L'appel à la grève lancé par la Coordination des syndicats autonomes (CSA), qui regroupe de nombreux syndicats de différents secteurs d'activités et tout particulièrement celui de la Fonction publique, a été largement suivi hier. L'appel à la grève lancé par la Coordination des syndicats autonomes (CSA), qui regroupe de nombreux syndicats de différents secteurs d'activités et tout particulièrement celui de la Fonction publique, a été largement suivi hier. En effet plusieurs secteurs ont été entièrement paralysés hier sur l'ensemble du territoire national. Desdizaines de milliers de travailleurs ont, àcet effet, battu le pavé en organisant d'importantesmarches pour réclamer le changement.Conjoncture politique oblige, lesmanifestants ont, ainsi, refusé le nouveauchef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, enlui demandant de partir. Dans la capitale,Alger, les travaileurs ont organisé uneimposante marche. Ils ont en effet battu lepavé de la place du 1er Mai à la Grande-Poste. Munis de banderoles et de pancartesappelant au changement radical dusystème politique, les manifestants ontfait face, au début, à d'impressionnantscordons de sécurité. Après insistance etsurtout une plus forte mobilisation, lesservices de sécurité ont fini par céder etouvrir la route."Pouvoir assassin", "Bensalah dégage","Libérez l'Algérie", "Système dégage","Djazaïr hora dimocratia" (Algérie libreet démocratique), autant de slogans scandéspar les manifestants. Des canons à eauet des bombes lacrymogènes ont été utiliséspour tenter de disperser la foule compacte,notamment au niveau de l'avenuePasteur et de la Grande-Poste. Selon des sources syndicales les forces de l'ordreont procédé à quelques interpellations au des manifestants. Des citoyens se sont, parfois, interposés en tentant d'empêcher les interpellations. Un peu partout l'ensemble du territoire ce sont pratiquement les mêmes images. Les travaileurs ont organisé des marches en scandant les slogans traditionnels, relatifs à la d'opérer un changement radical. Abdelkader Bensalah, le chef de l'Etat, n'a pas été épargné et les foules lui ont de démissionner. Béjaïa, plusieurs administrations étaient en grève, dont la direction du commerce. A Relizane la grève a été largement suivie les travailleurs de l'Education dans les collèges et les écoles primaires. syndicats autonomes sont hostiles au du pouvoir en place incarné par Bensalah, Bedoui et Belaïz pour gérer la période de transition. A Bouira, Blida, Tipasa, Béjaïa, Oran, Annaba, Tizi-Ouzou,travailleurs sont également sortis dans la rue pour exprimerleur rejet total de Bensalah commePrésident intérimaire En effet plusieurs secteurs ont été entièrement paralysés hier sur l'ensemble du territoire national. Desdizaines de milliers de travailleurs ont, àcet effet, battu le pavé en organisant d'importantesmarches pour réclamer le changement.Conjoncture politique oblige, lesmanifestants ont, ainsi, refusé le nouveauchef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, enlui demandant de partir. Dans la capitale,Alger, les travaileurs ont organisé uneimposante marche. Ils ont en effet battu lepavé de la place du 1er Mai à la Grande-Poste. Munis de banderoles et de pancartesappelant au changement radical dusystème politique, les manifestants ontfait face, au début, à d'impressionnantscordons de sécurité. Après insistance etsurtout une plus forte mobilisation, lesservices de sécurité ont fini par céder etouvrir la route."Pouvoir assassin", "Bensalah dégage","Libérez l'Algérie", "Système dégage","Djazaïr hora dimocratia" (Algérie libreet démocratique), autant de slogans scandéspar les manifestants. Des canons à eauet des bombes lacrymogènes ont été utiliséspour tenter de disperser la foule compacte,notamment au niveau de l'avenuePasteur et de la Grande-Poste. Selon des sources syndicales les forces de l'ordreont procédé à quelques interpellations au des manifestants. Des citoyens se sont, parfois, interposés en tentant d'empêcher les interpellations. Un peu partout l'ensemble du territoire ce sont pratiquement les mêmes images. Les travaileurs ont organisé des marches en scandant les slogans traditionnels, relatifs à la d'opérer un changement radical. Abdelkader Bensalah, le chef de l'Etat, n'a pas été épargné et les foules lui ont de démissionner. Béjaïa, plusieurs administrations étaient en grève, dont la direction du commerce. A Relizane la grève a été largement suivie les travailleurs de l'Education dans les collèges et les écoles primaires. syndicats autonomes sont hostiles au du pouvoir en place incarné par Bensalah, Bedoui et Belaïz pour gérer la période de transition. A Bouira, Blida, Tipasa, Béjaïa, Oran, Annaba, Tizi-Ouzou,travailleurs sont également sortis dans la rue pour exprimerleur rejet total de Bensalah commePrésident intérimaire