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Le ministère de l'intérieur appelé à examiner les dossiers de 20 nouveaux partis dans un délai de 60 jours Après la promesse de Bouteflika de leur permettre de participer aux prochaines législatives
Le « mouvement civil constitutionnel » a rejoint la liste des partis en voie de fondation, l'amenant à 15 partis politiques, et qui est appelée à augmenter après les promesses de Bouteflika d'agréer les nouveaux partis avant les prochaines législatives, ce qui met sous pression les services du ministère de l'intérieur qui devront traiter les dossiers de 20 partis en un temps record de 60 jours. Ce parti rejoint la liste d'attente des partis au ministère de l'intérieur, dont la fondation de 15 d'entre eux a été annoncée, alors que d'autres attendent leur accréditation, conformément à l'engagement politique annoncé par le président Bouteflika, lors du récent conseil des ministres, de leur donner l'agrément avant les élections législatives qui auront lieu le printemps prochain. Parmi ces cinq partis qui ont déposé leurs dossiers auprès du ministère de l'intérieur, le parti de « l'union pour la république » fondé par un des anciens dirigeants du RCD, Amara Benyounes, le parti du « front social » présidé par l'ancien premier ministre Sid Ahmed Ghozali, le « font de la justice et du développement » présidé par Abdellah Djaballah, le parti de « la justice et de la liberté », fondé par l'ancien diplomate Mohamed Said, et le front du changement national constitué par des dissidents du MSP. D'autres partis sont à la première étape de la fondation, puisqu'ils ont déposé une demande auprès du ministère de l'intérieur pour obtenir une accréditation pour tenir le congrès fondateur, comme le parti « El Fadjr El Djadid » dirigé par l'ancien secrétaire du RND, Tahar Ben Baibeche, le parti de « la nouvelle génération » présidé par un des anciens dirigeants du parti du renouveau algérien, Djilali Sofiane, le « front national des libertés » fondé par les dissidents du FNA, et le parti de « la dignité » fondé pat le député dissident du même parti Mohamed Benhamou, et le mouvement des « nationalistes libres » dirigé par l'écrivain Abdelaziz Ghermoul.