Les rebelles chiites du nord du Yémen ont tenté d'ouvrir un nouveau front avec l'Arabie saoudite, a affirmé hier un chef tribal, selon lequel les tribus combattant aux côtés de l'armée les en ont empêchés. «Des dizaines de Houthis ont tenté, il y a deux jours, d'ouvrir un nouveau front avec l'Arabie saoudite, en direction de Najrane», a affirmé cheikh Arfaj ben Hadbane, un chef de la confédération tribale des Bakil. Il a assuré que ses hommes les avaient "encerclés, les forçant, après des affrontements, à quitter la région" d'Al-Jawf, proche de la frontière avec l'Arabie saoudite. Les combats entre les rebelles et les forces saoudiennes se déroulent jusqu'à présent dans la zone frontalière avec la province de Jizane, plus à l'est. L'armée saoudienne est intervenue le 3 novembre passé dans les combats en cours entre les forces régulières yéménites et les rebelles, après la mort d'un garde-frontière saoudien, consécutive à des tirs de rebelles infiltrés dans le royaume. Les rebelles chiites du nord du Yémen ont tenté d'ouvrir un nouveau front avec l'Arabie saoudite, a affirmé hier un chef tribal, selon lequel les tribus combattant aux côtés de l'armée les en ont empêchés. «Des dizaines de Houthis ont tenté, il y a deux jours, d'ouvrir un nouveau front avec l'Arabie saoudite, en direction de Najrane», a affirmé cheikh Arfaj ben Hadbane, un chef de la confédération tribale des Bakil. Il a assuré que ses hommes les avaient "encerclés, les forçant, après des affrontements, à quitter la région" d'Al-Jawf, proche de la frontière avec l'Arabie saoudite. Les combats entre les rebelles et les forces saoudiennes se déroulent jusqu'à présent dans la zone frontalière avec la province de Jizane, plus à l'est. L'armée saoudienne est intervenue le 3 novembre passé dans les combats en cours entre les forces régulières yéménites et les rebelles, après la mort d'un garde-frontière saoudien, consécutive à des tirs de rebelles infiltrés dans le royaume.