Quelque 2500 chauffeurs de taxi ont arrêté toute activité dans l'Algérois. La réglementation, exigeant des chauffeurs de taxi d'avoir des véhicules neufs, a contraint ces derniers à cesser toute activité. Beaucoup n'ont pu reprendre le métier puisque la loi les y empêche, étant donné qu'ils sont restés sans activité depuis plus d'une année. La direction des transports de la wilaya d'Alger a recensé quelque 12 000 chauffeurs activant dans tout l'Algérois. Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs a lancé la société de services Trans Wakfs, au capital de 33 946 000 DA, ayant pour objet le transport public par taxi des personnes et des biens, où une trentaine de jeunes ont été choisis. Les syndicats « défendant » les chauffeurs de taxi affirment que certains chauffeurs « au chômage » devaient être concernés en priorité.