Un enfant s'est noyé dans un bassin d'irrigation dans la région d'Aïn Defla. Le jour de l'Aïd. Cet ado, en compagnie de copains avait chaud et voulait juste nager, éprouver comme tous les enfants de son âge en pareille période de chaleur un peu de fraicheur. Quand en 2010, un enfant meurt dans un bassin d'irrigation, dans une retenue collinaire ou une quelconque mare nauséabonde, j'estime que doivent aussi être déclarés responsables de ces décès tragiques ceux qui sont en charge des loisirs et des activités de jeunesse. Chaque enfant habitant en zone hors littoral a droit à un espace que l'état doit mettre obligatoirement à sa disposition constitutionnellement. Et cet espace s'appelle PISCINE. Chaque mort d'enfant, ou d'adulte d'ailleurs, dans des conditions similaires est à inscrire sur le registre de la mauvaise conscience de ceux dont le métier est de faire construire des piscines communales. Allez ! A demain ! [email protected]