Contrairement aux partis du FLN, RND, TAJ et MPA, les partis de l'opposition n'ont pas applaudi le plan d'action du gouvernemen . Preuve en est les députés affiliés aux groupes parlementaires de l'opposition qui ont té particulièrement critiques à l'égard de ce document lors des débats à l'Assemblée nationale. Contrairement aux partis du FLN, RND, TAJ et MPA, les partis de l'opposition n'ont pas applaudi le plan d'action du gouvernemen . Preuve en est les députés affiliés aux groupes parlementaires de l'opposition qui ont té particulièrement critiques à l'égard de ce document lors des débats à l'Assemblée nationale. Globalement il est notamment reproché à Abdelmadjid Tebboune d'avancer des généralités et d'être, par voie de conséquence, imprécis quant aux objectifs et mécanismes à mettre en place pour les réaliser. En effet c'est presque le même ton, à quelques nuances près, qui a été utilisé par les groupes parlementaires de l'opposition. C'est ainsi que Chafaa Bouaiche, président du groupe parlementaire du FFS, n'a pas hésité à faire un constat négatif sur le contenu du plan d'action du gouvernement. Lors de son intervention le chef de file du FFS à l'APN n'a pas manqué de dénoncer avec verve l'injustice sociale. Il a estimé que c'est le contraire d'un Etat de droit qui se produit sur le terrain. Pour lui le constat est grave s'agissant de la gestion de la situation. Il a reproché au Premier ministre d'avoir présenté un plan d'action similaire à ses prédécesseurs et qui "souffre grandement de perspectives chiffrés". L'orateur a aussi considéré que ce plan se base sur "le moyen terme, alors que la situation implique d'agir sur le court terme". En somme "le gouvernement ne pense qu'à préserver les équilibres budgétaires comme exigé par les institutions financières internationales, en limitant les dépenses publiques avec le risque de recourir aux solutions de facilité très coûteuses pour les citoyens, notamment à travers l'augmentation de la charge fiscale pour les salariés, ignorant encore une fois le large segment de l'évasion fiscale et l'économie informelle". Il en a été de même pour l'alliance Adala- Nahda-El Bina. Ce triumvirat de partis islamistes considère que, "d'apparence, le plan d'action du gouvernement met l'accent sur les réformes dans les secteurs des finances, des impôts et de l'investissement, pour sortir de la dépendance vis-àvis des hydrocarbures sans en déterminer les mécanismes". Pour Benkhellaf "cela nécessite une volonté politique qui, hélas,fait défaut au gouvernement".Pour le chef du groupe parlementaire de cette alliance islamiste "le gouvernement doit lutter contre la corruption, la bureaucratie, les passe-droits et le favoritisme dans l'octroi d'avantages en matière d'investissements". En filigrane il a critiqué le népotisme et la montée en puissance d'hommes d'affaires proches des cercles décisionnels. Un autre parti d'opposition, el MSP en l'occurrence, n'a pas été enthousiasmé par le plan d'action du gouvernement. Cela a d'ailleurs été dit de vive voix par le chef du groupe parlementaire de ce parti à l'APN. En effet, Nacer Hamdadouche a notamment reproché au Premier ministre d'avoir élaboré un "plan d'action qui a totalement fait l'impasse sur les chiffres" et s'est alors interrogé sur les motivations ayant été à l'origine de l'absence d'indicateurs chiffrés. Le RCD a lui aussi rejeté ce plan d'action estimant qu'il est loin d'offrir des perspectives de sortie de crise. Globalement il est notamment reproché à Abdelmadjid Tebboune d'avancer des généralités et d'être, par voie de conséquence, imprécis quant aux objectifs et mécanismes à mettre en place pour les réaliser. En effet c'est presque le même ton, à quelques nuances près, qui a été utilisé par les groupes parlementaires de l'opposition. C'est ainsi que Chafaa Bouaiche, président du groupe parlementaire du FFS, n'a pas hésité à faire un constat négatif sur le contenu du plan d'action du gouvernement. Lors de son intervention le chef de file du FFS à l'APN n'a pas manqué de dénoncer avec verve l'injustice sociale. Il a estimé que c'est le contraire d'un Etat de droit qui se produit sur le terrain. Pour lui le constat est grave s'agissant de la gestion de la situation. Il a reproché au Premier ministre d'avoir présenté un plan d'action similaire à ses prédécesseurs et qui "souffre grandement de perspectives chiffrés". L'orateur a aussi considéré que ce plan se base sur "le moyen terme, alors que la situation implique d'agir sur le court terme". En somme "le gouvernement ne pense qu'à préserver les équilibres budgétaires comme exigé par les institutions financières internationales, en limitant les dépenses publiques avec le risque de recourir aux solutions de facilité très coûteuses pour les citoyens, notamment à travers l'augmentation de la charge fiscale pour les salariés, ignorant encore une fois le large segment de l'évasion fiscale et l'économie informelle". Il en a été de même pour l'alliance Adala- Nahda-El Bina. Ce triumvirat de partis islamistes considère que, "d'apparence, le plan d'action du gouvernement met l'accent sur les réformes dans les secteurs des finances, des impôts et de l'investissement, pour sortir de la dépendance vis-àvis des hydrocarbures sans en déterminer les mécanismes". Pour Benkhellaf "cela nécessite une volonté politique qui, hélas,fait défaut au gouvernement".Pour le chef du groupe parlementaire de cette alliance islamiste "le gouvernement doit lutter contre la corruption, la bureaucratie, les passe-droits et le favoritisme dans l'octroi d'avantages en matière d'investissements". En filigrane il a critiqué le népotisme et la montée en puissance d'hommes d'affaires proches des cercles décisionnels. Un autre parti d'opposition, el MSP en l'occurrence, n'a pas été enthousiasmé par le plan d'action du gouvernement. Cela a d'ailleurs été dit de vive voix par le chef du groupe parlementaire de ce parti à l'APN. En effet, Nacer Hamdadouche a notamment reproché au Premier ministre d'avoir élaboré un "plan d'action qui a totalement fait l'impasse sur les chiffres" et s'est alors interrogé sur les motivations ayant été à l'origine de l'absence d'indicateurs chiffrés. Le RCD a lui aussi rejeté ce plan d'action estimant qu'il est loin d'offrir des perspectives de sortie de crise.