À la veille de la tenue du 2e congrès euromaghrébin de la médecine générale, une centaine de praticiens, venus de plusieurs wilayas, ont tenu une assemblée générale constitutive de la Société algérienne de médecine générale (Samg). Le Dr Hadjidj a été désigné président de cet organisme, dont le dossier d'agrément sera déposé incessamment au ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales. C'est là, la concrétisation d'une recommandation du 1er congrès euromaghrébin, organisé dans la même ville de l'année dernière. “Nous avons tracé les objectifs de cette société. Nous voulons surtout contribuer au développement de la formation. Le médecin généraliste a des compétences qui peuvent être utilisées à l'université pour former de futurs généralistes”, nous a expliqué le Dr Hadjidj. Il a ajouté que les lois en vigueur ouvrent d'innombrables perspectives aux médecins généralistes, qui sont mal exploitées. “Nous rencontrons des contraintes d'organisation de la profession, qui devraient être transcendées grâce à la société savante qui établira des référentiels pratiques pour le médecin généraliste”, a-t-il complété.