Fortement espérées depuis l'apparition, il y a environ 9 mois, de la pandémie de la Covid 19, les premières opérations de vaccination contre ce virus devraient débuter "incessamment" à travers l'ensemble du pays. Fortement espérées depuis l'apparition, il y a environ 9 mois, de la pandémie de la Covid 19, les premières opérations de vaccination contre ce virus devraient débuter "incessamment" à travers l'ensemble du pays. Le directeur des activités médicales et paramédicales de l'hôpital Mustapha signale, en ce sens, que les travaux de préparation sont en cours pour entreprendre les activités de vaccination dans les meilleures conditions possibles. Il indique, au passage, que l'Algérie a fait le choix du vaccin russe, dénommé Spoutnik 5, nécessitant deux inoculations successives, d'un intervalle de trois semaines, ce qui, ajoute-t-il, n'interdit pas de faire appel à d'autres traitements immunitaires, si cela s'avérait nécessaire. S'exprimant, hier, à l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, le professeur Rachid Belhadj rappelle que les services nationaux de santé possèdent une solide expérience, datant du début de l'indépendance pour mener à bien ces "actes médicaux". Des personnes appelées à être vaccinées prioritairement, ce dernier met en avant celles les plus vulnérables, c'est-à-dire affectées par des maladies chroniques, à l'exemple du diabète, de l'asthme, de l'obésité ou de l'hypertension artérielle, lesquelles ont eu à payer le plus lourd tribut à la Covid 19. Ce praticien qui assure, en outre, la présidence du Syndicat national des enseignants chercheurs, tout en observant que se faire vacciner ou non relève du libre choix de chacun, n'en estime pas moins que lorsqu'il s'agit de protéger d'autres personnes, la raison, la sécurité sanitaire et les données scientifiques, imposent,d'accepter le vaccin. Il relève que, comme toute opération vaccinale, celle destinée à stopper la prolifération de la pandémie du coronavirus a besoin, elle aussi, d'être précédée par une campagne de sensibilisation de la population. De l'efficacité des divers vaccins mis au point par différents laboratoires dans le monde pour stopper la sérieuse menace que constitue la Covid 19, l'invité déclare qu'il n'y a pas "assez de recul" pour la confirmer, notant qu'en ce qui concerne leur point fort, c'est "qu'ils ne mutent pas beaucoup". Face à la vulnérabilité qu'aura démontrée sur différents plans l'apparition de ce virus et ceux risquant de se manifester à l'avenir, cet intervenant estime vital d'en "tirer des leçons", soulignant l'impérieuse nécessité de revoir, dans sa globalité, le fonctionnement del'ensemble du système national de santé. Il rappelle, à ce propos, que le chef de l'Etat avait formulé une promesse en ce sens, jugeant que la santé des Algériens constitue l'un des éléments majeurs de renforcement de la sécurité leur pays. Le directeur des activités médicales et paramédicales de l'hôpital Mustapha signale, en ce sens, que les travaux de préparation sont en cours pour entreprendre les activités de vaccination dans les meilleures conditions possibles. Il indique, au passage, que l'Algérie a fait le choix du vaccin russe, dénommé Spoutnik 5, nécessitant deux inoculations successives, d'un intervalle de trois semaines, ce qui, ajoute-t-il, n'interdit pas de faire appel à d'autres traitements immunitaires, si cela s'avérait nécessaire. S'exprimant, hier, à l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, le professeur Rachid Belhadj rappelle que les services nationaux de santé possèdent une solide expérience, datant du début de l'indépendance pour mener à bien ces "actes médicaux". Des personnes appelées à être vaccinées prioritairement, ce dernier met en avant celles les plus vulnérables, c'est-à-dire affectées par des maladies chroniques, à l'exemple du diabète, de l'asthme, de l'obésité ou de l'hypertension artérielle, lesquelles ont eu à payer le plus lourd tribut à la Covid 19. Ce praticien qui assure, en outre, la présidence du Syndicat national des enseignants chercheurs, tout en observant que se faire vacciner ou non relève du libre choix de chacun, n'en estime pas moins que lorsqu'il s'agit de protéger d'autres personnes, la raison, la sécurité sanitaire et les données scientifiques, imposent,d'accepter le vaccin. Il relève que, comme toute opération vaccinale, celle destinée à stopper la prolifération de la pandémie du coronavirus a besoin, elle aussi, d'être précédée par une campagne de sensibilisation de la population. De l'efficacité des divers vaccins mis au point par différents laboratoires dans le monde pour stopper la sérieuse menace que constitue la Covid 19, l'invité déclare qu'il n'y a pas "assez de recul" pour la confirmer, notant qu'en ce qui concerne leur point fort, c'est "qu'ils ne mutent pas beaucoup". Face à la vulnérabilité qu'aura démontrée sur différents plans l'apparition de ce virus et ceux risquant de se manifester à l'avenir, cet intervenant estime vital d'en "tirer des leçons", soulignant l'impérieuse nécessité de revoir, dans sa globalité, le fonctionnement del'ensemble du système national de santé. Il rappelle, à ce propos, que le chef de l'Etat avait formulé une promesse en ce sens, jugeant que la santé des Algériens constitue l'un des éléments majeurs de renforcement de la sécurité leur pays.