Au centre-ville, les rues Announa, Mohamed- Debabi, Patrice-Lumumba, Bouzit-Malika, Slimani-Amar, Athmane-Meddour, Ahcène-Harcha et les cités Gahdour, Champ-de-Manœuvre, Frères-Saâdane, Bara, 8-Mars, Frères-Rahabi, Oued Maïz, Bensouilah et Findjel souffrent d'une défaillance avérée de l'éclairage public. La ville de Guelma, censée être la vitrine de la wilaya, accuse un retard inacceptable dans le volet éclairage public depuis de nombreuses années, au grand dam de la population qui ne cesse d'exprimer ses préoccupations aux élus locaux qui sont aux abonnés absents. Dès la tombée de la nuit, des cités et des rues de cette métropole de 150 000 habitants sont plongées dans l'obscurité totale, car les lampadaires sont en panne ou les ampoules grillées ne sont pas remplacées. Au centre-ville, les rues Announa, Mohamed-Debabi, Patrice-Lumumba, Bouzit-Malika, Slimani-Amar, Athmane- Meddour, Ahcène-Harcha, les cités Gahdour, Champ-de-Manœuvre, Frères-Saâdane, Bara, 8-Mars, Frères-Rahabi, Oued Maïz, Bensouilah et Findjel souffrent d'une défaillance avérée de l'éclairage public. Cette situation pénalise à longueur d'année les riverains. Les quartiers périphériques sont logés à la même enseigne, et il est navrant d'évoluer chaque nuit dans le noir ou sous une lumière blafarde qui offre l'opportunité aux délinquants d'opérer leurs méfaits et d'imposer leur diktat aux familles livrées à elles-mêmes. Les services techniques de l'APC ne sont pas étoffés en moyens humains et matériels pour assurer la maintenance et le contrôle de l'éclairage public de la ville, et c'est ce qui explique ces défaillances. Les élus locaux devraient accorder un intérêt particulier à ce secteur vital qui accuse des insuffisances récurrentes en dépit des instructions fermes de la wali qui gagnerait à opérer une virée nocturne pour évaluer concrètement les défaillances dénoncées par la population. À l'approche de la saison hivernale, synonyme de nuits longues et glaciales, les citoyens appréhendent à juste titre les désagréments qui les attendent, et dans ce contexte ils lancent un appel pressant aux édiles et aux autorités locales afin de prendre en charge cet important dossier. D'aucuns estiment que les locataires de l'hôtel de ville devraient signer des conventions avec des entreprises privées dans le cadre de la maintenance du vaste réseau de l'éclairage public. HAMID BAALI