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Suspense
Le démon du passé (137e partie)
Publié dans Info Soir le 07 - 09 - 2006

Résumé de la 136e partie n A son travail, Glory reçoit la visite d'un policier ; elle est effrayée, mais il s'avère qu'il est à la recherche de son père.
Le commissaire Barrot continua : «Il n'est pas revenu. Peut-être a-t-il préféré ne pas rentrer en voyant la voiture de police devant votre maison. Croyez-vous qu'il pourrait être chez des parents, ou des amis ?
— Je… je ne sais pas. Pourquoi voulez-vous lui parler ?
— Juste pour lui poser quelques questions. Vous aurait-il téléphoné, par hasard, ce matin ?»
Cet homme pensait qu'Arthur était son père. Il ne s'intéressait pas à elle.
«Il... il a téléphoné. Mais j'étais sur une autre ligne avec mon patron.
— Que désirait-il ?
— Il... il voulait que je vienne le retrouver et j'ai dit que je ne pouvais pas.
— Où voulait-il que vous le retrouviez ?»
Les paroles de son père résonnèrent à ses oreilles. Métro central... 12e Rue, sortie G... Où était-il maintenant ? Avait-il des ennuis ? Père avait pris soin d'elle pendant toutes ces années. Elle n'avait pas le droit de lui faire de tort.
Elle choisit ses mots. «Je ne pouvais pas m'attarder au téléphone. Je... je lui ai simplement dit qu'il m'était impossible de quitter le bureau et je lui ai pratiquement raccroché au nez. Pourquoi voulez-vous lui parler ? Que se passe-t-il ?
— Oh, ce n'est peut-être rien.» Le policier avait un ton aimable. «Votre père vous parlait-il de ses patients ?
— Oui.» Répondre à cette question ne présentait pas de difficulté. «Il s'en occupait énormément.
— A-t-il jamais fait allusion à Mme Gillespie devant vous ?
— Si. Elle est morte la semaine dernière, n'est-ce pas ? Elle allait très mal.»
Glory se souvint de la façon dont père avait crié dans son sommeil. «Fermez les yeux, madame Gillespie. Fermez les yeux.» Peut-être avait-il commis une erreur en soignant Mme Gillespie et on le rendait responsable de sa mort.
«Semblait-il changé ces derniers temps — nerveux, ou quelque chose comme ça ?
— C'est l'homme le meilleur que je connaisse. Il consacre sa vie entière à aider les gens. En fait, la direction de l'hospice vient de lui demander d'aller les dépanner dans le Tennessee.»
Le commissaire sourit. «Quel âge avez-vous, mademoiselle Stevens ?
— Trente-quatre ans.»
Il parut étonné. «Vous ne les paraissez pas. D'après les dossiers du personnel, Arthur Stevens en a quarante-neuf.» Il se tut, puis ajouta d'une voix amicale : «Ce n'est pas votre père naturel, n'est-ce pas ?»
Il se mit bientôt à la bombarder de questions. «Il était prêtre, mais il a préféré consacrer son existence à soigner les malades. J'étais malade et je n'avais plus personne, alors il m'a prise chez lui.»
Maintenant, il allait lui demander son vrai nom. Mais il ne le fit pas.
«Je comprends. Mademoiselle... mademoiselle Stevens, il faut que nous parlions à, euh... à père Stevens. S'il vous téléphone, pouvez-vous prendre contact avec moi ?» Il lui tendit sa carte. Détective William Barrot. Elle sentait qu'il l'observait. Pourquoi ne lui posait-il pas plus de questions sur elle-même, sur son passé ? (à suivre...)


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