Le rideau est tombé hier sur la session de printemps du Parlement. Les parlementaires des deux chambres sont donc officiellement en vacances. Le rideau est tombé hier sur la session de printemps du Parlement. Les parlementaires des deux chambres sont donc officiellement en vacances. Dans leurs discours de clôture de cette session, entamée le 2 mars dernier, le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, et le président de l'APN, Mohamed Larbi Ould Khelifa n'ont pas manqué de faire un bilan positif de cette session, non sans avoir énuméré au préalable les projets de lois adoptés ainsi que toutes les activités liées à l'action parlementaire. Or la majorité des observateurs avaient souligné que ce bilan était plutôt mitigé. « Globalement le bilan est positif » dira ainsi le président de la chambre haute Abdelkader Bensalah. Ould Khelifa a néanmoins, quant à lui, fait allusion au phénomène de l'absentéisme qui a pris une grande ampleur durant cette session. Bensalah ne s'est pas empêché de faire allusion au projet de loi portant sur la violence contre les femmes. Ce projet de loi, adopté par l'APN ,mais pas par le Sénat où il est resté bloqué ce qui a suscité moult interrogations sur les raisons objectives de sa non programmation. « Si certains textes de los prévus dans le calendrier n'ont pas été adoptés cela ne veut point dire que ces textes ont été abandonnés ou retirés » a-t-il indiqué ajoutant que « ces textes auront tout l'intérêt qu'ils méritent à l'avenir». Mais Bensalah n'a pas précisé si cela sera le cas lors de la prochaine session parlementaire d'automne qui sera ouverte au début du mois de septembre. Les deux présidents étaient sur les mêmes longueurs d'ondes dès qu'il s'est agi d'évoquer le denier message du président de la République, la dégringolade des prix du baril du pétrole et sa conséquence sur l'économie nationale ou encore le rôle que joue l'ANP dans la défense du pays. Bensalah comme Ould Khelifa n'ont pas manqué d'encenser le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui a adressé un message à la nation dans lequel il a tendu la main à l'opposition et a réitéré sa volonté de réviser la Constitution dont le projet est « en phase de finalisation ». Le président du sénat a ainsi estimé que le chef de l'Etat a voulu « recadrer l'action politique » à travers ce message qu'il a qualifié de feuille de route de ce 4é mandat. « Le président de la République (....) a souligné la confiance en l'avenir et réitéré sa fidélité à ses engagements envers la nation... ». Les présidents des deux chambres du Parlement ont, en outre, apporté leur soutien à la politique du gouvernement relative à la gestion de l' 'économie nationale suite à la chute du prix du pétrole. En termes plus clairs ils ont affiché leur soutien à la « rationalisation des dépenses ». Bensalah a même appelé à associer tous les acteurs politiques pour sensibiliser les Algériens sur la difficulté de la conjoncture. Ould Khelifa, optimiste, a mis en avant les mesures déjà prises par le pays pour éviter la crise. Il a cité le cas du paiement de la dette et les importantes réserves de change dont dispose le pays. Dans leurs discours de clôture de cette session, entamée le 2 mars dernier, le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, et le président de l'APN, Mohamed Larbi Ould Khelifa n'ont pas manqué de faire un bilan positif de cette session, non sans avoir énuméré au préalable les projets de lois adoptés ainsi que toutes les activités liées à l'action parlementaire. Or la majorité des observateurs avaient souligné que ce bilan était plutôt mitigé. « Globalement le bilan est positif » dira ainsi le président de la chambre haute Abdelkader Bensalah. Ould Khelifa a néanmoins, quant à lui, fait allusion au phénomène de l'absentéisme qui a pris une grande ampleur durant cette session. Bensalah ne s'est pas empêché de faire allusion au projet de loi portant sur la violence contre les femmes. Ce projet de loi, adopté par l'APN ,mais pas par le Sénat où il est resté bloqué ce qui a suscité moult interrogations sur les raisons objectives de sa non programmation. « Si certains textes de los prévus dans le calendrier n'ont pas été adoptés cela ne veut point dire que ces textes ont été abandonnés ou retirés » a-t-il indiqué ajoutant que « ces textes auront tout l'intérêt qu'ils méritent à l'avenir». Mais Bensalah n'a pas précisé si cela sera le cas lors de la prochaine session parlementaire d'automne qui sera ouverte au début du mois de septembre. Les deux présidents étaient sur les mêmes longueurs d'ondes dès qu'il s'est agi d'évoquer le denier message du président de la République, la dégringolade des prix du baril du pétrole et sa conséquence sur l'économie nationale ou encore le rôle que joue l'ANP dans la défense du pays. Bensalah comme Ould Khelifa n'ont pas manqué d'encenser le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui a adressé un message à la nation dans lequel il a tendu la main à l'opposition et a réitéré sa volonté de réviser la Constitution dont le projet est « en phase de finalisation ». Le président du sénat a ainsi estimé que le chef de l'Etat a voulu « recadrer l'action politique » à travers ce message qu'il a qualifié de feuille de route de ce 4é mandat. « Le président de la République (....) a souligné la confiance en l'avenir et réitéré sa fidélité à ses engagements envers la nation... ». Les présidents des deux chambres du Parlement ont, en outre, apporté leur soutien à la politique du gouvernement relative à la gestion de l' 'économie nationale suite à la chute du prix du pétrole. En termes plus clairs ils ont affiché leur soutien à la « rationalisation des dépenses ». Bensalah a même appelé à associer tous les acteurs politiques pour sensibiliser les Algériens sur la difficulté de la conjoncture. Ould Khelifa, optimiste, a mis en avant les mesures déjà prises par le pays pour éviter la crise. Il a cité le cas du paiement de la dette et les importantes réserves de change dont dispose le pays.