Le ministère des Transports exige des transporteurs, pour le renouvellement de leurs documents, la présentation de leur certificat d'affiliation, l'immatriculation de leurs véhicules et surtout le numéro de la ligne attribuée. Le ministère des Transports exige des transporteurs, pour le renouvellement de leurs documents, la présentation de leur certificat d'affiliation, l'immatriculation de leurs véhicules et surtout le numéro de la ligne attribuée. La démarche du ministère des Transports concernant l'opération de renouvellement de l'ensemble des documents liés à l'exploitation des activités de transport routier de personnes et de marchandises et des activités d'auxiliaires du transport routier, lancée du 10 mars au 31 décembre, semble avoir trouvé un écho favorable auprès des opérateurs activant dans le domaine. C'est du moins ce qu'a affirmé M. Kamel Bouhenaf, président de la Commission nationale des transporteurs, contacté par nos soins. Le responsable a expliqué que cette opération «permettra l'assainissement des lignes afin de désigner le nombre d'opérateurs qui activent réellement sur le terrain selon les méthodes réglementaires imposées par le ministère de tutelle». «Cette action est bénéfique pour le transporteur du moment qu'elle permet la mise à jour des dossiers, et qui dit mise à jour, dit assainissement du secteur des transports qui enregistre plusieurs défaillances», ajoute-t-il. L'interlocuteur a estimé, par ailleurs, que cette démarche sera suivie par les transporteurs, non pas par obligation, mais c'est surtout «parce qu'ils sont conscients des avantages que représente une telle action». En effet, le transporteur algérien est confronté à une concurrence déloyale de la part des transporteurs frauduleux qui trichent dans les numéros des lignes, pire encore, dans l'agrément même, explique M. Bouhenaf. A titre d'exemple, selon les chiffres officiels de la Direction des transports de la wilaya de Tipasa, le nombre des transporteurs enregistré sur la ligne Koléa-Alger est de 31. Cependant, sur le terrain, les opérateurs actifs sur la même ligne dépassent de loin la liste officielle. Ce dysfonctionnement engendre automatiquement une anarchie dans les stations. Les passagers sont les premiers à se plaindre de ce désagrément. Le ministère des Transports exige des transporteurs, pour le renouvellement de leurs documents, la présentation de leur certificat d'affiliation, l'immatriculation de leurs véhicules et surtout le numéro de la ligne attribuée. De cette manière, les directions des transports des wilayas parviendront à distinguer les lignes saturées de celles qui accusent un manque de couverture. Par ailleurs, le président de la Commission nationale des transporteurs n'a pas caché son mécontentement face aux sérieux problèmes auxquels fait face cette catégorie de professionnels. Les transporteurs se plaignent notamment du poids des dettes qui les accablent et les empêchent d'évoluer, et par la même, d'offrir le maximum de services aux passagers. Le responsable a souhaité l'intervention des autorités publiques afin d'éponger ces dettes. La démarche du ministère des Transports concernant l'opération de renouvellement de l'ensemble des documents liés à l'exploitation des activités de transport routier de personnes et de marchandises et des activités d'auxiliaires du transport routier, lancée du 10 mars au 31 décembre, semble avoir trouvé un écho favorable auprès des opérateurs activant dans le domaine. C'est du moins ce qu'a affirmé M. Kamel Bouhenaf, président de la Commission nationale des transporteurs, contacté par nos soins. Le responsable a expliqué que cette opération «permettra l'assainissement des lignes afin de désigner le nombre d'opérateurs qui activent réellement sur le terrain selon les méthodes réglementaires imposées par le ministère de tutelle». «Cette action est bénéfique pour le transporteur du moment qu'elle permet la mise à jour des dossiers, et qui dit mise à jour, dit assainissement du secteur des transports qui enregistre plusieurs défaillances», ajoute-t-il. L'interlocuteur a estimé, par ailleurs, que cette démarche sera suivie par les transporteurs, non pas par obligation, mais c'est surtout «parce qu'ils sont conscients des avantages que représente une telle action». En effet, le transporteur algérien est confronté à une concurrence déloyale de la part des transporteurs frauduleux qui trichent dans les numéros des lignes, pire encore, dans l'agrément même, explique M. Bouhenaf. A titre d'exemple, selon les chiffres officiels de la Direction des transports de la wilaya de Tipasa, le nombre des transporteurs enregistré sur la ligne Koléa-Alger est de 31. Cependant, sur le terrain, les opérateurs actifs sur la même ligne dépassent de loin la liste officielle. Ce dysfonctionnement engendre automatiquement une anarchie dans les stations. Les passagers sont les premiers à se plaindre de ce désagrément. Le ministère des Transports exige des transporteurs, pour le renouvellement de leurs documents, la présentation de leur certificat d'affiliation, l'immatriculation de leurs véhicules et surtout le numéro de la ligne attribuée. De cette manière, les directions des transports des wilayas parviendront à distinguer les lignes saturées de celles qui accusent un manque de couverture. Par ailleurs, le président de la Commission nationale des transporteurs n'a pas caché son mécontentement face aux sérieux problèmes auxquels fait face cette catégorie de professionnels. Les transporteurs se plaignent notamment du poids des dettes qui les accablent et les empêchent d'évoluer, et par la même, d'offrir le maximum de services aux passagers. Le responsable a souhaité l'intervention des autorités publiques afin d'éponger ces dettes.