De sources concordantes, un industriel âgé de 55 ans, issu d'une famille notable résidant à Mostaganem et qui avait contracté un crédit de 3 milliards de centimes auprès de la banque du crédit populaire algérien (CPA) en 2003 a été surpris lorsque la dite banque lui a réclamé un remboursement qui s'élève à 26 milliards de centimes, malgré le remboursement des 10 milliards de centimes effectué régulièrement par l'intéressé. . La banque qui a exigé le remboursement des 26 milliards a menacé de mettre aux enchères tout son patrimoine dans le cas ou ce dernier ne rembourserait pas sa dette. De ce fait l'industriel en question n'a cessé de faire les démarches nécessaires auprès de la direction générale du crédit populaire algérien afin que l'on étudie sa situation financière à nouveau mais aucune suite ne lui a été signifiée ni aucune étude pour ce qui est de son dossier et celui des agios. Aculé l'industriel a tenté de sensibiliser les responsables ainsi qu'il a entrepris plusieurs tentatives auprès de toutes les institutions financières et saisi le ministère de l'intérieur, les instances judiciaires allant jusqu'à interpeler le président de République pour que son dossier relatif aux agios soit examiné par des experts. Malgré tous les recours et les appels de l'industriel aucune réaction, des pouvoirs publics ni de la banque ne serait ce que pour justifier ce faramineux montant. Depuis cet industriel se débat dans une situation qui perdure, souffrant du mutisme des pouvoirs publics et des responsables de la banque qui ne veulent rien savoir quant à la justification de la somme à rembourser. Lassé de voir que ses efforts étaient voués à l'échec, pour rentrer dans ses droits d'où aucune attention, quant à sa situation, l'industriel a fait une dépression suite à la quelle il s'est enfermé avec toute sa famille et menacer de s'immoler. Malgré les appels à la raison et l'intervention de la police pour le calmer, l'industriel n'a rien voulu savoir et reste toujours enfermé avec sa famille. En guise de réponse aux forces de l'ordre, il a donné un ultimatum de 24 heures pour que son dossier soit examiné par des experts afin de déterminer le montant exact à rembourser, dans le cas contraire il irait jusqu'au bout.