La loi de 1995, amendée en 2001 relative à la concurrence n'a pas été mise en application. Le Conseil national de la concurrence consacré par cette loi (composé de sept membres) se trouve toujours amputé d'un siège, alors que son rôle est primordial dans la régulation de l'activité économique. «Les pressions fiscales ne sont exercées que sur quelques investisseurs alors que d'autres, et en dépit de la performance de leurs entreprises, en sont amnistiés» a-t-il conclu.