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PROBLEMES SOCIAUX DE LA JEUNESSE ALGERIENNE : Vivre chez ses parents à 20 ans à 30 ans où à 35 ans
Publié dans Réflexion le 22 - 08 - 2011

La vie chère, le manque de logements et le chômage dans ce pays riche. Dénoncent un peu partout leur mal de vivre, la jeunesse les moins de 30 ans représentent 68 % de la population, on peut être jeune a tout âge, on peut être vieux a tout les instants, on est vieux quand on est malade, même a 20 ans.
Les enfants des riches qui souvent bénéficient alors que le riche s'enrichie davantage et le pauvre s'appauvrie d'avantage.Ces jeunes Algériens qui brûlent les frontières (harrag) signifie "qui brûle") et partent par centaines vers les côtes européennes, à la recherche d'une liberté qu'ils ne trouvent pas en Algérie. Qu'ils aient un travail, un diplôme, une famille ou même un peu d'argent, les harragas racontent tous ce mal vivre, ce manque de perspectives qui caractérisent leur génération. Souvent, ils ont du mal à trouver les mots pour le dire mais, par bribes, ils évoquent la difficulté, à se marier ou avoir leur propre logement.
Vivez chez ses parents a 20 a 30 ou a 35 ans a cause du chômage, le logement c'est vivre le quotidien l'inconfort matériel et psychique.
Les différentes contestations enregistrées ici et là des signes probants pour que la jeunesse risque à n'importe quel instant de sortir dans la rue avec tous les risques que cela comporte. La population juvénile est confrontée à de nombreux facteurs sociaux (liste non exhaustive)
Le chômage , l'éclatement de la cellule familiale ,la dégradation du pouvoir d'achat ,l'inadaptation et l'inadéquation de l'éducation ,
la mal vie ,la perte du repère identitaire et culturel , l'imitation d'une pseudo culture occidentale agressive ,l'absence d'une politique de prise en charge adaptée sur le plan éducationnel, culturel et loisirs , absence totale d'une solidarité nationale pour la jeunesse , déperditions scolaires et l'analphabétisme chronique.Les effets du terrorisme et ses conséquences.Il serait aberrant d'ignorer ce potentiel humain qui a une soif inassouvie d'apprendre, de se cultiver, d'espérer, de travailler afin de participer pleinement au développement de son pays. Cette volonté de vouloir acquérir la connaissance, de se sentir pris en charge aurait du inciter l'ensemble des décideurs politiques à prendre les devants.La souffrance des Jeunes en Algérie apparaît comme un révélateur et un amplificateur de la souffrance de la société, la majorité des Jeunes ne fait pas confiance à nos institutions. Les Acteurs sociaux doivent intrinsèquement renforcer la vigilance pour mieux mobiliser leur compétence en matière de prise en charge de la population juvénile. Bien sûr l'éducation est la condition première de la prévention de la Délinquance. Nous devons éduquer avant d'être obligé de réparer. Apaiser les conflits de la vie quotidienne en retissant les mailles de la société aider au dialogue.Il faut dés présent agir pour relier à la collectivité cette partie de la population qu'est la jeunesse et qui part à la dérive, dans l'oubli. Il faut redonner confiance de part et d'autre et établir les conditions d'un dialogue constructeur. Pour débloquer cette situation conflictuelle il nous faut rendre crédible la parole des jeunes aux yeux des administrations. L'essentiel pour nous est de contribuer à la protection des jeunes en leur donnant les moyens pour s'organiser et s'épanouir dans un climat de convivialité. Notre action s'inscrit dans un cadre républicain pour la sauvegarde de la population juvénile, tout en proposant des actions concrètes et simple pour que l'Etat initie une Politique urgente en faveur des jeunes, basée sur le droit, l'égalité des chances de tout un chacun en matière d'emploi, de logement, d'éducation, de formation ainsi que l'accès à la culture et aux activités scientifiques et de loisirs.


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