Bonne nouvelle pour la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique. Après de longues tractations, elle arrache enfin la participation de Benflis à la conférence nationale pour la transition démocratique, prévue aujourd'hui à l'hôtel Mazafran d'Alger. Bonne nouvelle pour la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique. Après de longues tractations, elle arrache enfin la participation de Benflis à la conférence nationale pour la transition démocratique, prévue aujourd'hui à l'hôtel Mazafran d'Alger. Le candidat malheureux à la présidentielle du 17 avril a annoncé à ce sujet et de manière officielle son intention de prendre part à cette conférence que ses initiateurs préparent depuis l'annonce des résultats un scrutin qui a consacré Abdelaziz Bouteflika comme président de la République pour un 4e mandat. Selon un communiqué de presse émanant du pôle des forces du changement auquel fait partie l'exchef du gouvernement, ce dernier a accepté l'invitation transmise par la CNLTD et devra représenter ce pôle et parler en son nom lors de la conférence pour la transition démocratique. La présence de Benflis à ce rendez-vous de l'opposition donnera sans doute plus de crédibilité aussi bien à la coordination qu'à la conférence elle-même. Surtout qu'elle s'ajoute à la participation d'autres personnalités politiques connues sur la scène nationale, à l'image de Mouloud Hamrouche. Le FFS a confirmé de son côté la participation au conclave d'aujourd'hui et expliqué dans un communiqué que « dans un esprit de consensus et pour des raisons de principes, il a décidé de répondre favorablement à cette invitation pour exposer son point de vue sur cette conférence ». On parle également de la participation du FIS dissous par le biais de certains de ses membres qui activent encore dans la scène politique tels Kamel Guemazi et Ali Djeddi, qui ont rencontré des membres de la CNLTD et salué à ce sujet cette initiative. Prévue aujourd'hui, à l'hôtel Mazafran, la conférence nationale pour la transition démocratique est l'aboutissement de plusieurs semaines de tractations et de négociations serrées entamées par les membres de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique, composée, pour information, de partis politiques dont le RCD, le MSP, Ennahda, Jil Djadid, le Front pour la justice et le développement (FJD) de Djaballah ainsi que des personnalités politiques comme Benbitour. Il est à rappeler que la conférence nationale pour la transition démocratique devait se tenir le 3 juin à l'hôtel Hilton mais faute d'autorisation, elle a été ajournée. D'ailleurs, la coordination ne s'est pas empêchée de dénoncer avec véhémence « le comportement des responsables de cet établissement hôtelier qui sont revenus sur leur décision de location de la salle après avoir donné leur accord de principe le 21 mai dernier» et voit en ce blocage un refus «politique» émanant d'en haut. La tenue de cette réunion coïncide, faut-il le rappeler, avec les rencontres de consultations engagées par la présidence de la République sur le projet de révision de la Constitution, et confiées comme on le sait à Ahmed Ouyahia. Une démarche qui a du mal à séduire les «grands» partis de l'opposition dont justement la coordination. Le candidat malheureux à la présidentielle du 17 avril a annoncé à ce sujet et de manière officielle son intention de prendre part à cette conférence que ses initiateurs préparent depuis l'annonce des résultats un scrutin qui a consacré Abdelaziz Bouteflika comme président de la République pour un 4e mandat. Selon un communiqué de presse émanant du pôle des forces du changement auquel fait partie l'exchef du gouvernement, ce dernier a accepté l'invitation transmise par la CNLTD et devra représenter ce pôle et parler en son nom lors de la conférence pour la transition démocratique. La présence de Benflis à ce rendez-vous de l'opposition donnera sans doute plus de crédibilité aussi bien à la coordination qu'à la conférence elle-même. Surtout qu'elle s'ajoute à la participation d'autres personnalités politiques connues sur la scène nationale, à l'image de Mouloud Hamrouche. Le FFS a confirmé de son côté la participation au conclave d'aujourd'hui et expliqué dans un communiqué que « dans un esprit de consensus et pour des raisons de principes, il a décidé de répondre favorablement à cette invitation pour exposer son point de vue sur cette conférence ». On parle également de la participation du FIS dissous par le biais de certains de ses membres qui activent encore dans la scène politique tels Kamel Guemazi et Ali Djeddi, qui ont rencontré des membres de la CNLTD et salué à ce sujet cette initiative. Prévue aujourd'hui, à l'hôtel Mazafran, la conférence nationale pour la transition démocratique est l'aboutissement de plusieurs semaines de tractations et de négociations serrées entamées par les membres de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique, composée, pour information, de partis politiques dont le RCD, le MSP, Ennahda, Jil Djadid, le Front pour la justice et le développement (FJD) de Djaballah ainsi que des personnalités politiques comme Benbitour. Il est à rappeler que la conférence nationale pour la transition démocratique devait se tenir le 3 juin à l'hôtel Hilton mais faute d'autorisation, elle a été ajournée. D'ailleurs, la coordination ne s'est pas empêchée de dénoncer avec véhémence « le comportement des responsables de cet établissement hôtelier qui sont revenus sur leur décision de location de la salle après avoir donné leur accord de principe le 21 mai dernier» et voit en ce blocage un refus «politique» émanant d'en haut. La tenue de cette réunion coïncide, faut-il le rappeler, avec les rencontres de consultations engagées par la présidence de la République sur le projet de révision de la Constitution, et confiées comme on le sait à Ahmed Ouyahia. Une démarche qui a du mal à séduire les «grands» partis de l'opposition dont justement la coordination.