Nul ne peut ignorer, que la violence en milieu scolaire est un nouveau phénomène qui a touché notre pays, suite à des situations conjoncturelles bien sécuritaires. Ceci d'une part, d'autre part, le pourrissement du dossier de l'enseignement dont les problèmes sociaux des enseignants tous corps confondus a fait naître le phénomène de laisser pour compte. Les élèves devant cette situation qui perdure, se sont du moins livrés à eux-mêmes. Aujourd'hui, en accumulant tous ce retard dans l'adaptation d'une politique scolaire, dont les députés de l'APN et Sénateurs sont directement impliqués dans la non solution de tous ces phénomènes et bien sur les gouvernements qui avaient transités,le dossier épineux demeure e »n instance. Alors qu'une politique scolaire sécuritaire réussis et se développe, faudrait-il encore que les instances gouvernementales s'y prête, Or il semble que de ce côté-là on n'en ait pas toujours la volonté. Mais pour avoir une telle volonté, cela exigerait que la tutelle manifeste davantage son désir de s'ouvrir sur tous les problèmes qui touchaient le milieu scolaire, du programme pédagogique à l'élève en passant bien évidement par les enseignants tous corps confondu. Comme on le voit, tous ces éléments confirmaient que l'enseignement retarde d'une réforme. Une réforme qui devrait mieux définir les missions, le professionnalisme, l'éthique des enseignants particulièrement ceux des lycées que l'on considérée encore trop comme de la piétaille, Mr Benbouzid pourra-t-il rattraper le retard pris ? Là encore, cela dépendra de la volonté politique du gouvernement, mais surtout des enseignants eux-mêmes et des élus de la nation « Shab Thlathine briqua » Les faits divers liés à la violence en milieu scolaire sont désormais des problèmes de société de première importance. Mais l'irrationnel semble être de mise chaque fois que l'on aborde ces phénomènes. Ce qui est très important, c'est de ne pas prétendre avoir une recette magique qui résoudrait tous les problèmes par circulaires rédigée à partir des bureaux !!Nous sommes là en présence d'un domaine très vivant, et tout ce qui est vivant est fort complexe. Il faut donc des réponses beaucoup plus diversifiées. C'est cela que nous devront retenir à l'heure actuelle en politique de la violence en milieu scolaire. Cet effort de diversification représente toutefois un risque : l'incohérence, l'éclatement d'une politique de prévention qui deviendrait un patchwork sans ligne directrice. Cet effort devrait nous amener à inventer un autre type de cohérence qui s'élabore à partir de la diversification des réponses, de sanctions plus complexes. Les faits divers en milieu scolaire sont inexistants dans les petites villes et les communes .Notre enquête a révélée que dans ces lieux existait une relation permanente entre élève et enseignant et entre enseignant et parent d'élève et surtout la relation du voisinage, ni l'élève ni l'enseignant ne pouvait outrepasser les droits et devoirs de chacun. Alors un respect mutuel régnait dans ce milieu .Là encore l'enseignant exécutera son programme à la lettre loin de provoquer la grogne des élèves. Dans les grandes villes comme nous l'avons constaté dans la majeure des cas c'est l'enseignant qui n'est pas adapté à se comporter devant l'élève, et en particulier certaines enseignantes qui ne pouvaient se libérer de leurs problèmes sociaux externes demeuraient sous tension à l'intérieur des classes et court ciruita la relation élève maître, ce qui favorisa une sorte de violence. Aussi, il est absurde de faire une analyse rapide pour accuser l'élève, sans tenir compte de la nouvelle composante des enseignants, La méthode de donner des cours ses explications, puisque ces facteurs ont une influence certaine et importante sur la violence scolaire. Il y a aussi, dans certains lycées la complicité flagrante du groupe enseignant et la solution pour eux très facile de traduire un élève devant le conseil de discipline sans aucune raison, cherchant à se débarrasser de cet élève que eux-mêmes étaient incapables de voir la réalité, et solutionner le litige au lieu de démonter leur incapacité d'éduquer. Car un élève traduit devant le conseil à tord c'est tout simplement la naissance d'un nouveau élève violent, cherchant à se venger du tord. En attendant, les pauvres élèves continuent de payer le prix de l'irresponsabilité et du laisser aller de tant d'années qu'a vécut les établissements scolaires. sous le, règne du même Ministre Aujourd'hui il est temps de mettre le paquet pour sauver se qui restait à sauver car la déchirure a commencée par nos enfants, nos écoles et nos enseignants évidement. Les enseignants doivent apprendre aux élèves à devenir « citoyens » c'est a dire à être responsables avoir envie de s'impliquer dans la vie sociale, avoir envie de se servir de son droit de vote, respecter l'autre, etc. Pour apprendre aux autres à être citoyens, il faut d'abord être un soi-même et que ceux qui vous dirigent le sont aussi. Les écoles, les lycées dans les mêmes égalités, les enfants du peuple ont plein droit de choisir l'établissement, on ne veut plus entendre tel lycée réservé aux fils des riches où il existe des bons profs, et l'autre lycée des fils de pauvres où il y a des mauvais profs. Mr Benbouzid, a Une solution pour éradiquer définitivement la violence en milieu scolaire. Eradiquer les problèmes sociaux des vrais enseignants (tes) réviser la composante des adjoints de l'éducation ou les surveillants généraux certains se comportaient comme des videurs ou des gardiens de prison ne sont titulaires d'aucune notion d'éducation ni pédagogique et portent la majeure responsabilité de la violence des élèves et comme ils nous ont déclarés certains enseignants « désignons l'enseignant qui mérite au poste de Directeur. » pour que cesse le favoritisme, et surtout considérons que tous les élèves au même pied d'égalité, et qu'on rejette la notion des ‘' ould Flane ou Feltane''Nous enfants sont tous égaux, et ce n'est pas la couleur du tablier qui va le faire.