Après d'interminables recherches, le petit Yanis Hassani du village Tachtiouine, commune d'Aït Yahia-Moussa (Tizi-Ouzou), disparu mystérieusement depuis mardi dernier, a été retrouvé mort, vendredi dernier, vers 13 heures, au fond d'un puits dans la forêt de Ighil Mouhou. Après d'interminables recherches, le petit Yanis Hassani du village Tachtiouine, commune d'Aït Yahia-Moussa (Tizi-Ouzou), disparu mystérieusement depuis mardi dernier, a été retrouvé mort, vendredi dernier, vers 13 heures, au fond d'un puits dans la forêt de Ighil Mouhou. La nouvelle, tombée tel un coup de massue, s'est propagée comme une traînée de poudre car tout le monde attendait les résultats des recherches qui étaient en cours pour la quatrième journée consécutive. Pourtant, l'espoir était encore présent que l'enfant soit retrouvé sain et sauf. La mobilisation a atteint son paroxysme. En plus des éléments de la Gendarmerie nationale et de la Protection civile, des citoyens venus d'un peu partoutont épaulé les habitants d'Aït Yahia- Moussa dans cette recherche. De leur côté,les autorités locales étaient sur le pied de guerre afin de prendre part à cette mobilisation générale aux côtés de la famille de Yanis et du village Ighil Mouhou. C'est tout le monde qui a conjugué ses efforts afin de retrouver le petit Yanis. Malheureusement, l'enfant a connu une fin tragique. Il faut rappeler que mardi dernier, à 19 heures, les membres de la famille de Yanis ont signalé la disparition de leur enfant à la brigade de la Gendarmerie nationale qui a immédiatement entamé le travail nécessaire pour retrouver l'enfant de quatre ans qui, pour rappel, est autiste.Concernant les circonstances de cette disparition, Yanis est revenu des champs d'oliviers à 17 heures. Il est resté devant la maison avec ses frères pour jouer, comme il avait l'habitude de faire. Mais quand ses frères sont rentrés à la maison, Yanis n'était pas avec eux. Après avoir cherché pendant près de deux heures aux alentours de la maison, les parents de l'enfant ont fini par signaler la disparition aux services de sécurité. Il faut préciser que la maison de Yanis est mitoyenne d'une forêt très dense. Le phénomène de disparition des enfants devient inquiétant. Même s'il nous est étranger, il a tout l'air de se frayer un chemin dans une société en proie à tous les déséquilibres. Aujourd'hui, parents et enfants ne se sentent plus en sécurité dans leur cité, au marché, dans la rue et même à l'école. Ce qui interpelle la société dans sa globalité, à savoir la société civile et les parents, bien sûr, à s'unir pour combattre ensemble ce fléau car c'est l'affaire de tout un chacun. A noter que le garde des sceaux a indiqué dernièrement qu'un texte de loi contre l'enlèvement sera prochainement promulgué. Le texte de loi en question propose une peine d'emprisonnement « allant de cinq ans de prison à la perpétuité en cas d'assassinat, en plus d'une amende qui atteindra les deux millions de dinars contre les auteurs du crime La nouvelle, tombée tel un coup de massue, s'est propagée comme une traînée de poudre car tout le monde attendait les résultats des recherches qui étaient en cours pour la quatrième journée consécutive. Pourtant, l'espoir était encore présent que l'enfant soit retrouvé sain et sauf. La mobilisation a atteint son paroxysme. En plus des éléments de la Gendarmerie nationale et de la Protection civile, des citoyens venus d'un peu partoutont épaulé les habitants d'Aït Yahia- Moussa dans cette recherche. De leur côté,les autorités locales étaient sur le pied de guerre afin de prendre part à cette mobilisation générale aux côtés de la famille de Yanis et du village Ighil Mouhou. C'est tout le monde qui a conjugué ses efforts afin de retrouver le petit Yanis. Malheureusement, l'enfant a connu une fin tragique. Il faut rappeler que mardi dernier, à 19 heures, les membres de la famille de Yanis ont signalé la disparition de leur enfant à la brigade de la Gendarmerie nationale qui a immédiatement entamé le travail nécessaire pour retrouver l'enfant de quatre ans qui, pour rappel, est autiste.Concernant les circonstances de cette disparition, Yanis est revenu des champs d'oliviers à 17 heures. Il est resté devant la maison avec ses frères pour jouer, comme il avait l'habitude de faire. Mais quand ses frères sont rentrés à la maison, Yanis n'était pas avec eux. Après avoir cherché pendant près de deux heures aux alentours de la maison, les parents de l'enfant ont fini par signaler la disparition aux services de sécurité. Il faut préciser que la maison de Yanis est mitoyenne d'une forêt très dense. Le phénomène de disparition des enfants devient inquiétant. Même s'il nous est étranger, il a tout l'air de se frayer un chemin dans une société en proie à tous les déséquilibres. Aujourd'hui, parents et enfants ne se sentent plus en sécurité dans leur cité, au marché, dans la rue et même à l'école. Ce qui interpelle la société dans sa globalité, à savoir la société civile et les parents, bien sûr, à s'unir pour combattre ensemble ce fléau car c'est l'affaire de tout un chacun. A noter que le garde des sceaux a indiqué dernièrement qu'un texte de loi contre l'enlèvement sera prochainement promulgué. Le texte de loi en question propose une peine d'emprisonnement « allant de cinq ans de prison à la perpétuité en cas d'assassinat, en plus d'une amende qui atteindra les deux millions de dinars contre les auteurs du crime