L'émir national d'Al Qaïda au Maghreb Islamique vient de désigner le chef terroriste Mohamed El Amine Ould El Hassan Ould El Hadrami, alias Abdallah El Chankiti à la tête de la phalange El Fourkane en remplaement de l'ex-émir Yahia Abou Hammam lequel a été désigné, voilà deux mois de cela, numéro 2 de l'organisation terroriste au Sahel. Un changement significatif dans la mesure où la nébuleuse est en train de préparer ses troupes en prévision d'une éventuelle intervention armée dans le Nord-Mali. Dans une nouvelle vidéo diffusée, hier, sur la Toile, le nouvel émir de la phalange El Fourkane, affiliée à Al Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi), répondant au nom de Mohamed El Amine Ould El Hassan Ould El Hadrami, alias Abdallah El Chankiti, a dévoilé son appartenance à la nébuleuse et par la même occasion sa nouvelle désignation à la tête d'El Fourkane, suite à une décision de l'émir national d'Aqmi, Droukdel. « L'émir national, Abou Mossaâb Abdelouaddoud, a décidé de faire un changement à la katiba El Fourkane en me désignant, voilà près d'un mois, moi le moudjahid Abdallah El Chankiti comme nouveau émir en remplacement d'Abou Yahia Hammam qui lui avait été appelé déjà à la tête d'Al Qaïda au Maghreb Islamique au Sahel, devenant ainsi le numéro 2 d'Aqmi », explique ce dernier dans ladite vidéo. Abdallah El Chankiti, d'origine mauritanienne, a fait ses études en 2006 à l'Institut supérieur des études et recherches islamiques en Mauritanie et a été déjà incarcéré à plusieurs reprises par les autorités mauritaniennes pour ses idéologies fanatiques. C'est cet illuminé qui sera désormais le porte-parole de l'organisation terroriste au Sahel. Un djihadiste pur et dur à la tête d'El Fourkane Ce nouvel émir de la phalange El Fourkane, l'une des phalanges les plus redoutables au Nord-Mali et au Grand-Sahara, est né en 1981 à Nouakchott, capitale de Mauritanie, sa famille réside dans la ville d'Itterzaza au nord de la Mauritanie, explique-t-il dans cette vidéo. Aujourd'hui âgé de 31 ans, ce djihadiste a été choisi par Abdelmalek Droukdel comme nouvel émir d'El Fourkane après son parcours djihadiste tout au long des six années passées au sein d'Aqmi. Il est derrière plusieurs actions perpétrées au Nord-Mali et dans le Grand-Sud, entre autres, l'enlèvement d'Occidentaux, assassinats de policiers et militaires mauritaniens et maliens. C'est à partir de ces attentats terroristes, dont il est le commanditaire, qu'Abdallah El Chankiti a été désigné au poste d'émir d'El Fourkane. En 2006, Abdallah El Chankiti s'est évadé de la prison en Mauritanie après 14 mois de détention. Depuis les services de renseignements mauritaniens n'ont eu de cesse de le traquer, mais en vain. Cela fait plus de six ans qu'Abdallah El Chankiti était porté disparu. Aucun signe de vie de lui jusqu'à hier où il est réapparu sur le Net pour annoncer sa désignation à la tête de la phalange El Fourkane. De jeunes Mauritaniens renforcent les rangs des groupes terroristes Peu connu dans les milieux djihadistes, l'homme est très respecté au sein d'Aqmi. Ce terroriste a expliqué dans la vidéo que beaucoup de jeunes Mauritaniens ont rejoint les rangs d'Al Qaïda au Maghreb, tout comme lui en 2006. Il cite les noms de jeunes djihadistes comme Ould Sidi, alias Koteiba et Ibrahim Ould Mohamed, alias Abou Anas El Chankiti (arrêté récemment par les servjces de sécurité algériens) qui, selon lui, seraient devenus des chefs de commissions juridiques au sein de la nébuleuse terroriste. D'ailleurs le recrutement de jeunes Mauritaniens par Aqmi se fait de plus en plus au Nord-Mali. Véritable mine d'or, la jeunesse mauritanienne est doublement ciblée par les émirs notoires de l'organisation criminelle de Droukdel, d'autant qu'avec ces recrutements, Aqmi aura ainsi une armée bien étoffée pour faire face à toute intervention militaire dans le Nord-Mali. L'émir