Plusieurs dizaines de chômeurs, venus des quatre coins du pays, se sont regroupés, jeudi dernier, devant le ministère du Travail pour revendiquer leur droit au travail. Ils ont été très vite dispersés par les forces de l'ordre. Il faut rappeler qu'ils se sont organisés en comité, toutefois leurs représentant étaients absents à cette manifestation. Les jeunes protestataires se sont exprimés au nom de tous les chômeurs algériens qui revendiquent du travail pour accéder à une vie décente. Il faut noter que ce sit-in n'est pas le premier. En effet, le Comité de défense des droits des chômeurs algériens a déjà organisé de nombreux rassemblements devant les différentes structures d'Etat. Les sans-emploi ont tenté, cette fois encore, d'attirer l'attention des autorités sur leur sort. «On nous a promis, à maintes reprises, que nos doléances seront prise en charge et on a délégué des personnes pour nous représenter et donner un aspect officiel à notre mouvement, mais depuis plusieurs semaines maintenant rien n'a été fait en dehors de promesses», nous dira un jeune originaire de Djelfa. Il est utile de rappeler que le mouvement de protestation des chômeurs a débuté le mois de février dernier. Il est utile de rappeler que durant la manifestation du 2 février dernier, un employé de la société de nettoyage Netcom a tenté de s'immoler par le feu. Il en a été empêché par un journaliste et un policier alors qu'il venait de s'asperger d'essence. Les chômeurs sont plus que jamais déterminés à renouer avec la protestation au cas où les autorités ne prendraient pas en charge leurs revendications dans les jours à venir. «Nous avons patienté et attendu des réponses à nos revendication ou encore un appel sérieux au dialogue... aujourd'hui nous somme décidés à continuer notre combat si la situation reste ten l'état...» avertissent les chômeurs. Plusieurs dizaines de chômeurs, venus des quatre coins du pays, se sont regroupés, jeudi dernier, devant le ministère du Travail pour revendiquer leur droit au travail. Ils ont été très vite dispersés par les forces de l'ordre. Il faut rappeler qu'ils se sont organisés en comité, toutefois leurs représentant étaients absents à cette manifestation. Les jeunes protestataires se sont exprimés au nom de tous les chômeurs algériens qui revendiquent du travail pour accéder à une vie décente. Il faut noter que ce sit-in n'est pas le premier. En effet, le Comité de défense des droits des chômeurs algériens a déjà organisé de nombreux rassemblements devant les différentes structures d'Etat. Les sans-emploi ont tenté, cette fois encore, d'attirer l'attention des autorités sur leur sort. «On nous a promis, à maintes reprises, que nos doléances seront prise en charge et on a délégué des personnes pour nous représenter et donner un aspect officiel à notre mouvement, mais depuis plusieurs semaines maintenant rien n'a été fait en dehors de promesses», nous dira un jeune originaire de Djelfa. Il est utile de rappeler que le mouvement de protestation des chômeurs a débuté le mois de février dernier. Il est utile de rappeler que durant la manifestation du 2 février dernier, un employé de la société de nettoyage Netcom a tenté de s'immoler par le feu. Il en a été empêché par un journaliste et un policier alors qu'il venait de s'asperger d'essence. Les chômeurs sont plus que jamais déterminés à renouer avec la protestation au cas où les autorités ne prendraient pas en charge leurs revendications dans les jours à venir. «Nous avons patienté et attendu des réponses à nos revendication ou encore un appel sérieux au dialogue... aujourd'hui nous somme décidés à continuer notre combat si la situation reste ten l'état...» avertissent les chômeurs.