L'Agence de coopération allemande, la GTZ, a tenu, hier, à Alger, un séminaire portant sur la régulation du service public relatif à la gestion d'infrastructures de l'approvisionnement en eau potable et de l'évacuation des eaux usées. Organisé en collaboration avec le ministère des Ressources en eau, ce séminaire s'inscrit dans le cadre d'un cycle de réflexion sur différents modèles de régulation européens, notamment ceux d'Allemagne, de France, de Grande-Bretagne, d'Espagne et des pays de l'Europe de l'Est. Cette rencontre, première d'une série de six séminaires, vise essentiellement «à améliorer la gestion d'ensemble des ressources en eau, à maîtriser la demande en eau potable, industrielle et agricole et à assurer la compatibilité de la gestion des eaux avec la politique d'aménagement du territoire et de protection de l'environnement», a affirmé Mme Gabrielle Kassel, directrice du Programme de gestion intégrée de l'eau qui a été développé conjointement par le ministère des Ressources en eau et GTZ. Il s'échelonnera jusqu'à la fin 2011, a ajouté Mme Kassel. Le programme commence à montrer des effets positifs à l'égard institutionnel, écologique et socioéconomique. Ces effets ont été ressentis à travers l'approche participative au niveau local, surtout dans les Oasis, notamment dans l'oasis de Beni Abbès, où un travail d'intensification à l'égard des populations a été élaboré pour une meilleure protection des ressources en eau. Outre ces effets d'approches participatives grâce à ce programme, cinq nouvelles autorités pour les bassins hydrographiques (Agence de bassin hydrographique) dont quatre pour le Nord de l'Algérie, ont vu le jour, souligne un responsable de GTZ. Ces autorités ont commencé, avec l'assistance de la GTZ, à établir des plans-cadreS pour une gestion d'eau régionale selon une méthode standard de planification. Ils travaillent avec un système de données standard. Les données pour le calcul des bilans d'eau correspondent ainsi pour la première fois à un standard unitaire et sont nouées avec le système du ministère des Ressources en eau. Cela participe à l'établissement de la transparence dans la comptabilité des données. Revenant au séminaire, il est à signaler que cette présentation permettra aux responsables algériens dans ce domaine d'avoir des informations plus précises afin d'enrichir leur approche en ce qui concerne les problèmes liés à la régulation du service public de l'eau et de l'assainissement. Dans cette optique, selon les responsables de GTZ, «l'Allemagne est engagée depuis déjà plusieurs années en collaboration avec les partenaires algériens en vue d'apporter son soutien et son expérience pour une meilleure gestion de l'eau». L'Agence de coopération allemande, la GTZ, a tenu, hier, à Alger, un séminaire portant sur la régulation du service public relatif à la gestion d'infrastructures de l'approvisionnement en eau potable et de l'évacuation des eaux usées. Organisé en collaboration avec le ministère des Ressources en eau, ce séminaire s'inscrit dans le cadre d'un cycle de réflexion sur différents modèles de régulation européens, notamment ceux d'Allemagne, de France, de Grande-Bretagne, d'Espagne et des pays de l'Europe de l'Est. Cette rencontre, première d'une série de six séminaires, vise essentiellement «à améliorer la gestion d'ensemble des ressources en eau, à maîtriser la demande en eau potable, industrielle et agricole et à assurer la compatibilité de la gestion des eaux avec la politique d'aménagement du territoire et de protection de l'environnement», a affirmé Mme Gabrielle Kassel, directrice du Programme de gestion intégrée de l'eau qui a été développé conjointement par le ministère des Ressources en eau et GTZ. Il s'échelonnera jusqu'à la fin 2011, a ajouté Mme Kassel. Le programme commence à montrer des effets positifs à l'égard institutionnel, écologique et socioéconomique. Ces effets ont été ressentis à travers l'approche participative au niveau local, surtout dans les Oasis, notamment dans l'oasis de Beni Abbès, où un travail d'intensification à l'égard des populations a été élaboré pour une meilleure protection des ressources en eau. Outre ces effets d'approches participatives grâce à ce programme, cinq nouvelles autorités pour les bassins hydrographiques (Agence de bassin hydrographique) dont quatre pour le Nord de l'Algérie, ont vu le jour, souligne un responsable de GTZ. Ces autorités ont commencé, avec l'assistance de la GTZ, à établir des plans-cadreS pour une gestion d'eau régionale selon une méthode standard de planification. Ils travaillent avec un système de données standard. Les données pour le calcul des bilans d'eau correspondent ainsi pour la première fois à un standard unitaire et sont nouées avec le système du ministère des Ressources en eau. Cela participe à l'établissement de la transparence dans la comptabilité des données. Revenant au séminaire, il est à signaler que cette présentation permettra aux responsables algériens dans ce domaine d'avoir des informations plus précises afin d'enrichir leur approche en ce qui concerne les problèmes liés à la régulation du service public de l'eau et de l'assainissement. Dans cette optique, selon les responsables de GTZ, «l'Allemagne est engagée depuis déjà plusieurs années en collaboration avec les partenaires algériens en vue d'apporter son soutien et son expérience pour une meilleure gestion de l'eau».