L'actualité internationale sera centrée sur L'Aquila (Italie) où, du 8 au 10 juillet, un sommet réunira les leaders des pays de G8 (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Italie, Japon, Russie) et les dirigeants du "Groupe des 5" (Afrique du Sud, Brésil, Chine, Inde, Mexique). A cette occasion, le mécanisme de suivi G8-G5+3 (les cinq membres fondateurs du NEPAD + le président du Comité de mise en œuvre du NEPAD, le président de l'UA et le président de la commission de l'UA) sera à l'ordre du jour. Le président Bouteflika qui participera aux travaux du sommet du G8, a souligné «l'impérieuse et urgente nécessité de redynamiser le dialogue entre le G8 et l'Afrique face à la crise économique et financière mondiale pour permettre au partenariat que nous développons avec les pays les plus industrialisés de jouer pleinement son rôle de soutien et d'accompagnement de l'Afrique dans son entreprise de mise en œuvre du NEPAD et de réalisation des OMD». Pour leur part, les pays du BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine), les quatre plus grands marchés émergents du monde, exprimeront, sans doute, leurs points de vue sur l'actuelle crise financière globale, tout en appelant aux efforts globaux pour surmonter la crise, comme ils l'ont fait lors de la Conférence des Nations unies sur la crise économique et financière mondiale et ses conséquences sur le développement, qui s'est tenue du 24 au 26 juin à New-York. C'était la première conférence de haut niveau jamais organisée par l'ONU pour se consacrer à la crise financière et économique. Les représentants d'environ 150 pays membres de l'ONU se sont réunis pendant trois jours à New York pour réfléchir sur la lutte contre la crise. Elle a été ouverte par le secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon. Les pays du BRIC qui ont tenu leur premier sommet le 16 juin dans la ville russe d'Ekaterinbourg, contribuent de plus en plus à la croissance économique globale et jouent un rôle essentiel pour stabiliser la situation économique mondiale dans le contexte de crise financière internationale. A ce titre, leur participation à la Conférence des Nations unies a pris une signification particulière à quelques jours de la réunion du G8 en Italie. Au cours de cette conférence, l'ambassadeur Celso Amorim du ministère brésilien des Affaires étrangères a affirmé qu' «au sein des Nations Unies, les pays dont la voix ne se fait pas entendre dans les institutions de gouvernance financières sont en mesure d'exprimer leurs opinions, certains sont parmi les plus pauvres du monde et ont été durement touchés par le ralentissement économique global. Ils ne portent pas la responsabilité pour la crise actuelle. Nous devons écouter leurs préoccupations. Nous devons garder à l'esprit leurs intérêts dans nos actions collectives vers la reprise», a-t-il souligné. Pour sa part, Preneet Kaur, ministre d'Etat aux Affaires étrangères de l'Inde, a affirmé qu' «il est impératif que dans les décisions clé et les processus de prise de la décision la voix et la participation réelle des pays en voie de développement soient renforcées et accrues». Quant à Alexeï Kudrtn, vice-Premier ministre russe et ministre des Finances, il a indiqué qu'« il est très important que les décisions de la conférence de l'ONU, ayant une légitimité universelle et reflétant la volonté de toute la communauté internationale, aient pour objectif la recherche des moyens collectifs afin de renforcer la coopération internationale pour le développement». Enfin, pour le ministre chinois des Affaires étrangères Yang Jiechi, il est indispensable d'«approfondir le partenariat mondial, renforcer les institutions de développement, accroître les investissements dans le développement et assurer les progrès sans entrave vers les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD)». L'actualité internationale sera centrée sur L'Aquila (Italie) où, du 8 au 10 juillet, un sommet réunira les leaders des pays de G8 (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Italie, Japon, Russie) et les dirigeants du "Groupe des 5" (Afrique du Sud, Brésil, Chine, Inde, Mexique). A cette occasion, le mécanisme de suivi G8-G5+3 (les cinq membres fondateurs du NEPAD + le président du Comité de mise en œuvre du NEPAD, le président de l'UA et le président de la commission de l'UA) sera à l'ordre du jour. Le président Bouteflika qui participera aux travaux du sommet du G8, a souligné «l'impérieuse et urgente nécessité de redynamiser le dialogue entre le G8 et l'Afrique face à la crise économique et financière mondiale pour permettre au partenariat que nous développons avec les pays les plus industrialisés de jouer pleinement son rôle de soutien et d'accompagnement de l'Afrique dans son entreprise de mise en œuvre du NEPAD et de réalisation des OMD». Pour leur part, les pays du BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine), les quatre plus grands marchés émergents du monde, exprimeront, sans doute, leurs points de vue sur l'actuelle crise financière globale, tout en appelant aux efforts globaux pour surmonter la crise, comme ils l'ont fait lors de la Conférence des Nations unies sur la crise économique et financière mondiale et ses conséquences sur le développement, qui s'est tenue du 24 au 26 juin à New-York. C'était la première conférence de haut niveau jamais organisée par l'ONU pour se consacrer à la crise financière et économique. Les représentants d'environ 150 pays membres de l'ONU se sont réunis pendant trois jours à New York pour réfléchir sur la lutte contre la crise. Elle a été ouverte par le secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon. Les pays du BRIC qui ont tenu leur premier sommet le 16 juin dans la ville russe d'Ekaterinbourg, contribuent de plus en plus à la croissance économique globale et jouent un rôle essentiel pour stabiliser la situation économique mondiale dans le contexte de crise financière internationale. A ce titre, leur participation à la Conférence des Nations unies a pris une signification particulière à quelques jours de la réunion du G8 en Italie. Au cours de cette conférence, l'ambassadeur Celso Amorim du ministère brésilien des Affaires étrangères a affirmé qu' «au sein des Nations Unies, les pays dont la voix ne se fait pas entendre dans les institutions de gouvernance financières sont en mesure d'exprimer leurs opinions, certains sont parmi les plus pauvres du monde et ont été durement touchés par le ralentissement économique global. Ils ne portent pas la responsabilité pour la crise actuelle. Nous devons écouter leurs préoccupations. Nous devons garder à l'esprit leurs intérêts dans nos actions collectives vers la reprise», a-t-il souligné. Pour sa part, Preneet Kaur, ministre d'Etat aux Affaires étrangères de l'Inde, a affirmé qu' «il est impératif que dans les décisions clé et les processus de prise de la décision la voix et la participation réelle des pays en voie de développement soient renforcées et accrues». Quant à Alexeï Kudrtn, vice-Premier ministre russe et ministre des Finances, il a indiqué qu'« il est très important que les décisions de la conférence de l'ONU, ayant une légitimité universelle et reflétant la volonté de toute la communauté internationale, aient pour objectif la recherche des moyens collectifs afin de renforcer la coopération internationale pour le développement». Enfin, pour le ministre chinois des Affaires étrangères Yang Jiechi, il est indispensable d'«approfondir le partenariat mondial, renforcer les institutions de développement, accroître les investissements dans le développement et assurer les progrès sans entrave vers les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD)».