Makri par ci, Makri par là. Depuis des semaines le leader du Mouvement de la société pour la paix MSP), Abderazak Makri, est au-devant de la scène politique. Makri par ci, Makri par là. Depuis des semaines le leader du Mouvement de la société pour la paix MSP), Abderazak Makri, est au-devant de la scène politique. Il est sous les feux des projecteurs.Il ne se passe pas un jour sans que son nom nesoit cité dans les médias.Occupant le haut de l'affichesans interruption ces derniertemps, le bouillonnant présidentdu mouvement islamistesuscite même des questionnements,à juste titre d'ailleurs,sur les véritables motifs qui lefont tant courir. Qu'est ce quifait, en effet, courir Makri ?Depuis le lancement de l'initiativepolitique de son parti relativeà la nécessité de consacrerle consensus national quitte àreporter les élections présidentiellesprévues au mois d'avril,Abderazak Makri déborde d'activisme.Un activisme qui, àl'évidence, ne lui attire pas quede la sympathie, loin s'en faut,car nombreuses sont les forcespolitiques qui se méfient desréelles motivations de cedéploiement tous azimutsponctué par la rencontre de toutce qui compte comme personnelpolitique du pays . Il vientainsi de révéler qu'il a mêmerencontré Saïd Bouteflika, lefrère et conseiller du présidentde la République. Dans un contexte politique marqué par les incertitudes qui pèsent sur la prochaine élection présidentielle et la flopée de scénarii qui va avec, les partis et les personnalités de l'opposition ont fait preuve de suspicion à l'égard de la démarche politique que défend bec et ongles, Makri et son parti. Certains sont allés jusqu'à les suspecter de servir d'alibi à la mise en exécution de quelques plans qu'auraient échafaudés le pouvoir. En somme, en proposant un Consensus national assorti d'un report des élections présidentielles, Makri jouerait au facilitateur et aiderait ainsi le pouvoir, à faire passer ses arguments auprès de la classe politique et, partant, de l'opinion publique nationale. Un raisonnement qui tient parfaitement la route ce d'autant qu'une autreinitiative, presque similaire, à été proposée par le parti de TAJ Amar Ghoul qui fait partie del'alliance présidentielle. Makri a beau dire que l'initiative de son parti n'est en rien similaire au parti de TAJ, puisque il est question d'abord et surtout de la consécration de profondes réformes politiques qui constitueront alors le socle du consensus national voulu, il n'a pas réussi à convaincre Mais malgré cela s'en tient encore à l'option report des élections présidentiellesqui constituerait, selon lui, le seul salut pour éviter l'option d'un 5é mandat pour le président Bouteflika. Il vient en effet de le marteler une fois encore haut et fort et ce, au oucette option semble de nouveau remise sur la table comme le laisse si bien entendre les propos de certains fidèles du chef de l'Etat, àl'exemple de Abdelmadjid Sidi Saïd, le secrétaire général de l'UGTA, ou encore Ali Haddad, le président du FCE.Son opposition àl'optio du 5é mandat lui a meme fait brandi la menace de boycotter le rendez-vous électoral dumois d'avril. Mais pource faire, il doit d'abord convaincre la plus haute autorité au sein du MSP, le Conseil consultatif en l'occurrence, seule instance habilitée à trancher sur cette question. Il est sous les feux des projecteurs.Il ne se passe pas un jour sans que son nom nesoit cité dans les médias.Occupant le haut de l'affichesans interruption ces derniertemps, le bouillonnant présidentdu mouvement islamistesuscite même des questionnements,à juste titre d'ailleurs,sur les véritables motifs qui lefont tant courir. Qu'est ce quifait, en effet, courir Makri ?Depuis le lancement de l'initiativepolitique de son parti relativeà la nécessité de consacrerle consensus national quitte àreporter les élections présidentiellesprévues au mois d'avril,Abderazak Makri déborde d'activisme.Un activisme qui, àl'évidence, ne lui attire pas quede la sympathie, loin s'en faut,car nombreuses sont les forcespolitiques qui se méfient desréelles motivations de cedéploiement tous azimutsponctué par la rencontre de toutce qui compte comme personnelpolitique du pays . Il vientainsi de révéler qu'il a mêmerencontré Saïd Bouteflika, lefrère et conseiller du présidentde la République. Dans un contexte politique marqué par les incertitudes qui pèsent sur la prochaine élection présidentielle et la flopée de scénarii qui va avec, les partis et les personnalités de l'opposition ont fait preuve de suspicion à l'égard de la démarche politique que défend bec et ongles, Makri et son parti. Certains sont allés jusqu'à les suspecter de servir d'alibi à la mise en exécution de quelques plans qu'auraient échafaudés le pouvoir. En somme, en proposant un Consensus national assorti d'un report des élections présidentielles, Makri jouerait au facilitateur et aiderait ainsi le pouvoir, à faire passer ses arguments auprès de la classe politique et, partant, de l'opinion publique nationale. Un raisonnement qui tient parfaitement la route ce d'autant qu'une autreinitiative, presque similaire, à été proposée par le parti de TAJ Amar Ghoul qui fait partie del'alliance présidentielle. Makri a beau dire que l'initiative de son parti n'est en rien similaire au parti de TAJ, puisque il est question d'abord et surtout de la consécration de profondes réformes politiques qui constitueront alors le socle du consensus national voulu, il n'a pas réussi à convaincre Mais malgré cela s'en tient encore à l'option report des élections présidentiellesqui constituerait, selon lui, le seul salut pour éviter l'option d'un 5é mandat pour le président Bouteflika. Il vient en effet de le marteler une fois encore haut et fort et ce, au oucette option semble de nouveau remise sur la table comme le laisse si bien entendre les propos de certains fidèles du chef de l'Etat, àl'exemple de Abdelmadjid Sidi Saïd, le secrétaire général de l'UGTA, ou encore Ali Haddad, le président du FCE.Son opposition àl'optio du 5é mandat lui a meme fait brandi la menace de boycotter le rendez-vous électoral dumois d'avril. Mais pource faire, il doit d'abord convaincre la plus haute autorité au sein du MSP, le Conseil consultatif en l'occurrence, seule instance habilitée à trancher sur cette question.