L'histoire contemporaine du foot, retiendra qu'en 2023, Walid Sadi, le jeune président de la FAF, mérite vivement, qu'on se dise que ce jeune dirigeant mis à la tête de la fédération de foot, mérite qu'on lui adresse nos plus chaleureux et réels remerciements, pour avoir de suite compris que Djamel Belmadi, a été placé au poste d'entraîneur national, par la «vox populi». Cela a été annoncé par les adversaires les plus rudes de Belmadi! Cette situation a fortement plu à de nombreux spécialistes du foot, nous pensons par exemple, aux stars nationales, telles, les «Moumouss» Moustafa Dahleb, (ex-Paris St- Germain) Salah Assad, Baâziz Safsafi,(ex-RC Kouba) Lakhdar Belloumi,(ex-GC Mascara) ou encore Baba-Ali Attoui,(ex-USM Annaba), Chaâbane Merzkane et Mokhtar Deghmane (ex-NA Hussein Dey). Or, au nom d'une certaine liberté d'expression, des connaisseurs en foot, ne s'égarent pas de compliments, adressés à d'ex-responsables de la FAF, qui, en l'espace de décennies entières, n'ont rien apporté au football local. Halte aux règlements de comptes La liberté d'expression? Elle est née chez les autres, et les autres l'utilisent pour eux, à des fins de règlement de comptes, jamais pour la «face d'Allah»! Djamel Belmadi a qualifié, il n'y a pas si longtemps, ces gens de la critique négative, de l'invective, de l'insulte, de l'injure, de la haine et de la diffamation, de «criminels de l'audiovisuel»! Avait-il, ou non, raison de dire ainsi, et de «la» présenter sous cette forme? Du côté des pro-Belmadi, cela est dû au «nettoyage par le vide» qu'aurait entrepris le coach national, au Centre national de Sidi Moussa (Alger). En effet, il est apparu que de très larges facilités étaient accordées au grand et «dévoué» cercle qui accompagnait partout l'E.N. Plus de voyages aux frais de la princesse, plus de casse-croûtes, café, thé, et autres pâtisseries gratis, dans l'enceinte aménagée pour les seuls athlètes et dirigeants actifs, dévoués aux seuls joueurs! Plus d'interviews, de petites phrases lancées contre ceux qui adorent les Verts, en plein vol d'un avion, affrété par le Trésor public et qu'empruntent gratuitement de voraces suceurs de sang et que les brillants, éclatants et reluisants, résultats des camarades de Ramiz-Larbi Zerrouki obtiennent après une farouche résistance, à toute épreuve! Alors, qu'on se demande, sereinement: «Qui, mais qui vraiment, a tort?» Laissons le soin aux historiens du foot, et du sport en général, d'examiner ce cas, et après nous tirerons les attendues conséquences, de cette «formule» qui avait ses faciles détracteurs, et bien entendu, ses bruyants partisans! On a toujours soulevé le cas des partisans anti-Belmadi, mais jamais les pro-Djamel Belmadi. Ces derniers font partie de la majorité «silencieuse», témoin de l'extraordinaire ovation des fans au stade Chahid Hamlaoui, lancée en direction du coach national qui a su répondre par un éloquent geste, qui voulait signifier que ses fans étaient au-dessus de sa «tête»! De plus, à part les salons et «garages feutrés» de la capitale, il n'y a pas d'endroits, où on peut tenter, de «casser» du Djamel Belmadi à longueur de séances, et autres tables rondes, carrées ou rectangulaires. Ces tentatives de briser l'élan mûrement réfléchi du coach national, et de ses compagnons, sont presque toutes, selon les pro-Djamel Belmadi, basées sur le mensonge, le mensonge et le mensonge. On ne lâche rien! Jamais au grand jamais... Même les menus incidents d'Islam Slimani et Saïd Benrahma, ou encore Belmadi /Benrahma, ont été montés en épingle pour être tenus à nu, dans et sur les «souks»-plateaux TV-prétoires de justice. Des plateaux que beaucoup de techniciens et d'anciennes gloires évitent afin de laisser libre cours à l'entraîneur national. On ne lâche rien! Jamais au grand jamais, nous n'avions assisté à des