national d'Al Qaïda au Maghreb Islamique vient de désigner le chef terroriste Mohamed El Amine Ould El Hassan Ould El Hadrami, alias Abdallah El Chankiti à la tête de la phalange El Fourkane en remplaement de l'ex-émir Yahia Abou Hammam lequel a été désigné, voilà deux mois de cela, numéro 2 de l'organisation terroriste au Sahel. Un changement significatif dans la mesure où la nébuleuse est en train de préparer ses troupes en prévision d'une éventuelle intervention armée dans le Nord-Mali. Dans une nouvelle vidéo diffusée, hier, sur la Toile, le nouvel émir de la phalange El Fourkane, affiliée à Al Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi), répondant au nom de Mohamed El Amine Ould El Hassan Ould El Hadrami, alias Abdallah El Chankiti, a dévoilé son appartenance à la nébuleuse et par la même occasion sa nouvelle désignation à la tête d'El Fourkane, suite à une décision de l'émir national d'Aqmi, Droukdel. « L'émir national, Abou Mossaâb Abdelouaddoud, a décidé de faire un changement à la katiba El Fourkane en me désignant, voilà près d'un mois, moi le moudjahid Abdallah El Chankiti comme nouveau émir en remplacement d'Abou Yahia Hammam qui lui avait été appelé déjà à la tête d'Al Qaïda au Maghreb Islamique au Sahel, devenant ainsi le numéro 2 d'Aqmi », explique ce dernier dans ladite vidéo. Abdallah El Chankiti, d'origine mauritanienne, a fait ses études en 2006 à l'Institut supérieur des études et recherches islamiques en Mauritanie et a été déjà incarcéré à plusieurs reprises par les autorités mauritaniennes pour ses idéologies fanatiques. C'est cet illuminé qui sera désormais le porte-parole de l'organisation terroriste au Sahel. Un djihadiste pur et dur à la tête d'El Fourkane Ce nouvel émir de la phalange El Fourkane, l'une des phalanges les plus redoutables au Nord-Mali et au Grand-Sahara, est né en 1981 à Nouakchott, capitale de Mauritanie, sa famille réside dans la ville d'Itterzaza au nord de la Mauritanie, explique-t-il dans cette vidéo. Aujourd'hui âgé de 31 ans, ce djihadiste a été choisi par Abdelmalek Droukdel comme nouvel émir d'El Fourkane après son parcours djihadiste tout au long des six années passées au sein d'Aqmi. Il est derrière plusieurs actions perpétrées au Nord-Mali et dans le Grand-Sud, entre autres, l'enlèvement d'Occidentaux, assassinats de policiers et militaires mauritaniens et maliens. C'est à partir de ces attentats terroristes, dont il est le commanditaire, qu'Abdallah El Chankiti a été désigné au poste d'émir d'El Fourkane. En 2006, Abdallah El Chankiti s'est évadé de la prison en Mauritanie après 14 mois de détention. Depuis les services de renseignements mauritaniens n'ont eu de cesse de le traquer, mais en vain. Cela fait plus de six ans qu'Abdallah El Chankiti était porté disparu. Aucun signe de vie de lui jusqu'à hier où il est réapparu sur le Net pour annoncer sa désignation à la tête de la phalange El Fourkane. De jeunes Mauritaniens renforcent les rangs des groupes terroristes Peu connu dans les milieux djihadistes, l'homme est très respecté au sein d'Aqmi. Ce terroriste a expliqué dans la vidéo que beaucoup de jeunes Mauritaniens ont rejoint les rangs d'Al Qaïda au Maghreb, tout comme lui en 2006. Il cite les noms de jeunes djihadistes comme Ould Sidi, alias Koteiba et Ibrahim Ould Mohamed, alias Abou Anas El Chankiti (arrêté récemment par les servjces de sécurité algériens) qui, selon lui, seraient devenus des chefs de commissions juridiques au sein de la nébuleuse terroriste. D'ailleurs le recrutement de jeunes Mauritaniens par Aqmi se fait de plus en plus au Nord-Mali. Véritable mine d'or, la jeunesse mauritanienne est doublement ciblée par les émirs notoires de l'organisation criminelle de Droukdel, d'autant qu'avec ces recrutements, Aqmi aura ainsi une armée bien étoffée pour faire face à toute intervention militaire dans le Nord-Mali.