Le chef-lieu de wilaya a le triste privilège d'abriter des voies de communication délabrées qui pénalisent les automobilistes, puisque les pneumatiques et la suspension des véhicules sont mis à rude épreuve. En effet, mis à part les boulevards Souidani-Boudjemâa, du 1er-Novembre, du 19-Juin, du Palais de justice et quelques avenues et rues du centre-ville, le réseau routier est dans un état lamentable, faute de maintenance de la part des services techniques de l'APC de Guelma. Les cités des Frères-Rahabi, Aïn Defla, Hadj Embarek, Bordjiba, Mekhancha, DNC, Oued Maïz, Bensouilah, Touahri, des nouveaux lotissements et des quartiers périphériques de la ville ont des rues défoncées où les crevasses béantes sont appréhendées par les riverains, les taxieurs et camions de livraison. Des citoyens s'étonnent de l'état de déliquescence du réseau routier qui perdure sans susciter la moindre réaction des élus locaux. Ils déplorent la non-remise en état des rues et des trottoirs par les opérateurs chargés des travaux de raccordement à l'alimentation en eau potable, en gaz de ville, à l'énergie électrique, au réseau d'assainissement et au téléphone. Ils soulignent que les clauses des cahiers des charges ne sont pas respectées, puisque les tranchées sont sommairement recouvertes de couches de terre et d'un semblant de bitume qui s'effrite lors des précipitations. H. B Nom Adresse email