Plusieurs partis et personnalités de l'opposition doivent se réunir aujourd'hui Alger lors d'un sommet initié par Abdallah Djaballah, président du parti El Adala. Plusieurs partis et personnalités de l'opposition doivent se réunir aujourd'hui Alger lors d'un sommet initié par Abdallah Djaballah, président du parti El Adala. Ce sommet a pour objectif de tenter de trouver un compromis pour la désignationd'un candidat unique de l'oppositionqui affronterait le Président sortantAbdelaziz Bouteflika, en quête d'uncinquième mandat.La réunion doit notamment permettre de discuter du programme que devrait défendre un éventuel candidat unique de l'opposition,ainsi que des réformes à mener "surl'ossature législative à adopter pourreconstruire l'Etat et la société", a expliquéLakhdar Benkhelaf, responsable au sein duparti El Adala. La réunion devra égalementdiscuter de l'éventuelle désignation d'uncandidat de consensus entre l'opposition.Deux personnalités de premier devraientêtre présentes à cette rencontre, à savoir Abderrazak Makri, président duMouvement de la société pour la paix(MSP), et Ali Benflis, président de TalaieEl Hourriyet. La présence de TaharBenbaibèche, Noureddine Bahbouh, KarimTabou, Mohamed Saïd, Abdelaziz Rahabi,Saâd Bouakba, Abdelaziz Ghermoul,Abdelkader Bengrina (ou un autre représentantd'El Bina), Ahmed Benbitour etMohamed Abbas a également été confirmée.Plusieurs partis phares de l'oppositionont cependant annoncé qu'ils ne participeraient pas à cette rencontre, s'excluant ainsi de facto de l'initiative. Il s'agit notamment du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), qui a d'ores et déjà choisi la voie du boycott en annonçant rejeter "énième opération de désignation d'un Chef de l'Etat". De même pour le Front des forces socialistes (FFS), qui a annoncé qu'il ne "présenterapas de candidat et ne soutiendra aucun candidat dont la participation ne servirait qu'à donner une façade faussement démocratique à un scrutin fermé d'avance au profit du candidat du régime". Le Parti des travailleurs (PT) s'est lui aussi distancé de l'initiative. Youcef Tazibt, membre du bureau politique (BP) et député d'Alger, s'est franchement démarqué de la démarche dans un contexte où le PT n'a même pas encore tranché la question de sa participation au scrutin présidentiel. L'autre absent est Ali Ghediri, candidat à la candidature aux prochaines présidentielles., Son coordinateur de campagne, Mokrane Aït Larbi, a en effet annoncé ce mardi que Ghediri ne participera pas à la rencontre, démentant ainsi les affirmations du parti El Adala qui avait confirmé la présence du candidat. Abdallah Djaballah s'est d'ailleurs déclaré "étonné" par la décision et a réitéré son invitation à Ali Ghediri. "Lors de notre rencontre, il était d'accord avec la démarche et sur l'idée d'un candidat unique de l'opposition", a affirmé hier Djaballah dans une déclaration à TSA. Abderrazak Makri dément avoir critiqué Ghediri Le président du MSP Abderrazak Makri a démenti hier avoir critiqué le candidat à la candidature à l'élection présidentielle Ali Ghediri, en réponse à "certains médias" qu ont, selon lui, "relayé des propos dénué denvérité". "Je n'ai d'aucune façon parlé ducandidat Ghediri puisque je ne le connais pas et il ne m'est pas arrivé de le rencontrer", a écrit Makri, sur sa page Facebook. M. Makri se démarque de "toute interprétation de la part de parties qui veulent diviserla classe politique". Ce sommet a pour objectif de tenter de trouver un compromis pour la désignationd'un candidat unique de l'oppositionqui affronterait le Président sortantAbdelaziz Bouteflika, en quête d'uncinquième mandat.La réunion doit notamment permettre de discuter du programme que devrait défendre un éventuel candidat unique de l'opposition,ainsi que des réformes à mener "surl'ossature législative à adopter pourreconstruire l'Etat et la société", a expliquéLakhdar Benkhelaf, responsable au sein duparti El Adala. La réunion devra égalementdiscuter de l'éventuelle désignation d'uncandidat de consensus entre l'opposition.Deux personnalités de premier devraientêtre présentes à cette rencontre, à savoir Abderrazak Makri, président duMouvement de la société pour la paix(MSP), et Ali Benflis, président de TalaieEl Hourriyet. La présence de TaharBenbaibèche, Noureddine Bahbouh, KarimTabou, Mohamed Saïd, Abdelaziz Rahabi,Saâd Bouakba, Abdelaziz Ghermoul,Abdelkader Bengrina (ou un autre représentantd'El Bina), Ahmed Benbitour etMohamed Abbas a également été confirmée.Plusieurs partis phares de l'oppositionont cependant annoncé qu'ils ne participeraient pas à cette rencontre, s'excluant ainsi de facto de l'initiative. Il s'agit notamment du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), qui a d'ores et déjà choisi la voie du boycott en annonçant rejeter "énième opération de désignation d'un Chef de l'Etat". De même pour le Front des forces socialistes (FFS), qui a annoncé qu'il ne "présenterapas de candidat et ne soutiendra aucun candidat dont la participation ne servirait qu'à donner une façade faussement démocratique à un scrutin fermé d'avance au profit du candidat du régime". Le Parti des travailleurs (PT) s'est lui aussi distancé de l'initiative. Youcef Tazibt, membre du bureau politique (BP) et député d'Alger, s'est franchement démarqué de la démarche dans un contexte où le PT n'a même pas encore tranché la question de sa participation au scrutin présidentiel. L'autre absent est Ali Ghediri, candidat à la candidature aux prochaines présidentielles., Son coordinateur de campagne, Mokrane Aït Larbi, a en effet annoncé ce mardi que Ghediri ne participera pas à la rencontre, démentant ainsi les affirmations du parti El Adala qui avait confirmé la présence du candidat. Abdallah Djaballah s'est d'ailleurs déclaré "étonné" par la décision et a réitéré son invitation à Ali Ghediri. "Lors de notre rencontre, il était d'accord avec la démarche et sur l'idée d'un candidat unique de l'opposition", a affirmé hier Djaballah dans une déclaration à TSA. Abderrazak Makri dément avoir critiqué Ghediri Le président du MSP Abderrazak Makri a démenti hier avoir critiqué le candidat à la candidature à l'élection présidentielle Ali Ghediri, en réponse à "certains médias" qu ont, selon lui, "relayé des propos dénué denvérité". "Je n'ai d'aucune façon parlé ducandidat Ghediri puisque je ne le connais pas et il ne m'est pas arrivé de le rencontrer", a écrit Makri, sur sa page Facebook. M. Makri se démarque de "toute interprétation de la part de parties qui veulent diviserla classe politique".