Il y a tellement de choses plus graves qui se passent dans la gestion de la ville, qu'on va raconter des balivernes pour couvrir une négligence pour laquelle personne ne demande des comptes. En trouvant à chaque scandale un palier de responsabilité. Il s'agit de la législation à la passation des marchés publics. Il a été toujours entendu que le marché de droit de place est soumis à une adjudication selon la réglementation, après l'expiration de chaque contrat. Tel a été le cas lors de l'expiration du dernier contrat datant de plus d'un an concernant le droit de place. Une procédure à l'appel d'offre en adjudication, a été entamée par l'APC et publiée d'après nos interlocuteurs sur les journaux 3 fois et qui est demeurée infructueuse. De cet échec et depuis ce temps là, il a été relevé que 3 personnes répondant aux initiaux M.R et M, lesquels s'adonnent quotidiennement à la récolte des droits de place auprès des marchands longeant le long du mur de l'oued Ain Sefra jusqu'à la placette des bus sous le pont du 17octobre « Dallas » et un peu partout pour un prix fictif allant de 50 à 200 DA par personne, sans justificatif (ticket), ainsi que toute personne qui refuse d'obtempérer devient victime de C.B.V. Est-il juste pour autoriser l'escroquerie ? Et que font les responsables de l'APC, ou bien y-a-t-il anguille sous roche ? Et pourtant à Mostaganem l'information n'échappe à personne. A qui est destinée une recette de plus de 60.000 DA quotidiennement ? Charité bien ordonnée commence par soi-même.