Pendant que des enfants profitent de journées sur les plages, à Tébessa et par manque criant des moyens de distraction et vue la cherté des vacances, la majorité des enfants, notamment ceux issus des familles pauvres, passent leur quotidien à fouiller dans les ordures ou vendre les sachets en plastique. Une misère qui se lit sur leurs visages brûlés par le soleil. Un phénomène qui n'est pas du tout nouveau à Tébessa, cette région un peu perdue à l'extrême-est de l'Algérie. En effet, au fil des années, le phénomène des «enfants-chats» fait partie du décor de l'antique Théveste. La présence un peu partout de ces innocents n'inquiète plus personne, pas même les instances chargées de la protection de l'enfance.
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