteflika, officiellement confirmée lundi par le responsable de la communication du parti,dans un entretien au journal El Bilad. "Consensus national", versionMSP."Nous avons la conscience tranquillepar rapport à ce que nous avons entrepris,écrit le chef du MSP, notre inquiétudeest grande par rapport à l'avenir denotre pays et pour nous le cinquièmemandat n'est pas la solution". En clair, le propos du chef du MSP se donne à lire comme un regret de sa part, par rapport à l'abandon vraisemblable du report de la présidentielle, une option dont il s'est fait l'avocat ces dernières semaines. "Nous continuerons à défendre avec persévérance notre appel en faveur d'un consensus national, avant et après la convocation du corps électoral et même après l'élection présidentielle", écrit encore Abderazak Makri, en confirmation implicite de cet abandon. Et de conclure son propos, un brinsibyllin, en soutenant que "nous dérangeons un grand nombre de personnes, comme il y a d'autres qui cherchent à nous instrumentaliser". Dans un précédent commentaire datant de lundi, Abderazak Makri reconnait avoir eu ces dernières heures des politiques tous azimuts dont certains ont été volontairement passés sous silence. En particulier la rencontre avec le frère du président, Saïd Bouteflika, officiellement confirmée lundi par le responsable de la communication du parti,dans un entretien au journal El Bilad.