La Commission des sages, installée par le ministre de la Santé, Djamel Ould Abbès, dans le but de trouver une solution définitive au blocage que connait le secteur de la santé, a interrompu ses travaux dimanche dernier. Elle avait pour mission de traiter la problématique du service civil dont les conditions d'application sont décriées par les médecins résidents. La Commission des sages, installée par le ministre de la Santé, Djamel Ould Abbès, dans le but de trouver une solution définitive au blocage que connait le secteur de la santé, a interrompu ses travaux dimanche dernier. Elle avait pour mission de traiter la problématique du service civil dont les conditions d'application sont décriées par les médecins résidents. S'élevant contre les déclaration du Premier ministre, qui leur a reproché «de tourner le dos au peuple», les médecins résidents, représentés par le collectif autonome des médecins résidents algériens, ont décidé de boycotter les travaux de la Commission des sages. Il faut noter que Djamel Ould Abbès a à maintes reprises menacé de «supprimer» cette commission, si les médecins résidents perssistent dans leur revendication de l'abrogation du service civil. Et tout porte à croire que tel est le cas, selon les déclarations du ministre reprises par la Chaîne I. Il faut dire qu'avant même son installation le ministre a dit clairement que son rôle ne sera pas d'abroger la loi du service civil mais plutôt de réfléchir et de discuter les mesures incitatives pour bien accomplir le service civi, situation que réfutent catégoriquement les résidents qui insistent sur son abrogation. Il faut noter que la pression est monté d'un cran après que les médecins aient été matraqués mercredi dernier lors de leur sit-in alors qu'ils tentaient d'investir la rue. Aujourd'hui plus que jamais les médecins résidents sont décidés à continuer leur combat en estimant que leur dignité n'a pas de prix. «Aux grandes causes les grands moyens… Et aux grandes âmes les grands challenges», écrit le CAMRA dans son communiqué. Les médecins résidents n'envisagent pas de reculer d'autant que «même la question du statut particulier du médecin résident est à présent bloqué au niveau de la direction générale de la Fonction publique». Selon le même communiqué du Camra, «cette commission mixtes composée du ministère de la Santé, du ministère de l'Enseignement supérieur, du ministère de la Fonction publique et du ministère des Finances n'a toujours pas siégé et n'a pas encore signé le statut ». Ce blocage est interprété par les résidents comme un signe négatif pour la coordination entre protestataires et tutelle. Les conclusions de la conférence nationale des doyens sont attendus pour le 6 et 7 du mois courant. «Malgré l'abrogation de l'arrêté 709, les recommandations de la conférence nationale des doyens et l'obtention de l'arrêté 358 signé par le ministre de l'Enseignement supérieur, les "barons" de nos comités pédagogiques refusent l'application de nos droits durement acquis», fait savoir le communiqué. Il reste à se demander jusqu'à quand ce blocage, puisque les deux parties campent sur leurs positions. S'élevant contre les déclaration du Premier ministre, qui leur a reproché «de tourner le dos au peuple», les médecins résidents, représentés par le collectif autonome des médecins résidents algériens, ont décidé de boycotter les travaux de la Commission des sages. Il faut noter que Djamel Ould Abbès a à maintes reprises menacé de «supprimer» cette commission, si les médecins résidents perssistent dans leur revendication de l'abrogation du service civil. Et tout porte à croire que tel est le cas, selon les déclarations du ministre reprises par la Chaîne I. Il faut dire qu'avant même son installation le ministre a dit clairement que son rôle ne sera pas d'abroger la loi du service civil mais plutôt de réfléchir et de discuter les mesures incitatives pour bien accomplir le service civi, situation que réfutent catégoriquement les résidents qui insistent sur son abrogation. Il faut noter que la pression est monté d'un cran après que les médecins aient été matraqués mercredi dernier lors de leur sit-in alors qu'ils tentaient d'investir la rue. Aujourd'hui plus que jamais les médecins résidents sont décidés à continuer leur combat en estimant que leur dignité n'a pas de prix. «Aux grandes causes les grands moyens… Et aux grandes âmes les grands challenges», écrit le CAMRA dans son communiqué. Les médecins résidents n'envisagent pas de reculer d'autant que «même la question du statut particulier du médecin résident est à présent bloqué au niveau de la direction générale de la Fonction publique». Selon le même communiqué du Camra, «cette commission mixtes composée du ministère de la Santé, du ministère de l'Enseignement supérieur, du ministère de la Fonction publique et du ministère des Finances n'a toujours pas siégé et n'a pas encore signé le statut ». Ce blocage est interprété par les résidents comme un signe négatif pour la coordination entre protestataires et tutelle. Les conclusions de la conférence nationale des doyens sont attendus pour le 6 et 7 du mois courant. «Malgré l'abrogation de l'arrêté 709, les recommandations de la conférence nationale des doyens et l'obtention de l'arrêté 358 signé par le ministre de l'Enseignement supérieur, les "barons" de nos comités pédagogiques refusent l'application de nos droits durement acquis», fait savoir le communiqué. Il reste à se demander jusqu'à quand ce blocage, puisque les deux parties campent sur leurs positions.