Les participants au premier congrès international sur le thème "Psycho-trauma : soins, expertise et accueil", ont appelé jeudi dernier à Alger, à la mise en place d'une coordination entre les différents acteurs pour lutter contre la violence sous toutes ses formes. Ce travail de coordination entre des juristes, médecins légistes, psychiatres et pédopsychiatres, à pour but de dégager un programme commun pour déterminer les causes des violences et les moyens de prise en charge des victimes. Parmi les recommandations de cette rencontre figurent également la nécessité de réaliser un programme de prévention et un autre de formation au profit de tous les professionnels appelés à intervenir dans ce domaine. L'intérêt de la mise en place de cellules d'urgence médico-psychologiques fonctionnelles et le lancement de compagnes de sensibilisation précoce aux problèmes de la violence particulièrement auprès des jeunes, a également été souligné par les participants au congrès qui ont proposé aussi de définir des mécanismes destinés à la facilité de l'indemnisation des victimes. Le ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l'étranger, M. Djamel Ould Abbès, a exprimé dans ce contexte "la volonté de son département à créer des cellules d'urgence médico-psychologiques, particulièrement dans les communes éloignées". Ces structures qui viendront s'ajouter aux cellules de proximité créées pour la prise en charge psychothérapeutique, regrouperont des médecins, des sociologues, psychologues, psychiatres et des enquêteurs. Les participants au premier congrès international sur le thème "Psycho-trauma : soins, expertise et accueil", ont appelé jeudi dernier à Alger, à la mise en place d'une coordination entre les différents acteurs pour lutter contre la violence sous toutes ses formes. Ce travail de coordination entre des juristes, médecins légistes, psychiatres et pédopsychiatres, à pour but de dégager un programme commun pour déterminer les causes des violences et les moyens de prise en charge des victimes. Parmi les recommandations de cette rencontre figurent également la nécessité de réaliser un programme de prévention et un autre de formation au profit de tous les professionnels appelés à intervenir dans ce domaine. L'intérêt de la mise en place de cellules d'urgence médico-psychologiques fonctionnelles et le lancement de compagnes de sensibilisation précoce aux problèmes de la violence particulièrement auprès des jeunes, a également été souligné par les participants au congrès qui ont proposé aussi de définir des mécanismes destinés à la facilité de l'indemnisation des victimes. Le ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l'étranger, M. Djamel Ould Abbès, a exprimé dans ce contexte "la volonté de son département à créer des cellules d'urgence médico-psychologiques, particulièrement dans les communes éloignées". Ces structures qui viendront s'ajouter aux cellules de proximité créées pour la prise en charge psychothérapeutique, regrouperont des médecins, des sociologues, psychologues, psychiatres et des enquêteurs.