Avec l'entame de la nouvelle année 2019, il semble que les certitudes des partis de l'alliance présidentielle, par rapport à un nouveau mandat pour le président Bouteflika, sont de plus en plus fortes. Avec l'entame de la nouvelle année 2019, il semble que les certitudes des partis de l'alliance présidentielle, par rapport à un nouveau mandat pour le président Bouteflika, sont de plus en plus fortes. D'où, certainement, le retour en force des appels e direction duchef de l'Etat pour qu'il continued'assumer sa fonction à la plus hautemarche du pouvoir. Amar Ghoul , au nomdu parti de TAJ et Mahdjoub Bedda, leministre chargé des relations avec leParlement, mais qui s'est exprimé en tantque chef de file de l'association des anciensélus du parti du FLN, se sont particulièrementdistingués dans cet exercice. D'autresvoix sont aussi montées au créneau, donnantl'impression que le doute, qui adominé les esprits un bout de temps, n'est désormais plus de mise. Les partis de l'allianceen particulier et toux ceux qui soutiennent le président Bouteflika en généralont donné l'impression d'avoir abandonnécette option du 5e mandat, au profit de cequ'ils ont appelés "la continuité". Pour cela, ils ont mené une véritable campagnesuivie d'un grand battage médiatique. Cechangement de fusil d'épaule a quelque peudérouté les analystes et le observateurs eton a, alors, assisté à une floraison deconjectures ou chacun y allait de sesconvictions. Prolongation de mandat,révision de la Constitution, report desélections présidentielles…. Les observateursne savaient plus à quel Saint sevouer. Ce flou a aussi été bien entretenupar les partisans du président Bouteflika,comme c'est le cas du président de TAJ,Amar Ghoul, qui a rajouté son grain de sel à cette confusion générale. En effet, sa proposition relative à la tenue d'une Conférence nationale devant aboutir à un consensus national, n'a fait que brouiller encore plus les grilles de lecture. Ce d'autant que le chef de file de fil de ce parti n'a pas du tout écarté l'option du report de l'élection présidentielle, considérée alors comme secondaire par rapport au consensus national. Cette proposition prenait alors davantage de consistance, lorsque les partis de l'alliance présidentielle l'ont adoubée ? En effet c'est en rangs serrés, que les quatre partis, à savoir le FLN, le RND, le MPA et TAJ, ont soutenu ouvertement cette proposition. Lors du cngrès de TAJ, Mouad Bouchareb, Ahmed Ghoul, ont signé un communiqué commun. Dès lors, il était évident pour de nouveaux observateurs, que l'option du report des élections présidentielles au profit d'une prolongation du mandat du président Bouteflika, n'était pus une simple vue de l'esprit. A plus forte raison, quand une proposition presque similaire émanant cette fois-ci d'un parti de l'opposition, abondait dans le même sens. LeMSP plaidait lui aussi, en faveur d'une conférence du consensus national, le report de l'élection présidentielle avec en prime, cependant, une révision de la Constitution qui consacrerait la démocratie et les libertés. Mais cette période fut de courte durée, puisque les partis de l'alliance présidentielle, confrontés à une levée de boucliers dénonçant toute tentative de transgression de la Constitution, reviennent peu à peu à l'option de la "continuité", ce doux euphémisme synonyme du 5e mandat. Preuve en est le retour du discours y afférent. La montée au créneau deAmar Ghoul et Mahdjoub Bedda, n'est que le prélude à une offensive de grade envergure, dans les prochains jours et semaines et ce, au moment où le compte à rebours, pour la convocation du corps électoral, est déjà la cé D'où, certainement, le retour en force des appels e direction duchef de l'Etat pour qu'il continued'assumer sa fonction à la plus hautemarche du pouvoir. Amar Ghoul , au nomdu parti de TAJ et Mahdjoub Bedda, leministre chargé des relations avec leParlement, mais qui s'est exprimé en tantque chef de file de l'association des anciensélus du parti du FLN, se sont particulièrementdistingués dans cet exercice. D'autresvoix sont aussi montées au créneau, donnantl'impression que le doute, qui adominé les esprits un bout de temps, n'est désormais plus de mise. Les partis de l'allianceen particulier et toux ceux qui soutiennent le président Bouteflika en généralont donné l'impression d'avoir abandonnécette option du 5e mandat, au profit de cequ'ils ont appelés "la continuité". Pour cela, ils ont mené une véritable campagnesuivie d'un grand battage médiatique. Cechangement de fusil d'épaule a quelque peudérouté les analystes et le observateurs eton a, alors, assisté à une floraison deconjectures ou chacun y allait de sesconvictions. Prolongation de mandat,révision de la Constitution, report desélections présidentielles…. Les observateursne savaient plus à quel Saint sevouer. Ce flou a aussi été bien entretenupar les partisans du président Bouteflika,comme c'est le cas du président de TAJ,Amar Ghoul, qui a rajouté son grain de sel à cette confusion générale. En effet, sa proposition relative à la tenue d'une Conférence nationale devant aboutir à un consensus national, n'a fait que brouiller encore plus les grilles de lecture. Ce d'autant que le chef de file de fil de ce parti n'a pas du tout écarté l'option du report de l'élection présidentielle, considérée alors comme secondaire par rapport au consensus national. Cette proposition prenait alors davantage de consistance, lorsque les partis de l'alliance présidentielle l'ont adoubée ? En effet c'est en rangs serrés, que les quatre partis, à savoir le FLN, le RND, le MPA et TAJ, ont soutenu ouvertement cette proposition. Lors du cngrès de TAJ, Mouad Bouchareb, Ahmed Ghoul, ont signé un communiqué commun. Dès lors, il était évident pour de nouveaux observateurs, que l'option du report des élections présidentielles au profit d'une prolongation du mandat du président Bouteflika, n'était pus une simple vue de l'esprit. A plus forte raison, quand une proposition presque similaire émanant cette fois-ci d'un parti de l'opposition, abondait dans le même sens. LeMSP plaidait lui aussi, en faveur d'une conférence du consensus national, le report de l'élection présidentielle avec en prime, cependant, une révision de la Constitution qui consacrerait la démocratie et les libertés. Mais cette période fut de courte durée, puisque les partis de l'alliance présidentielle, confrontés à une levée de boucliers dénonçant toute tentative de transgression de la Constitution, reviennent peu à peu à l'option de la "continuité", ce doux euphémisme synonyme du 5e mandat. Preuve en est le retour du discours y afférent. La montée au créneau deAmar Ghoul et Mahdjoub Bedda, n'est que le prélude à une offensive de grade envergure, dans les prochains jours et semaines et ce, au moment où le compte à rebours, pour la convocation du corps électoral, est déjà la cé