Les familles résidant dans une même cité, un même quartier, cotisent pour louer les services d'un minibus qui vient les prendre en charge devant leurs bâtiments. Dès six heures du matin, les estivants chargés de glacières, parasols, chaises pliantes, serviettes de plage, transistors et couffins garnis de victuailles investissent la rue et créent une ambiance conviviale dans l'attente du minicar. Les familles résidant dans une même cité, un même quartier, cotisent pour louer les services d'un minibus qui vient les prendre en charge devant leurs bâtiments. Dès six heures du matin, les estivants chargés de glacières, parasols, chaises pliantes, serviettes de plage, transistors et couffins garnis de victuailles investissent la rue et créent une ambiance conviviale dans l'attente du minicar. Réputée pour ses étés caniculaires, la ville de Guelma, enclavée dans une cuvette, croule sous une chaleur étouffante accentuée par un taux élevé d'humidité qui contraint les habitants à se calfeutrer dans leurs domiciles, dont la plupart sont équipés de climatiseurs. Depuis plusieurs années, les Guelmis se sont organisés pour profiter des bienfaits de la mer, notamment ceux qui ne possèdent pas des véhicules particuliers. Les familles résidant dans une même cité, un même quartier, cotisent pour louer les services d'un minibus qui vient les prendre en charge devant leurs bâtiments. Dès six heures du matin, les estivants chargés de glacières, parasols, chaises pliantes, serviettes de plage, transistors et couffins garnis de victuailles investissent la rue et créent une ambiance conviviale dans l'attente du minicar dont le propriétaire exige la somme de deux cents à trois cents dinars par personne pour un aller-retour. Les principales destinations sont La Marsa, Chettaïbi, les sables d'or, Annaba avec ses plages du Belvédère, Toche, Aïn-Achir et les villes côtières de Skikda et El-Kala. Durant le trajet, les jeunes chantent à tue-tête accompagnés par les sons de la derbouka et du tar. Le bus marque parfois des arrêts au bord de la route pour permettre aux passagers d'acheter des pastèques, des melons cédés à des prix abordables. Dès leur arrivée au bord de la grande bleue, les enfants enfilent leur maillot de bain et entament leurs interminables baignades ponctuées par des rires, des jeux et des plaisanteries. Les parents installent le parasol, le tapis synthétique, la glacière et s'adonnent au bronzage tout en surveillant leur progéniture. Les femmes entrent en groupe dans l'eau, et tandis que les plus aguerries nagent allègrement, d'autres se taquinent et papotent. A l'heure du déjeuner, tous les membres de la famille se regroupent autour de la maman, sous le parasol, pour déguster des pizzas, de la salade variée, du poulet rôti, des frites, des poivrons, etc. arrosés de sodas frais et terminent par des tranches de pastèques, melons ou des grappes de raisin. Après ce copieux repas, tout le monde observe une sieste réparatrice et un bronzage adéquat agrémenté de crème solaire. Les activités reprennent leur cours avec à la clé la baignade, les jeux et l'animation par un orchestre improvisé qui suscite des applaudissements de l'assistance. Les hommes disputent de passionnantes parties de cartes tandis que la gente féminine s'adonne à d'interminables discussions. Vers seize heures, la maîtresse de maison sert du lait, du café et diverses pâtisseries. Une heure plus tard, c'est le moment du retour pour permettre aux estivants d'arriver à la tombée de la nuit. Durant le trajet, tout le monde exprime sa joie et son exubérance puisque des chansons sont reprises en chœur par l'assistance. L'arrivée dans le quartier s'effectue dans une liesse totale et chacun songe déjà au prochain déplacement car ces sorties en groupes stimulent la fraternité, l'amitié et des liens insoupçonnables. Après une douche réparatrice, les excursionnistes prennent un dîner léger et investissent la rue pour une veillée estivale. Réputée pour ses étés caniculaires, la ville de Guelma, enclavée dans une cuvette, croule sous une chaleur étouffante accentuée par un taux élevé d'humidité qui contraint les habitants à se calfeutrer dans leurs domiciles, dont la plupart sont équipés de climatiseurs. Depuis plusieurs années, les Guelmis se sont organisés pour profiter des bienfaits de la mer, notamment ceux qui ne possèdent pas des véhicules particuliers. Les familles résidant dans une même cité, un même quartier, cotisent pour louer les services d'un minibus qui vient les prendre en charge devant leurs bâtiments. Dès six heures du matin, les estivants chargés de glacières, parasols, chaises pliantes, serviettes de plage, transistors et couffins garnis de victuailles investissent la rue et créent une ambiance conviviale dans l'attente du minicar dont le propriétaire exige la somme de deux cents à trois cents dinars par personne pour un aller-retour. Les principales destinations sont La Marsa, Chettaïbi, les sables d'or, Annaba avec ses plages du Belvédère, Toche, Aïn-Achir et les villes côtières de Skikda et El-Kala. Durant le trajet, les jeunes chantent à tue-tête accompagnés par les sons de la derbouka et du tar. Le bus marque parfois des arrêts au bord de la route pour permettre aux passagers d'acheter des pastèques, des melons cédés à des prix abordables. Dès leur arrivée au bord de la grande bleue, les enfants enfilent leur maillot de bain et entament leurs interminables baignades ponctuées par des rires, des jeux et des plaisanteries. Les parents installent le parasol, le tapis synthétique, la glacière et s'adonnent au bronzage tout en surveillant leur progéniture. Les femmes entrent en groupe dans l'eau, et tandis que les plus aguerries nagent allègrement, d'autres se taquinent et papotent. A l'heure du déjeuner, tous les membres de la famille se regroupent autour de la maman, sous le parasol, pour déguster des pizzas, de la salade variée, du poulet rôti, des frites, des poivrons, etc. arrosés de sodas frais et terminent par des tranches de pastèques, melons ou des grappes de raisin. Après ce copieux repas, tout le monde observe une sieste réparatrice et un bronzage adéquat agrémenté de crème solaire. Les activités reprennent leur cours avec à la clé la baignade, les jeux et l'animation par un orchestre improvisé qui suscite des applaudissements de l'assistance. Les hommes disputent de passionnantes parties de cartes tandis que la gente féminine s'adonne à d'interminables discussions. Vers seize heures, la maîtresse de maison sert du lait, du café et diverses pâtisseries. Une heure plus tard, c'est le moment du retour pour permettre aux estivants d'arriver à la tombée de la nuit. Durant le trajet, tout le monde exprime sa joie et son exubérance puisque des chansons sont reprises en chœur par l'assistance. L'arrivée dans le quartier s'effectue dans une liesse totale et chacun songe déjà au prochain déplacement car ces sorties en groupes stimulent la fraternité, l'amitié et des liens insoupçonnables. Après une douche réparatrice, les excursionnistes prennent un dîner léger et investissent la rue pour une veillée estivale.