analyses sur le JEU, proprement dit. Jamais, on n'a disséqué un match de foot de l'Equipe nationale. Le pourquoi d'un changement d'un joueur par un autre. On a plutôt évoqué des noms de joueurs non convoqués sans savoir la position de ces joueurs, au moment des convocations. On insiste sur le rappel de joueurs appelés par des noms d'oiseaux, il n'y a pas si longtemps. Pis encore! Un doué et grand joueur était appelé, avec sarcasme, le «rond-point», lorsqu'il avait un ballon, au pied, mais le gardant, en tournoyant, deux à quatre fois, dans l'espoir qu'un coéquipier se démarque! On nommait des joueurs, fils de famille de tous les noms «ridicules» oubliant par-là, que leurs familles regardaient et les parties disputées, et le YouTube. Il y a aussi quelque chose de bizarre, pour ce qui est de ceux qui, il y a une année, à cor et à cri, réclamaient le rajeunissement de l'équipe. Une fois que Djamel Belmadi fit appel à de jeunes valeurs sûres, ce fut le bombardement de noms de joueurs vieillissants! À ne rien comprendre! Ou vous désirez de nouveaux joueurs, au sang frais et même guerrier, ou vous voulez impérativement des joueurs âgés et expérimentés, mais fatigués, usés et vidés! Sans omettre de mentionner les «jaloux» qui s'amusaient, sous les yeux de téléspectateurs algériens, surtout les émigrés, à parler de Ramiz-Larbi Zerrouki, comme étant un, «hollandais», d'autres de «franco-algériens», oubliant que souvent, la critique est «aisée» mais que l'art est difficile. Avez-vous remarqué les grandes sorties de nos internationaux? Oui, c'est certain qu'il se trouve un peu plus de quarante millions de sélectionneurs, mais tout le monde doit comprendre une bonne fois pour toutes, que le staff dirigé par Belmadi, a la lourde responsabilité du succès, et même de l'échec. Après tout, s'il y avait échec, ce ne serait pas la fin de «Tamourth»! Un jeu reste dans tous les cas de figure un jeu. Les névrosés, les malades, les jaloux, et les «tout», doivent se mettre en tête, que le foot n'est qu'un jeu. Mais, hélas, ce jeu est devenu source d'énormes entrées de fric, dérangeant ainsi l'esprit sportif dans son ensemble. À propos de fric, On a même soulevé le salaire de Djamel Belmadi, comme si on l'apprenait, cela apporterait un plus dans la tactique du coach national. La CAN en point de mire Plus grave; on parlait de n'importe quoi, sauf de football. C'est comme s'il n'y avait que les stades, les pelouses, le climat, l'humidité, et l'absence de tactiques chez le coach national, à soulever. Il est urgent de laisser tranquilles nos capés, (déjà titillés par les instances internationales du foot, et même de la justice), et de leur faciliter la tâche par le...silence! Il est temps de se taire, à propos de la politique actuelle et future, de l'E.N. Qui prépare la coupe d'Afrique des nations en Côte d'Ivoire, puisque le staff technique conduit par le remarquable Djamel Belmadi, a pour mission d'apporter un plus, un excellent résultat pour 2024 et 2026. Ces résultats traduiront, dignement, la classe de la composante, qui ira en Côte d'Ivoire, bien préparée, soudée et décidée à bien défendre les couleurs nationales. C'est pourquoi, il est recommandé à tous de «ranger les armes au vestiaire», et de faire corps autour de l'E.N. Au moins, jusqu'en 2027! Seul, l'intérêt bien compris de l'Algérie, doit prévaloir. Que ce nécessaire et utile, «cessez - le - feu» soit très heureux, productif et rentable, surtout pour tous les amoureux du football algérien. Qu'on laisse des journalistes sereins, honnêtes et engagés, comme le rouquin Farid Maâtaoui, qui possède, au moins le grand mérite, de nous embarquer sur un vrai «tapis volant», où le seul bonheur d'exulter de joies incommensurables, suffit aux fans algériens, et étrangers qui vibrent aux brillants et multiples exploits des «Fennecs».